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Fahrenheit 451

Couverture du livre « Fahrenheit 451 » de Ray Bradbury aux éditions Folio
  • Date de parution :
  • Editeur : Folio
  • EAN : 9782070415731
  • Série : (-)
  • Support : Poche
Résumé:

451 degrés Fahrenheit représentent la température à laquelle un livre s'enflamme et se consume.Dans cette société future où la lecture, source de questionnement et de réflexion, est considérée comme un acte antisocial, un corps spécial de pompiers est chargé de brûler tous les livres, dont la... Voir plus

451 degrés Fahrenheit représentent la température à laquelle un livre s'enflamme et se consume.Dans cette société future où la lecture, source de questionnement et de réflexion, est considérée comme un acte antisocial, un corps spécial de pompiers est chargé de brûler tous les livres, dont la détention est interdite pour le bien collectif.Montag, le pompier pyromane, se met pourtant à rêver d'un monde différent, qui ne bannirait pas la littérature et l'imaginaire au profit d'un bonheur immédiatement consommable. Il devient dès lors un dangereux criminel, impitoyablement poursuivi par une société qui désavoue son passé.

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Articles (2)

Avis (28)

  • L'idée même de déposséder l'Homme de son passé, de son Histoire peut certes sembler géniale pour ceux qui, avides de pouvoir, cherchent à le contrôler, mais elle est en réalité tellement effrayante dès lors qu'on se l'imagine concrètement... C'est ce qui m'avait bousculée lorsque j'ai lu ce...
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    L'idée même de déposséder l'Homme de son passé, de son Histoire peut certes sembler géniale pour ceux qui, avides de pouvoir, cherchent à le contrôler, mais elle est en réalité tellement effrayante dès lors qu'on se l'imagine concrètement... C'est ce qui m'avait bousculée lorsque j'ai lu ce livre pour la première fois. Je me suis vraiment projetée dans ce monde sans livres... et j'ai lu plus encore, comme dans l'urgence, afin de juguler ma peur que cela n'arrive vraiment !
    L'écriture est percutante, chaque mot compte et LE livre et tout ce qu'il représente de nos racines, de nos valeurs et de nos combats y a SA place, essentielle. En cela, il peut être une arme précieuse, il doit donc être banni : "Les livres n'étaient qu'un des nombreux types de réceptacles destinés à conserver ce que nous avions peur d'oublier."
    Ray Bradbury le dit si bien lui-même : "Les bons écrivains touchent souvent la vie du doigt." et il fait assurément partie de ceux-là !

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  • Voilà encore une agréable surprise livresque découverte grâce à mon défi lecture. Au 1er abord, pas vraiment mon style de livres puisqu'on se retrouve plongé dans un univers "SFFF" qui ne m'attire pas du tout.
    Oui mais voilà, ici nous sommes confrontés à un monde dépourvu de livres et surtout...
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    Voilà encore une agréable surprise livresque découverte grâce à mon défi lecture. Au 1er abord, pas vraiment mon style de livres puisqu'on se retrouve plongé dans un univers "SFFF" qui ne m'attire pas du tout.
    Oui mais voilà, ici nous sommes confrontés à un monde dépourvu de livres et surtout de conscience humaine. En immersion dans un monde quelque peu lobotomisé. Le rôle des pompiers n'est plus de sauver des vies et d'éteindre les flammes mais au contraire, de brûler et d'anéantir sous le feu des brasier, les livres et donc la capacité de réflexion de l'être humain.
    C'est une fine et habile critique de la société des années 50 en Amérique qui faisait une véritable chasse aux sorcières du communisme. L'ensemble de la population devait condamner ce mouvement politique pour le bien commun! Un parallèle évident avec ce livre.
    Franchement, j'ai vraiment beaucoup aimé et me suis laissée embarquer avec joie dans cette dystopie!

