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Dans la pièce de théâtre «Cambodge, me voici», quatre femmes de différentes générations se croisent le temps d'une démarche administrative au consulat du Cambodge à Paris. Elles s'opposent, se déchirent, mais aussi s'amusent de leurs expériences d'intégration, de la relation à leur terre d'origine et à leur pays d'adoption.
Il y a Sophea, franco-cambodgienne de deuxième génération, en quête des racines dont sa mère l'a coupée, Sovandara, fraîchement débarquée en France pour se marier avec un homme qu'elle a connu au Cambodge, Mom, rescapée du régime génocidaire, déterminée à adopter une fille dans son pays d'origine et lui offrir l'enfance qu'elle n'a pas eu et Metha, exilée avant la chute de Phnom Penh, maintenant contrainte à retourner dans sa terre natale faire ses adieux à sa mère mourante.
Au-delà des conséquences tragiques du régime khmer rouge, ce sont les questions universelles de l'identité, de la quête de soi, du rapport à ses racines et de la transmission qui sont posées.
«Cambodge, me voici» a été créée dans sa version française en avril 2011 à Paris avec une mise en scène de Jean-Baptiste Phou. Elle a ensuite été accueillie en résidence à l'Institut français du Cambodge et recréée en langue khmère en septembre 2012 à Phnom Penh, également mise en scène par son auteur.
Le présent bilingue Cambodge, me voici, qui présente les deux versions en vis-à-vis, intéressera les apprenants du khmer mais aussi les amoureux du Cambodge et plus généralement les lecteurs à la recherche d'écritures contemporaines restituant ce sentiment universel d'écartèlement entre deux cultures.
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