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Et rien d'autre

Couverture du livre « Et rien d'autre » de James Salter aux éditions Editions De L'olivier
Résumé:

Traduit de l'anglais (États-Unis) par Marc AmfrevilleLa Seconde Guerre mondiale touche à sa fin. À bord d'un porte-avions au large du Japon, Philip Bowman rentre aux États-Unis. Il a deux obsessions, qui l'accompagneront tout au long de sa vie : la littér

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Articles (2)

  • Eté 2015, les 10 romans à lire absolument !
    A redécouvrir : été 2015, les 10 romans à lire absolument !

    Chaque année révèle ses surprises et bien heureusement les pépites foisonnent !Un bon cru que celle-ci où les auteurs confirmés nous ont surpris, d'autres ont acquis leur notoriété en recevant de nombreux prix, certains sont carrément époustouflants par leur talent ou leur œuvre colossale. Prenez le temps de les lire, vous ne serez pas déçus !

  • Ils se disputent (encore) sur lecteurs.com

    Spécial Rentrée littéraire 2014 avec les Explorateurs... Les Explorateurs ne sont pas d’accord, mais pas d’accord du tout sur certains romans de cette rentrée, et ils le font savoir, arguments à l’appui. Le Pour-Contre (épisode 4/5) de Thierry et Michel au sujet du livre Et rien d’autre de James Salter, éditions L'Olivier  

Avis (10)

  • Je me permet,une fois n'est pas coutume de faire une critique négative d'un roman (sachant que cette critique ne nuira pas à la carrière de l'auteur)
    Trompée par la 4eme de couverture ,j'ai abandonné la lecture que j'ai trouvé sans intérêt du fait de la lassitude qu'on ressent jusque dans les...
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    Je me permet,une fois n'est pas coutume de faire une critique négative d'un roman (sachant que cette critique ne nuira pas à la carrière de l'auteur)
    Trompée par la 4eme de couverture ,j'ai abandonné la lecture que j'ai trouvé sans intérêt du fait de la lassitude qu'on ressent jusque dans les personnages qui eux même s'ennuient dans leur existences dorées. On attends les événements qui viennent sans arriver à susciter l'engouement et on lit les pages le une après les autres sans réussir à accrocher.
    j'ai pensé a la fin que le titre "et rien d'autre " se justifiait. Pourquoi dans certaines critiques est il qualifié de chef d’œuvre ? Je ne sais pas !

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  • Je viens d'abandonner ce livre à la page 147.Pour ma part il n'y à pas d'histoire et c'est un livre ennuyeux.
    Je ne comprends pas le commentaire de François Busnel qui dit au dos du livre "Un très grand livre sur les souvenirs et l'oubli"....

    Je viens d'abandonner ce livre à la page 147.Pour ma part il n'y à pas d'histoire et c'est un livre ennuyeux.
    Je ne comprends pas le commentaire de François Busnel qui dit au dos du livre "Un très grand livre sur les souvenirs et l'oubli"....

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  • Le dernier roman de James Salter, Et Rien d'autre, est la définition même du livre clivant: certains vont adorer et aduler, d'autres vont trouver insignifiant et laisser de côté. Ça se lit d'ailleurs dans les critiques journalistiques (comment ne pas penser à François Busnel et le magazine Lire...
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    Le dernier roman de James Salter, Et Rien d'autre, est la définition même du livre clivant: certains vont adorer et aduler, d'autres vont trouver insignifiant et laisser de côté. Ça se lit d'ailleurs dans les critiques journalistiques (comment ne pas penser à François Busnel et le magazine Lire qui place le roman en 1ère position des romans étrangers pour l'année 2014).

    Pour ma part, je ferai une critique de normand! Autant j'ai apprécié l'écriture et le style de James Salter, autant je me suis ennuyé à la lecture du roman. J'ai plusieurs fois été proche par lassitude de le refermer sans le terminer. J'ai malgré tout laissé sa chance à l'auteur jusqu'à la dernière page. Je ne cache pas que j'ai lu certains chapitres en diagonale...

    Le thème principal du roman est intéressant: le monde de l'édition aux Etats-Unis à travers la vie et les frasques de Philip Bowman, vétéran de guerre. L'amour et le sexe sont très présents tout au long des pages. Autant cela est souvent osé et explicite, autant ce n'est que rarement vulgaire. Un bon point pour l'auteur.

