Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Quand un garçon va venir au monde, personne ne pense à l'appeler Caïn. Bande de trouillards.
Dans la Bible, Caïn est celui qui a été banni. Depuis, seuls des personnages de fiction portent ce nom. Des êtres qui se définissent comme marginaux, des apologues de l'excès. Caïn est James Dean dans À l'Est de l'Eden, Caïn est Charles Foster Kane (lire: Kéin) dans Citizen Kane, Caïn est le nom de la secte à laquelle appartient Corto Maltese : « Nous, les Caïnites cherchons toujours le Paradis Perdu, pour le rendre à notre Mère. » Caïn est ici un orphelin inconnu qu'on jette dans une décharge, et auquel on donne ce prénom, parce que, « s'il réussit à surmonter ce qui l'attend, il sera sans aucun doute un maudit. » «Caïn » est une histoire située dans un Buenos Aires à feu et à sang, dans une Argentine en rebellion ouverte. Rien de prophétique, évidemment.
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