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  • Bien que cela ne soit nullement prévu ni même intentionnel, il semblerait que l’année 2021 soit celle où je me suis enfin décidée à lire les « plus grands classiques » de la science-fiction, et même plus précisément de la dystopie, ceux qu’il faut « absolument lire une fois dans sa vie » à en...
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    Bien que cela ne soit nullement prévu ni même intentionnel, il semblerait que l’année 2021 soit celle où je me suis enfin décidée à lire les « plus grands classiques » de la science-fiction, et même plus précisément de la dystopie, ceux qu’il faut « absolument lire une fois dans sa vie » à en croire tous les critiques littéraires, les libraires, les bibliothécaires, ou tout simplement la foule innombrable de lecteurs « transcendés ». Après La servante écarlate il y a quelques mois, c’est au tour de « l’incomparable » Fahrenheit 451 de sortir de la pile à lire … Et contrairement à La servante écarlate pour lequel j’éprouvais une sorte de défiance instinctive – qui s’est avérée justifiée, je n’ai effectivement pas apprécié cet « incontournable » de l’anticipation –, c’est avec confiance et enthousiasme que je me suis plongée dans Fahrenheit 451 : de ce que j’en lisais, de ce qu’on m’en disait, c’était un roman qui avait absolument tout pour me plaire, que ça soit du point de vue des thématiques abordées ou de celui du style littéraire, j’étais donc persuadée que j’allais apprécier et savourer ma lecture … Mais il semblerait que ces fameux « grands classiques » unanimement encensés ne soient pas pour moi : c’est une nouvelle fois une profonde déception, plus amère encore que je ne l’ai pas du tout vu venir.

    Ce soir-là, comme tous les autres soirs depuis dix ans, Montag rentre de la caserne, puant le pétrole et la fumée, un sourire implacablement plaqué au visage : encore une maison consumée par les flammes, encore des livres, ces objets impies, réduits en cendres d’une seule chiquenaude de sa part. Comme tous les pompiers, Montag a l’immense honneur et la grande fierté de débarrasser la société de ces dangereuses reliques du temps passé, reliques auxquelles s’accrochent comme des cloportes insatiables des esprits récalcitrants. Mais ce soir-là, tandis qu’il s’en retournait chez lui après une satisfaisante opération rondement menée, Montag fait une rencontre qui va remettre en question tout ce qu’il tenait pour fermement acquis. En lui rappelant qu’il y a de la rosée sur l’herbe le matin, en l’invitant à distinguer le visage du bonhomme de la lune, Clarisse lui ouvre les yeux sur un monde qu’il habite sans le voir, englué dans son quotidien où on n’a jamais une seule seconde pour penser. Commence alors une infernale dégringolade qui va le conduire à bafouer tous les interdits, tandis que son esprit trop longtemps éteint par le vacarme incessant de la vie se réveille dans un sursaut de révolte. Qu’y-a-t-il donc dans les livres pour que tant d’individus soient prêts à risquer leur vie pour en posséder ne serait-ce qu’un ?

    Par où commencer ? Peut-être en précisant qu’il m’a fallu presque une heure pour écrire ce misérable résumé d’une quinzaine de lignes, tant je peinais à trouver de la matière : j’ai beau tourner et retourner la chose dans tous les sens, je ne vois aucune intrigue à résumer, aucune histoire à synthétiser. Nous avons un personnage, disons même plutôt une esquisse de personnage puisqu’il n’a absolument aucune « consistance », qui va dans un sursaut soudain sortie vaguement de son apathie et rompre un interdit. Poursuivi par ses anciens collègues, il parvient à fuir, rencontre d’autres parias et voir sa ville se faire réduire en poussière par une bombe. Fin de la pièce, vous pouvez baisser le rideau. Et alors s’élève dans la salle une vague de protestation : quoi, tout ça pour cela ? Des heures et des heures de palabres sans queue ni tête, des pages et des pages d’entremêla de mots sans début ni fin, juste pour voir un gars rejoindre un groupe de vagabonds ? Car c’est vraiment ce que j’ai ressenti : une frustration et une perplexité croissantes, une irritation et une lassitude grandissante, tandis que ce simulacre d’histoire trainait en longueur, s’éternisait inlassablement pour ne rien dire. Deux-cent trente pages, cela peut sembler court, mais croyez-moi, lorsque vous avez le sentiment de tourner en rond, cela devient vraiment très, très long.

