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Cigarettes littéraires

Couverture du livre « Cigarettes littéraires » de Daniel Destarac aux éditions Gunten
  • Date de parution :
  • Editeur : Gunten
  • EAN : 9782914211260
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Dans cet ouvrage, Daniel DESTARAC nous propose de suivre les cours impossibles d'un impossible Martial, Professeur de lettres impossibles. La didactique, la rhétorique appâtent l'attention, puis l'idée est de nous abreuver, nous nourrir, nous amuser même, pour mieux nous abuser, nous perdre,... Voir plus

Dans cet ouvrage, Daniel DESTARAC nous propose de suivre les cours impossibles d'un impossible Martial, Professeur de lettres impossibles. La didactique, la rhétorique appâtent l'attention, puis l'idée est de nous abreuver, nous nourrir, nous amuser même, pour mieux nous abuser, nous perdre, repus et abasourdis. Les leçons de Martial et le contenu de l'oeuvre répondent aux plus grandes traditions du double discours inventé par les sophistes auxquels Daniel DESTARAC se joint avec virtuosité, les égalant avec humour. Une culture sans failles, un vrai talent, une mauvaise foi incontestable ou inversement. Un mauvais esprit, des esquives, des ruses, des attaques au service de la fiction, du raisonnement, de l'intelligence et de la littérature. Daniel peut enlever sa fausse barbe, son faux nez, son masque, on a reconnu DESTARAC, l'auteur, le malicieux, l'impossible auteur. Extrait : « ...On ne saurait être plus clair. Lacus est infâme et ce qu'il dit est ignoble mais (à deux ou trois vers près peut-être) cela est dit dans un langage aussi beau que celui des héros. Un auteur ne doit pas, parce que tel personnage est ignoble, salir le langage qu'il lui prête. Une langue, dans l'usage, ne tend hélas qu'à s'abaisser ; elle ne résiste que chez les grands écrivains [nouveau regard de biais vers Nemours, mouvement de tête approbatif de Cottin, bâillements provocateurs au dernier rang]. Est-ce que vous sentez ce qu'il y a de rare à dire des choses si basses dans des vers si beaux ? » Il ne lui parut pas qu'ils le sentissent... »

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