Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Et si l'intérêt proprement philosophique du cinéma avait à voir avec ce qu'il nous apprend du bien, avec sa façon unique de nous rendre meilleurs ? stanley cavell poursuit ici son travail sur les comédies de remariage des années 1930-1940 mais aussi sur des films de e.
Rohmer, a. hitchcock, j. -l. godard, l. bunuel, i. bergman ou j. jarmusch. parce qu'il met en scène nos confrontations quotidiennes avec autrui (nos amants, nos frères, nos parents, nos amis, nos voisins ou simplement notre prochain), le cinéma nous introduit à une morale de l'ordinaire, non plus faite de devoirs abstraits ou de calculs utilitaristes mais plus proche de la fidélité à soi, de la capacité de conversion avec l'autre, en un mot du perfectionnisme.
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