    Le roman contient une trentaine de chapitres conçue de manière assez similaire: un mélange de dialogue entre les personnages et de récit. C'est en grande partie cette construction de chapitres qui donne un côté très vivant au récit qui m'a permis d'arriver au bout du roman.
    Le style est fluide et plutôt agréable à lire. Il y a de la recherche dans la construction des phrases et le choix des mots. J'ai été d'ailleurs sensible à l'utilisation de mots français par l'auteur. De même, le récit est riche culturellement et sur la vie aux Etats-Unis post 2ème guerre mondiale. On apprend beaucoup de choses.

    Néanmoins, le coté libertin et très sexuel de certains chapitres m'ont paru inopportuns. De même, je me suis perdu au fur et à mesure avec les personnages secondaires et les frasques de Phil.
    Si le début du roman était prometteur, la suite lasse par sa platitude. Je ne m'attendais pas à des rebondissements mais j'espérais que cette description de "l'american way of life" qui est éloquente dans l'ensemble soit encore plus passionnante. Malheureusement cela ressemble plus à une succession d'anecdotes sans trop d'intérêts...

    Pour conclure, je ne regrette pas la lecture de ce roman (l'écriture de Salter est remarquable) mais je m'attendais à un meilleur contenu.
    3/5

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  • J'avoue j'ai été un peu déçue par ce livre. Philip Bowman démobilisé après la deuxième guerre mondiale, rentre aux Etats-Unis et entame une carrière dans l'édition comme lecteur. Au fil des années, il deviendra directeur de collection. Le récit de sa vie professionnelle et privée (mariage qui...
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    J'avoue j'ai été un peu déçue par ce livre. Philip Bowman démobilisé après la deuxième guerre mondiale, rentre aux Etats-Unis et entame une carrière dans l'édition comme lecteur. Au fil des années, il deviendra directeur de collection. Le récit de sa vie professionnelle et privée (mariage qui tourne court puis liaisons diverses) ne m'a pas vraiment emballée. Philip Bowman m'a même plutôt ennuyée. Personnage inconsistant, dialogues convenus... Je suis quand même arrivée au bout du livre. Ouf !

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  • J'ai longuement hésité entre l'avis de Sandrine et celui de ... François Busnel. Et je me suis lancée dans une lecture attentive, en revenant quelques fois en arrière afin de bien comprendre les petites subtilités dont l'un avait parlé et que peut-être l'autre n'avait pas vues. Et au final, je...
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    J'ai longuement hésité entre l'avis de Sandrine et celui de ... François Busnel. Et je me suis lancée dans une lecture attentive, en revenant quelques fois en arrière afin de bien comprendre les petites subtilités dont l'un avait parlé et que peut-être l'autre n'avait pas vues. Et au final, je rejoins l'avis de Sandrine ... C'est un peu beaucoup de vent pour pas grand chose, des mots, de bonnes intentions et certes une écriture stylée. Mais ... en effet, rien d'autre !

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  • Je ne vais pas résumer le roman ,les lecteurs précédents l'ont fait admirablement.
    j'ai été enchantée durant toute la lecture de ce livre.
    Quelle belle et délicate écriture,c'est élégant et profond.On est dans la vraie littérature classique.A signaler que le héros principal du livre est né la...
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    Je ne vais pas résumer le roman ,les lecteurs précédents l'ont fait admirablement.
    j'ai été enchantée durant toute la lecture de ce livre.
    Quelle belle et délicate écriture,c'est élégant et profond.On est dans la vraie littérature classique.A signaler que le héros principal du livre est né la même année que l'auteur...
    De la fin de la guerre du Pacifique à 1985 s'éteint doucement tout un monde d'éditeurs , d'écrivains(reste encore quelques dinausores comme P.Roth).
    Ce livre parle de la fragilité des choses et surtout de l'amour.
    Un vrai coup dde cœur.

