Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Alain, Marc, Taka, Olaf et tant d'autres enfants se retrouvent à Terneray, un centre de redressement où des chefs et cheftaines au grand coeur tentent de leur rendre leur dignité.
Ils sont tous issus de l'Assistance publique, ou délinquants, ou de parents jugés inaptes. Leurs souffrances sont terribles, mais ceux qui les entourent désormais, à l'image du juge pour enfants Lamy, savent les orienter et leur apporter, même dans les pires moments, l'amour qui leur a toujours manqué.
Un grand roman de tendresse et d'humanité déconcertantes.
Gilbert Cesbron, écrivain profondément humaniste, occupait une place un peu à part de la littérature du XXe siècle. Chacun de ses livres était un témoignage sur un problème de société et il était avant tout préoccupé par l’enfance en détresse ainsi qu’en témoigne « Chiens perdus sans collier ».
Au début des années 50, la société prend en charge les orphelins, les délinquants broyés par la misère, l’alcoolisme, les logements insalubres, les séquelles de la guerre…
Juge, psychiatre et éducateurs croisent ces jeunes entre le centre d’éducation surveillé, le cabinet médical et le tribunal, et patiemment, avec beaucoup d’humanité, tentent d’offrir un semblant d'avenir à des gosses nés sous une mauvaise étoile, dans récit fort et passionnant.
60 ans plus tard, le bilan n’est pas forcément plus rose mais l’enfance en détresse est une préoccupation majeure au sein de notre société et Cesbron y est peut-être un tout petit peu pour quelque chose…
J'ai lu ce livre à l'adolescence et j'en garde un vif souvenir. Très touchant
J'aurai pu en mettre plusieurs,Cesbron,lecture de mon adolecsence
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Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
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