Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
La première édition de ce bref récit relatif aux salles des ventes au xviiie siècle, est parue sous le titre la confession du brocanteur, l'auteur y décrit avec esprit les moeurs des marchands qui usent davantage de la ruse dans leurs affaires que de leur jugement en matière de peinture...
Plus de deux siècles après, les affaires du monde sont conduites en aveugle de la même manière, d'une rive à l'autre de l'atlantique et sur tous les océans les porte containers sillonnent le monde, la victoire de l'économie coïncide avec celle de l'art, mais cette fois l'aveuglement est tel que l'illusion s'aveugle elle-même, plus rien ne compte en dehors d'elle, et personne ne songe plus à en parler, " le crime est parfait " et les protagonistes participent vivement à leur propre naufrage.
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