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Dernière communication à la société proustienne de Barcelone

Couverture du livre « Dernière communication à la société proustienne de Barcelone » de Mathias Enard aux éditions Inculte
  • Date de parution :
  • Editeur : Inculte
  • EAN : 9791095086345
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

De Beyrouth a` Damas, de la Russie au Tadjikistan, aux Balkans et a` l'Espagne, Mathias Enard de´peint a` travers un recueil d'errances poe´tiques l'immense carte de son monde d'e´criture, mais aussi sa ge´ographie intime. L'auteur de Boussole (prix Goncourt 2015), en lieu de poe`mes, nous offre... Voir plus

De Beyrouth a` Damas, de la Russie au Tadjikistan, aux Balkans et a` l'Espagne, Mathias Enard de´peint a` travers un recueil d'errances poe´tiques l'immense carte de son monde d'e´criture, mais aussi sa ge´ographie intime. L'auteur de Boussole (prix Goncourt 2015), en lieu de poe`mes, nous offre ici des re´cits poe´tiques, brefs, e´clate´s, fulgurants, sensuels parfois, brusques souvent.
Des re´cits dont le style rappelle Cendrars, Apollinaire, Pessoa et me^me Garcia Lorca par leur brutale simplicite´, leur e´vidence poe´tique. Dernie`re Communication a` la Socie´te´ proustienne de Barcelone traverse vingt ans d'e´criture et dessine pour l'auteur une manie`re d'autobiographie voyageuse.

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Articles (1)

Avis (1)

  • Prose, rimes, Mathias Enard est aussi un immense poète qui continue à nous faire voyager merveilleusement. Préfacé par Olivier Rolin, ce recueil est une merveilleuse errance autobiographique.

    RUSSIE -
    "Je caresse, dans le givre, les lèvres du jardin.
    Les esclaves de marbre, le front dans la...
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    Prose, rimes, Mathias Enard est aussi un immense poète qui continue à nous faire voyager merveilleusement. Préfacé par Olivier Rolin, ce recueil est une merveilleuse errance autobiographique.

    RUSSIE -
    "Je caresse, dans le givre, les lèvres du jardin.
    Les esclaves de marbre, le front dans la brume,
    Lances pointées vers le ciel.
    Des deux chênes je n'entends
    Que les ruines sous mes pas,
    Leurs voix fragiles crissent doucement,
    Paroles froissées d'hiver."

    Je n'ai jamais su répondre à la question de savoir quel livre je prendrais avec moi si exilée sur une île déserte... Peut-être que ce serait celui-là, alors... En attendant, il ne va pas quitter mon chevet.
    TALENT est un mot inséparable de ENARD.

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