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  • Démobilisé à la fin de la deuxième guerre mondiale, après avoir servi dans la marine et participé à la bataille d'Okinawa, Philip Bowman arrive à New-York prêt à se lancer dans la vie professionnelle. D'abord tenté par une carrière de journaliste, il déchante très vite devant le manque d'offres...
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    Démobilisé à la fin de la deuxième guerre mondiale, après avoir servi dans la marine et participé à la bataille d'Okinawa, Philip Bowman arrive à New-York prêt à se lancer dans la vie professionnelle. D'abord tenté par une carrière de journaliste, il déchante très vite devant le manque d'offres d'emploi. C'est finalement la maison d'édition Baum qui lui donne sa chance en l'embauchant comme lecteur, puis directeur de collection. Très heureux dans sa nouvelle vie, il concrétise son bonheur en épousant Vivian, une virginienne issue d'une riche famille de propriétaires terriens. Le mariage tourne court, Vivian le quittant sans faire de bruit, énonçant l'évidence : ils n'ont rien en commun. Suivront d'autres femmes, parfois libres, souvent mariées. Il sera aimé, quitté, trahi, il aimera, quittera, trahira. Mais ses liaisons ne seront finalement que de simples péripéties dans une existence bien remplie, faite de voyages en Europe, de rencontres avec les auteurs, les éditeurs, de soirées, de sorties, de week-ends à la campagne.

    Un héros désincarné qui, s'il éprouve des sentiments, semble loin de toute passion, des femmes objets toujours belles, les pommettes hautes, le nez long, souvent froides, dont on ne connaît jamais les pensées, du sexe à gogo, une cruelle absence des livres -on évolue tout de même dans le monde de l'édition!-, beaucoup de bavardages, de digressions, de détails inintéressants, il faut vraiment faire preuve de bonne volonté pour arriver au bout de cette longue succession d'anecdotes sans grand intérêt. Misogyne, ennuyeux, mondain ...Et rien d'autre ? Ma foi, non !

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  • Etape de la page 100. Vétéran de la Deuxième Guerre mondiale – il était dans la marine au Japon -, reçu comme un héros à son retour dans le New Jersey, Philip Bowman trouve un emploi chez un éditeur avant d’épouser Vivian, une fille de Virginie, contre l’avis de son nouveau beau-père enrichi...
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    Etape de la page 100. Vétéran de la Deuxième Guerre mondiale – il était dans la marine au Japon -, reçu comme un héros à son retour dans le New Jersey, Philip Bowman trouve un emploi chez un éditeur avant d’épouser Vivian, une fille de Virginie, contre l’avis de son nouveau beau-père enrichi dans l’immobilier. A la page 100, le couple passe le Noël sous la neige dans une vaste propriété en compagnie d’autres personnes. Chapitre très dialogué.

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    • Michel Paquot le 26/08/2014 à 13h55

      Né en 1925, l’Américain James Salter est l’un des plus vieux écrivains en activité. Il est acclamé un peu partout dans le monde et notamment en France où plusieurs de ses livres ont été traduits (L’Homme des hautes solitudes, les deux tomes de ses mémoires (Un bonheur parfait et Une vie à brûler), Cassada…). Et rien d’autre, paru l’an dernier aux Etats-Unis, est un roman extrêmement classique, à l’ancienne, presque désuet, qui raconte la vie d’une poignée d’Américains au cours de la deuxième moitié du XXe siècle. Le personnage central est Philip Bowman, vétéran de la Seconde Guerre mondiale, qui mène une existence sans grand relief: reçu chez lui, dans le New Jersey, comme un héros (statut qu’il réfute), il épouse Vivian, une file de Virginie, rencontre d’autres couples, passe les fêtes en famille, voyage à Londres (où il séduit une femme qu’il retrouvera par la suite), se sépare de son épouse, connaît une nouvelle vie amoureuse, mais aussi des déceptions, des revers, etc. S’il est le fil conducteur du roman, Bowman n’en est pas l’unique protagoniste, loin s’en faut. Autour de lui gravitent d’autres personnages qui, eux aussi, se marient, se séparent, voyagent, ont des difficultés, meurent… Si la lecture du roman est plaisante, elle n’est guère enivrante. Tout ronronne dans cette alternance de longs passages dialogués (volontiers insipides, où l’on parle de tout et de rien, plutôt de rien) et de descriptions fourmillant de détails anecdotiques (descriptions de lieux, de gens, de leurs habitudes, de leurs activités, etc.). Pourquoi pas? La mise en scène du quotidien d’hommes et de femmes qui ne sont les héros que de leur propre vie peut en effet donner lieu à de grands livres. Mais encore faut-il que l’on s’attache à eux et que ces petites choses qui forgent leurs existences, qui ressemblent souvent aux nôtres, soient révélatrices ou formatrices de quelque chose de plus grand. Or, ce dépassement humain, qui me semble être l’objet même de la littérature, sa richesse et sa grandeur, je ne l’ai pas retrouvé sous la plume de James Salter, hélas.

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