Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
« Si je pouvais tuer mon père, je me sentirais mieux. Plus libre, plus serein. Je pourrais peut-être à nouveau respirer. Et vivre. » Ces mots, les premiers du roman, transmettent dès l'abord la détresse et le mal-être profond de Ghislain, qui, à 15 ans, vient de perdre son père, depuis trois mois déjà. Il lui en veut furieusement de les avoir abandonnés lui et sa mère, de lui avoir gâché son innocence et sa joie de vivre. Peu à peu, la recherche d'un coupable va faire place à un brouillard dans lequel son esprit va se rapprocher de la réalité, jusqu'à ce qu'il puisse enfin, en découvrant l'amour grâce à la douce Amélie, poser des mots sur ce deuil. Entouré de son parrain, psychologue spiritualiste, et d'amis qui ne manqueront pas de le surprendre tant par leur sensibilité que par leur histoire, Ghislain va réussir à sortir de sa bulle de tristesse et de révolte, apprenant à réaliser et à accepter que la vie continue, et que les morts restent vivants dans le coeur de ceux qui les aiment...
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Découvrez les auteurs, autrices et libraires qui accompagneront le président du jury Jean-Christophe Rufin !
Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Sénèque écrit une ultime lettre, alors qu'il a été condamné à mort par celui dont il fut le précepteur, conseiller, et ami : l'empereur Néron