Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Casa, la casa fait suite à Vivre me tue.
"Suite" n'est pourtant pas vraiment le terme approprié pour qualifier ce qui s'apparente davantage à la poursuite d'une quête, quête d'identité, quête initiatique hilarante, caustique, désabusée de l'auteur-narrateur s'envolant vers le Maroc à la recherche de ses racines. Mais là encore, l'association des mots auteur et narrateur s'avère abusive. Car si le héros (ou l'antihéros) porte effectivement le nom de l'auteur, rien n'est plus éloigné de la démarche autobiographique que cette entreprise où le narrateur revendique son statut de personnage de fiction, de double romanesque d'un écrivain qui, en réalité, ne s'est jamais appelé Paul Smaïl, identité fictive, pseudonyme de circonstance.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Faites votre choix parmi les 20 romans en lice !
Tentez vite votre chance pour gagner l'une des 15 bandes dessinées sélectionnées par le jury
Une interview des auteurs, un défi écriture et des livres à gagner !