"Je voulais écouter du rap opaque, dans des bras déraisonnables ».
E le ments de langage rassemble trois livres parus, nague re, se pare ment. Mais, par ce geste neuf qui les re unit, est mis en e vidence un moment cle dans l'e criture de Que len et la forte cohe rence de sa de marche.
Son oeuvre cherche, par un concentre d'instants, de lieux, de gestes, d'e ve nements diffe rents, a faire re sonner, du rapport entre le corps et le monde, le « timbre secret, d'aucune langue ». La douleur pour articuler l'un a l'autre est passe e au crible d'un tri en vue de tenir « le moins de place possible : exercice de la pense e. » Une forme se de gage alors, bien identifiable. Bre ve, pre cise. Il y a dans tous ces textes « une beaute simple et sans appre t, une part de calcul, un mouvement dans leur immobilite ».
Ainsi Ge rard Noiret peut e crire, dans La Quinzaine litte raire, que « Dominique Que len a peint du premier coup une perfection qui le singularise. » Stupe fiante.
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"Je voulais écouter du rap opaque, dans des bras déraisonnables ».
L'auteur met en récit deux cents ans d’histoire de la privation de liberté et de l’exploitation humaine dans la région de l’actuel Tchad
Du soleil, du repos et des livres !
La liste idéale pour alimenter vos lectures estivales !