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«Avec une sensibilité et une intelligence qui sont le propre de l'artiste, un des compositeurs et chefs d'orchestre les plus importants de notre époque procède à l'édification de ses mémoires. Né à Kiev en 1912, déjà riche d'un passé ancestral où se mêlent historiens, ethnographes, musicologues, poètes, peintres, révolutionnaires, etc., il se fixe avec les siens en Suisse dès 1916 avant d'entreprendre son apprentissage d'adolescent prodige à Paris. Cortot, Nadia Boulanger pressentent aussitôt ses dons de créateur et d'interprète. Diaghilev s'enflamme pour lui. Puis c'est Marie-Laure de Noailles qui partagera son existence pendant plusieurs années. Il épouse Kyra, fille de Nijinsky, le légendaire danseur des Ballets russes, que nous retrouverons dans un hôpital psychiatrique en Suisse. Un fils leur naît. De hautes amitiés, de passionnantes rencontres vont jalonner l'existence de Markevitch jusqu'au lendemain de la Seconde Guerre mondiale qu'il passe en Italie, entre autres celles de Stravinsky, Auric, Cocteau, Eisenstein, Max Jacob, Dali, Berenson, Charles Munch, Ramuz, pour n'en citer qu'un choix restreint. L'immense gloire internationale qu'il obtient, résultat d'un travail acharné, ne s'est jamais démentie depuis lors. L'autobiographie que l'artiste nous propose aujourd'hui en illustre les avatars avec une rare intensité dans les plaisirs, les passions intellectuelles et humaines, les doutes et les certitudes, en bref le goût de vivre une vie dont il a su diriger sans faiblir le périlleux, subtil et magnifique orchestre.» Bulletin Gallimard, oct. 1980.
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