Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
" je savais bien deux choses pour les avoir vues moi-même, je savais les fleurs et les étoiles.
J'avais pris un pot de géranium et planté les fleurs dans la terre et les racines vers le haut. mais lui s'était tordu la tête comme quelqu'un qui se bat et était remonté par-dessus ses racines. les fleurs remontent vers les étoiles parce que les étoiles leur donnent à boire. on voit les étoiles dans les puits, mais au contraire les étoiles sont des puits et la pluie et la rosée tombent de là. " dans ce premier roman (1935) luc dietrich revit les vicissitudes de son enfance jusqu'à la mort de sa mère.
Ses images dures, alliées à une sensibilité toute tendue vers le détachement, enthousiasmèrent la critique qui vit là davantage qu'un roman : une sorte de quête de soi, entre douleur et limpidité, la confession candide et cruelle d'un être qui n'a jamais guéri de son enfance - " une somme de pensée et de science enfantines ", comme a pu dire lanza del vasto.
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