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La violoniste américaine Nelly Tielmann vient de se faire voler son stradivarius, un instrument historique de 1716, d'une valeur inestimable, baptisé le Sarasate. Parce qu'elle ne fait pas plus confiance à la police qu'à ses proches, la belle virtuose fait appel au détective Simon Rose.
Pour Rose, qui vient de perdre sa mère, commence une enquête mouvementée qui va le mener de Bâle à Mulhouse, de Zurich à Paris.
Instrument de vengeance, de deuil, d'argent, d'amour, le Sarasate va jouer des cordes les plus sensibles, et semer bien des cadavres et des regrets.
Je découvre Simon Rose, détective privé avec cette enquête sur le vol d'un Stradivarius sous les yeux de sa propriétaire. Et dès le début, cette histoire m'a paru si invraisemblable que je n'ai pas réussi à m'y intéresser vraiment. Manipulations, malversations, négociations, tromperies en tout genre, rien n'est crédible même s'il y a du rythme et des rebondissements.
L'enquêtuer m'a paru plus profité de la situation que réellement impliqué et les histoires malfrats en parallèle desserve plus l'histoire qu'elles ne la complètent ou l'enrichissent.
Il n'y pas de suspens vu que l'on sait dès le départ ce qui c'est passé et quand il y en a c'est tellement téléphoné que ce n'est pas une surprise. Enfin vous l'avez compris je n'ai pas été passionné par ce roman.
Mais je vais quand même finir par une touche positive avec l'écriture qui est agréabléable et à travers laquelle on sent que l'auteur a pris un réel plaisir c'est déjà ça.
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