    Alors je ne nie pas l’existence d’une certaine forme de « réflexion » sur ce que pourrait devenir notre société, déjà de plus en plus marquée par un conformisme mondialisé où ne subsiste plus qu’une seule et même vague d’opinion, celle des « bienpensants », où ceux qui résistent à ce flux se font systématiquement incendiés (par des mots ou des coups, pas encore des flammes … quoi que) et épinglés par la vindicte populaire. Nous ne sommes en réalité pas si éloignés de cette Mildred, qui passe toute son existence entourée de trois écrans géants qui l’abrutissent, qui lui donnent l’illusion de s’informer, de penser par elle-même, alors qu’elle ne fait plus que répéter comme un gentil petit perroquet bien dressé ce qu’elle entend continuellement. Sans même se rendre compte que ses mots ne sont pas les siens. Nos murs ne sont pas encore des écrans, mais nous vivons le nez penchés sur nos smartphones, à dégainer plus vite que notre ombre dès que nous avons la moindre question, à accepter sans sourciller la réponse qui nous est donnée. Je vous invite à faire un petit jeu : pendant deux semaines, essayer d’écouter plusieurs journaux télévisés différents. C’est « amusant » de constater que 99% des journalistes utilisent rigoureusement, absolument rigoureusement, le même vocabulaire (avec des mots « à la mode ») et les mêmes tournures de phrase. Pensée unique, vous dis-je, même si on refuse de l’admettre.

    Donc oui, je reconnais que ce roman d’anticipation n’est pas entièrement tombé à côté de la plaque, je reconnais qu’il y a quelques éléments à en retirer … Mais le tout est tellement noyé dans cette creusitude faussement philosophique, dans cette platitude qui s’imagine métaphysique, que seul l’ennui subsiste. Montag, le « personnage principal », est une coquille tellement vide – une sorte de pantin désarticulé qui regarde avec ahurissement sa main « qui fait des choses sans sa permission » et que le narrateur trimbale d’un endroit à un autre – que je n’ai pas une seule seconde réussi à m’attacher, ou même à m’intéresser à lui. Qu’il lui arrive ceci ou cela m’était parfaitement égal : il est juste six petites lettres adossées les unes derrière les autres pour former un prénom, mais cela ne suffit pas à en faire un protagoniste de roman. Quant à ce qu’on voudrait pouvoir appeler « l’histoire », ce n’est en réalité qu’un simulacre de récit : nous avons bien une sorte de situation initiale, une sorte de milieu et une sorte de conclusion, mais cela ne suffit pas non plus à faire une réelle intrigue. Je n’ai pas réussi à ressentir le moindre « enjeu », la moindre « tension » : d’un bout à l’autre, l’électrocardiogramme reste plat. De temps à autre, un personnage se met soudainement à sortir des pages et des pages entières d’un discours « survolté » qui n’a absolument aucun sens, aucun intérêt. Et le reste du temps, le narrateur tourne en rond, exactement comme le lecteur qui ne sait plus comment s’échapper de cette cage …

    En bref, vous l’aurez bien compris, malgré un genre littéraire que j’apprécie et malgré des thématiques qui auraient pu m’intéresser … ce roman n’a clairement pas su me convaincre, et je me sens à nouveau comme le vilain petit canard qui n’est pas comme les autres. J’ai beau chercher, je n’arrive pas à voir ce que tant de lecteurs trouvent de si exceptionnel dans ce récit : les personnages sont très loin d’être intéressants, l’intrigue est bien loin d’être passionnante, et la plume est tantôt quelconque tantôt faussement poético-contemplative. Je suis totalement passée à côté de ce que la foule présente comme un ouvrage unique et percutant, et j’en suis la première surprise et désolée … Peut-être que mes attentes étaient trop élevées, sans doute me suis-je laissée entrainer par cette effervescence globale en me disant que, si tout le monde l’aimait, c’était assurément parce qu’il en valait la peine. Intéressant, d’ailleurs, de constater que lorsque l’on n’apprécie pas un ouvrage mondialement reconnue, on a cette fâcheuse tendance à se mettre en cause, à considérer que c’est notre faute, à tenter d’atténuer notre ressenti négatif en parlant d’attentes trop élevées, comme si, au fond de nous-mêmes, on répugnait vraiment à ne pas suivre cette opinion unique érigée en norme … Et en cela, effectivement, la thématique de fond de ce roman est intéressante, même si la façon dont elle a été exploitée ne m’a pas convaincue.

