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C'est au pied du mur qu'on mange des merles

Couverture du livre « C'est au pied du mur qu'on mange des merles » de Luc Doyelle aux éditions Laura Mare
  • Date de parution :
  • Editeur : Laura Mare
  • EAN : 9782918047100
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

L'effet papillon... décembre 2004, l'Indonésie est balayée par un tsunami d'une puissance phénoménale. Six mois plus tard, Luc Doyelle observe, dans son jardin, le battement d'ailes d'un papillon. C'est la révélation ! Dans ce nouveau roman, nous verrons comment Lucius, d'un placard à un autre,... Voir plus

L'effet papillon... décembre 2004, l'Indonésie est balayée par un tsunami d'une puissance phénoménale. Six mois plus tard, Luc Doyelle observe, dans son jardin, le battement d'ailes d'un papillon. C'est la révélation ! Dans ce nouveau roman, nous verrons comment Lucius, d'un placard à un autre, va bouleverser des pans entiers de son univers, au point de mettre en péril l'existence même de l'Amie. Chacun de ses choix de vie sera lourd de conséquences. Après l'accueil chaleureux réservé aux «liaisons presque dangereuses», Luc Doyelle met en scène à nouveau ses personnages fétiches dans un scénario endiablé qui fait la part belle à l'humour.

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Avis (1)

  • Ramettes, je te dois de gros sourires, de petits rires (lorsque je n’étais pas seule) de bonnes rigolades (lorsque j’étais seule dans mon lit).

    Certains présentateurs de télévision se trouvent mis au placard. Savons-nous de quoi il s’agit exactement ? Et si cela se passait comme pour Lucius...
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    Ramettes, je te dois de gros sourires, de petits rires (lorsque je n’étais pas seule) de bonnes rigolades (lorsque j’étais seule dans mon lit).

    Certains présentateurs de télévision se trouvent mis au placard. Savons-nous de quoi il s’agit exactement ? Et si cela se passait comme pour Lucius ?

    Lucius est un grand voyageur spatio-temporel. Pas besoin d’une logistique digne de Kourou, il n’a qu’à entrer dans son placard et, hop…. Direction le passé. Des séquences délicieuses lorsque Lucius le Jeune rencontre Lucius le Vieux et quel chaos, quel choc.

    Surtout ne pas essayer de trouver LA logique. Dans le monde de Lucius et de ses placards, elle n’existe pas, pardon, ce n’est pas la même que nous.

    Les calembours genre Almanach Vermot ou genre moi se ramassent à la pelle (pourtant nous ne sommes plus en automne et les feuilles sont déjà tombées et ramassées). Dès le préambule nous sommes avertis de sa qualité de membre honoris causa de l’ASNOBAPA.
    Pas de doute, Doyelle est barré placardé. Son humour loufoque, ses jeux de mots à 2 balles (de ping-pong) m’ont enchantés, m’ont fait rire. Séance de gymnastique faciale gratuite avec extensions des zygomatiques, des abdos par contractions hilarantes et j’en passe et des moins bonnes.

    OK, c’est barré, c’est loup-phoque, hi l’hareng, mais l’écriture n’en pâtit pas et non petit pas. Il y a du boulot dans ce livre (le chêne est trop onéreux). Vous aurez même l’explication du dicton « tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse » !

    « Faute de grives on mange des merles » dit le dicton. Mais des merles sauce Doyelle, j’aime m’en repaître (je mets re devant car je ne suis pas un bovin). Je vais me pencher ( mais pas trop) sur le cas de son premier livre « les liaisons presque dangereuses, ou comment soigner l’hypertrichose d’un animal de compagnie ». Le titre est déjà tout un programme.

    Un livre qui fait beaucoup de bien qui chasse la morosité.

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