A priori, tous les dessins de Michel-Ange ont été répertoriés. Et lorsque l'un d'eux fait une apparition discrète sur le marché, il y a tout lieu de supposer qu'il a été volé. Le plus incroyable, c'est que celui qui est proposé à Henri Valhubert, célèbre expert parisien, provient probablement du Vatican ! Qui se risquerait à subtiliser les trésors des archives papales ? L'affaire se complique lorsque Valhubert est assassiné, un soir de fête, devant le palais Farnèse. Instantanément, les soupçons se portent sur le fils de la victime. Ce dernier fait partie d'un curieux triumvirat d'étudiants, aux surnoms d'empereurs : Claude, Néron et Tibère. En résidence à Rome depuis plusieurs années, tous trois entretiennent des liens singuliers avec la veuve de Valhubert. Une femme au charme envoûtant...
Très sympathique et agréable entre deux livres sérieux. Mais inférieur à d'autres livres du même auteur.
Un roman du maître du policier
Le style et l'histoire sont sympathiques.
Mais pourquoi je m'obstine à lire des policiers !
Je sais qu'il va y avoir crime-enquête-solution alors je m'ennuis.
L’histoire est intéressante.
Fred Vargas nous évoque une enquête sur des vols et des reventes de dessins de Michel-Ange et ce que cela entraîne…
Le fait que l’auteure alterne les différents points de vue tout en gardant une vision externe de l’histoire nous aide à avoir toutes les cartes en main. Malgré cela on reste complètement surpris quant à l’annonce des coupables.
Le roman est séparé en chapitres parfois un peu trop courts. Mais même si cela m’a un petit peu perturbée, les chapitres courts sont « coupés » de manière à faire durer le suspense et nous donner envie de continuer la lecture.
En ce qui concerne les descriptions des personnages il n’y en pas assez selon moi. J’aurais souhaité en avoir plus pour pouvoir mieux m’imaginer les différents protagonistes. Même s’il n’y a pas assez de détails cela ne m’a pas empêchée de bien différencier les personnages et leurs rôles.
Les retournements de situations sont présents quand c’est nécessaire et l’auteure n’essaye pas d’en faire trop.
La fin est intéressante et Fred Vargas nous fait une sorte de résumé de tout ce qui s’est passé du côté des coupables, je trouve que c’est une bonne idée.
Concernant le lecteur j’ai encore une fois beaucoup apprécié que l’on me lise l’histoire.
Philippe Allard met bien le ton dans l’histoire. On ressent très bien quand les protagonistes se parlent dans des moments plus complices.
Par contre j’aurais souhaité avoir un peu plus de différences concernant les voix des personnages.
J’ai beaucoup apprécié le fait d’avoir des musiques entre certains chapitres. Par contre je n’ai pas très bien compris pourquoi ce n’était que lors de certains chapitres et pas tous.
J’ai encore eu du mal avec le fait que le lecteur lise le numéro du chapitre, mais cela reste personnel…
Le roman est assez court et je pense que pour commencer avec l’audio livre ce roman pourrait convenir. Il peut très facilement s’écouter en une après-midi.
En résumé un roman vraiment intéressant et un audio livre que je conseille sans problème aux personnes qui veulent découvrir la lecture d’un roman par une autre personne.
http://fais-moi-peur.blogspot.fr/2016/03/affaire-n145-ceux-qui-vont-mourir-te.html
Petit roman qui s'apparente presque à une nouvelle mais bien ficelé avec des personnages hauts en couleur ( Inspecteur Valence à ne pas confondre avec le commissaire ).
Pas récent , c' est un rattrapage de vacances qui m' a fait passer un bon moment sur la plage
L'éditeur d'art parisien Henri Valhubert est contacté par un collectionneur pour expertiser un dessin de Michel-Ange jusqu'alors inconnu. Il reconnaît la patte du maître italien et estime qu'il s'agit d'une gravure volée. À l'odeur du papier, il pense qu'elle pourrait provenir d'un fonds d'archives inexploré de la Bibliothèque vaticane. Pour faire la lumière sur cette affaire, l'éditeur décide de se rendre à Rome où son fils Claude poursuit en dilettante ses études en compagnie de deux amis, Thibault dit Tibère et David dit Néron, tous deux amoureux de Laura, la belle-mère de Claude. Chaque mois, celle-ci se rend à Rome, et tout le monde se retrouve chez Gabriella, une jeune femme qui a été élevée par l'évêque Lorenzo Vitelli, correspondant des trois étudiants. À peine arrivé, Henri Valhubert se met en quête de son rejeton au cœur d'une grande fête devant le palais Farnèse. Mais bientôt, Tibère le retrouve mort, empoisonné par un cocktail contenant de la ciguë. D'une tonalité classique, ce troisième roman de Fred Vargas contient déjà l'essentiel de ce qui a fait la réputation de la romancière : une intrigue bien construite, une écriture élégante, des personnages attachants et décalés (dont un trio qu'on retrouve sous d'autres formes dans les livres suivants) et une description de Rome et du Vatican qui sonne juste. --Claude Mesplède
Un de ses romans parmi d'autres, j'en ai lu une bonne dizaine et je les ai tous appréciés...
Bien mais pas mon préféré, bon roman......
j'aime tous les FRED VARGAS
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