    https://lesmotsetaientlivres.blogspot.com/2022/01/fahrenheit-451-ray-bradbury.html

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  • Ce livre de poche est magnifique avec sa couverture et ses pages comme brûlées.
    La préface nous met tout de suite dans l'ambiance en nous parlant du danger de la censure et en nous remémorant des cas pas si éloignés que ça, notamment dans les années 80 avec Les versets sataniques de Salman...
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    Ce livre de poche est magnifique avec sa couverture et ses pages comme brûlées.
    La préface nous met tout de suite dans l'ambiance en nous parlant du danger de la censure et en nous remémorant des cas pas si éloignés que ça, notamment dans les années 80 avec Les versets sataniques de Salman Rushdie ou encore La dernière tentation du Christ de Martin Scorsese : une condamnation à mort pour l'un, un cinéma brûlé pour l'autre.

    Montag est pompier, et comme tout bon pompier qui se respecte il brûle les livres pour le bien de la société. Car les livres sont considérés comme dangereux et donc interdits. Il est fier de ce qu'il fait, et totalement exalté lorsqu'il le fait.
    Mais un jour il croise le chemin de Clarisse, adolescente de 17 ans qui respire le bonheur, proscrit dans cette société. Tel un Jiminy Criquet elle va bousculer ses certitudes sur le bien-fondé de ce monde sans joie.

    On découvre peu à peu cette civilisation cauchemardesque où les écrans sont tout-puissants et donnent des envies ineptes et futiles et j'ai pensé qu'on était en train de le fabriquer ce monde superficiel où les choses essentielles sont effacées au profit de la vanité et de l'abrutissement des masses. Une structure sociale où tout est fait pour décérébrer le peuple, le priver de liberté sans qu'il en ait conscience.

    Ce roman dystopique, écrit en 1953 est visionnaire. Il nous parle d'un futur possible qui ressemble effroyablement à notre présent. J'ai presque eu l'impression qu'il parlait de ici et maintenant, la destruction des livres en moins. L'abrutissement des masses par des inepties afin de mieux les manipuler, leur enlever le libre arbitre et l'envie de se révolter, leur insuffler la crainte afin d'en faire des moutons. La carotte et le bâton en somme.
    Heureusement, parfois des grains de sable se glissent dans les rouages… et font renaître l'espoir.

    J'ai ressenti le désespoir de ceux qui voient leur bibliothèque partir en fumée, qui se comportent tel un capitaine à bord de son navire en train de sombrer.
    J'ai dévoré ce livre addictif avec passion mais aussi effroi, car la lecture nous ouvre l'esprit, nous élève, nous instruit, nous soigne et chasse l'obscurité.

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  • « Les livres ne racontent rien ! Rien que l’on puisse enseigner ou croire. Ils parlent d’êtres qui n’existent pas, de produits de l’imagination (...). On en sort complètement déboussolé. »

    Guy Montag est pompier et, dans le futur imaginé par Ray Bradbury, les pompiers ont désormais pour...
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    « Les livres ne racontent rien ! Rien que l’on puisse enseigner ou croire. Ils parlent d’êtres qui n’existent pas, de produits de l’imagination (...). On en sort complètement déboussolé. »

    Guy Montag est pompier et, dans le futur imaginé par Ray Bradbury, les pompiers ont désormais pour mission de brûler les livres.
    De débarrasser le monde de ces objets subversifs, dangereux, interdits.
    Interdits pour qui ? Pourquoi ? Autant de questions que Montag va commencer à se poser malgré lui, pour son salut peut-être mais en prenant un risque immense pour sa vie.

    Dans de roman écrit en 1953, Ray Bradbury décrit un monde envahit d’images « divertissantes », de publicités, de bruits, de vitesse, violent où la poésie, la pensée, les débats n’ont pas leur place.
    Et c’est effrayant de voir les similitudes entre son monde imaginaire et notre monde bien réel d’aujourd’hui.
    Ce récit donne l’impression d’une grande urgence, de l’arrivée d’une catastrophe imminente, le style est très rythmé, mais laisse aussi place à de saisissantes images.
    J’ai vraiment été happée par l’histoire de Montag et son cheminement.

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  • Cher Montag,

    Tu as pendant des années partagé une jubilation incendiaire avec tes collègues pompiers, et brûlé des milliers de livres, ainsi que tous ceux qui en détenaient sans te poser de questions. Tu étais comme anesthésié, un pantin désarticulé, que cet état totalitaire a manipulé à son...
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    Cher Montag,

    Tu as pendant des années partagé une jubilation incendiaire avec tes collègues pompiers, et brûlé des milliers de livres, ainsi que tous ceux qui en détenaient sans te poser de questions. Tu étais comme anesthésié, un pantin désarticulé, que cet état totalitaire a manipulé à son gré.

    Ta rencontre avec la jeune Clarisse t’a, semble-t-il, chamboulé. Quelque chose s’est éclairé en toi. Tu as commencé à comprendre que les pompiers n’étaient à l’origine pas là pour mettre le feu, mais plutôt pour l’éteindre. Tu t’es interrogé sur cette femme, Mildred, ta femme, celle qui partage ta vie et dont tu ne sais pas grand chose. « Elle écoute les murs » diras-tu d elle. Aujourd’hui, on dirait qu’elle regarde les Marseillais !

    Et puis, un jour, la moutarde (ou devrais-je dire le pétrole) t’est montée au nez et tu as explosé ! D’un jour à l’autre, tu as décidé de te rebeller. Que cachent les livres ? Qu’ont-ils de si puissant ? Tu as repris le pouvoir de ta vie et tu as décidé d’ouvrir l’objet du délit : un livre ! Et tu as lu, et ton âme s’est réveillée après un si long sommeil.

    Bon, ce changement a été très radical et, on doit dire, que tu es un homme plein de surprises, qui passe du tout au rien. Accrochez-vous lecteur, Montag ne passe pas par quatre chemins et ne donne pas toutes les clés, il faut s’y faire et lire entre les lignes !

    Mais Cher Montag, si tu étais si pressé, c’est que tu n’avais plus de temps à perdre. Encore aujourd’hui, tu nous livres un message important. L’image omniprésente et incessante n’est qu’un ersatz du bonheur. La culture est annihilée, oubliée, mise sur le banc de touche. Sans liberté de penser, sans imagination, sans littérature, nous dérivons vers un monde contrôlé par le technologie et l’uniformité, et nous finirons, sans doute, dans l’état de Mildred au début du roman...

    Mon Cher Montag, même si tu as un peu vieilli, je te remercie pour cette mise en garde qui fait froid dans le dos...

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  • Visionnaire, prenant, édifiant. Devenu une référence de ce qu'il pourrait y avoir de pire.
    Problème soulevé : les cerveaux qui oseraient penser, la peur de l'intellectualité
    Solution proposée : effacer l'histoire, éradiquer toute forme d'échappatoire / de connaissances qui pourraient devenir...
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    Visionnaire, prenant, édifiant. Devenu une référence de ce qu'il pourrait y avoir de pire.
    Problème soulevé : les cerveaux qui oseraient penser, la peur de l'intellectualité
    Solution proposée : effacer l'histoire, éradiquer toute forme d'échappatoire / de connaissances qui pourraient devenir menace
    Objectifs : avilir les foules en les faisant jurer que par la pensée de la majorité en recherche de sécurité
    ?????????????????????????????????????????
    ça nous laisse pantois....Plutôt habiter près d'une rivière avec quelques vestiges et des copains "beatniks"

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  • Un livre est un chef-d'œuvre par son style, son sujet, son éventuelle intemporalité ou son étonnant avant gardisme. Farenheit 451 est tout cela à la fois.
    Un formidable plaidoyer contre toute forme de dictature.
    Dans un monde où les livres sont le symbole de la subversion ultime, les pompiers,...
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    Un livre est un chef-d'œuvre par son style, son sujet, son éventuelle intemporalité ou son étonnant avant gardisme. Farenheit 451 est tout cela à la fois.
    Un formidable plaidoyer contre toute forme de dictature.
    Dans un monde où les livres sont le symbole de la subversion ultime, les pompiers, dans un autodafé permanent, non de cesse de poursuivre les détenteurs de l'objet interdit afin de les brûler....
    Car il faut que les livres disparaissent à jamais.

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