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Billy Summers

Couverture du livre « Billy Summers » de Stephen King aux éditions Albin Michel
Résumé:

Sélection Les 100 livres de 2022 - Lire magazine littéraire« Un formidable polar. » Le JDD«Un grand roman noir [...] » TéléramaL'histoire d'un type bien...qui fait un sale boulot.Billy Summers est un tueur à gages, le meilleur de sa profession, mais il n'accepte de liquider que les salauds.... Voir plus

Sélection Les 100 livres de 2022 - Lire magazine littéraire« Un formidable polar. » Le JDD«Un grand roman noir [...] » TéléramaL'histoire d'un type bien...qui fait un sale boulot.Billy Summers est un tueur à gages, le meilleur de sa profession, mais il n'accepte de liquider que les salauds. Aujourd'hui, Billy veut décrocher. Avant cela, seul dans sa chambre, il se prépare pour sa dernière mission... À la fois thriller, récit de guerre, road trip et déclaration d'amour à l'Amérique des petites villes, Billy Summers est l'un des romans les plus surprenants dans l'oeuvre de Stephen King, qui y a mis tout son génie et son humanité.TTT - Télérama « Une belle réussite. » Le Figaro « C'est le meilleur livre de King depuis des années. » The Guardian (UK)« Aussi doué pour les scènes d'action que pour la profondeur psychologique, King est au sommet de son art. » The Sunday Times (UK)« Voir le maître incontesté de l'horreur passer au domaine du thriller noir est la preuve que King peut encore nous surprendre et nous étonner. » Esquire

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Avis (20)

  • Un grand roman noir passionnant sur l'Amérique profonde, sur la survie des petites gens ordinaires et la cupidité des grands truands. Stephen King porte un regard plein de tendresse sur la solidarité entre précaires tout en exprimant un avis tranché sur le gouvernement de Trump, la violence de...
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    Un grand roman noir passionnant sur l'Amérique profonde, sur la survie des petites gens ordinaires et la cupidité des grands truands. Stephen King porte un regard plein de tendresse sur la solidarité entre précaires tout en exprimant un avis tranché sur le gouvernement de Trump, la violence de la mafia, l'explosion des crimes et des viols, la monstruosité de la pédophilie.
    Billy Summers, sniper vétéran de la guerre en Irak, est bien décidé à raccrocher. Tueur à gages, il s’est fixé un code : n’éliminer que les ordures, les salauds, les abjects. D’où sa question pour décider d’honorer un contrat ou pas : « C’est un méchant ? »
    Il accepte un dernier contrat, celui que son expérience et son instinct lui font pourtant pressentir comme « le coup de trop ». 
    A la fois thriller, récit de guerre, road trip et déclaration d'amour à l'Amérique des petites villes, Billy Summers est un roman génial et plein d'humanité.

    Ce roman est construit sur deux moteurs – d’un côté la cible à abattre, de l’autre la littérature —Thérèse Raquin est là pour rappeler : jamais crime commis ne s'efface

    Stephen King est un immense conteur qui arrive à rendre sympathique un homme qui gagne sa vie en assassinant des gens.

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  • Je viens de terminer l'histoire de Billy Summers que j'ai fait durer un maximum tellement j'ai été plongé dedans et dont j'ai énormément apprécié cette histoire.
    Une histoire qui change de registre car on va suivre un ancien tireur d'élite qui a exercer en Irak et qui met un point d'honneur a...
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    Je viens de terminer l'histoire de Billy Summers que j'ai fait durer un maximum tellement j'ai été plongé dedans et dont j'ai énormément apprécié cette histoire.
    Une histoire qui change de registre car on va suivre un ancien tireur d'élite qui a exercer en Irak et qui met un point d'honneur a ne tuer que des méchants.
    Billy aujourd'hui veut décrocher et changer de vie mais c'est sans compter sur un dernier contrat qu'il va lui etre proposer avec pour appat non seulement de tuer un très très méchant mais surtout pour la somme de deux millions de dollars qui lui assureront une retraite très confortable.
    Un contrat qui ne sa passera bien évidement pas comme prévu, mélant la fuite, le sauvetage, la course poursuite et une rencontre pas comme les autres.
    On dévore les pages en ayant hate de savoir la suite, un genre qui change mais parfaitement maitrisé.
    Du suspens, de l'angoisse, de la peur..tout y est et peut etre mème de l'amour, un condensé d'émotions pour ce thriller noir qui m'a captiver littéralement.

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  • Un magnifique roman. Billy Summers est un tueur à gages mais King arrive à en faire un personnage attachant : d'abord parce qu'il ne tue que les méchants, parce que sa vie n'a pas été si facile .(une enfance en foyer, puis marines en Irak ).. et qu'il sauve Alice, cette jeune fille violée,...
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    Un magnifique roman. Billy Summers est un tueur à gages mais King arrive à en faire un personnage attachant : d'abord parce qu'il ne tue que les méchants, parce que sa vie n'a pas été si facile .(une enfance en foyer, puis marines en Irak ).. et qu'il sauve Alice, cette jeune fille violée, battue et abandonnée sous la pluie en pleine nuit. Et on sent bien que cette dernière Mission sera la dernière... Une peinture de l'Amérique sans concession, un livre avec beaucoup de nostalgie et de poésie.

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  • Moi qui n'était pas fan de cet auteur, j'ai complètement modifié mon jugement.

    Dans ce thriller, King met enfin le meilleur de lui-même. Son tueur enfile plusieurs identités façon "cigogne" sans qu'on ne s'y perde. Ce tueur et ses commanditaires sont observés à la loupe, la précision de la...
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    Moi qui n'était pas fan de cet auteur, j'ai complètement modifié mon jugement.

    Dans ce thriller, King met enfin le meilleur de lui-même. Son tueur enfile plusieurs identités façon "cigogne" sans qu'on ne s'y perde. Ce tueur et ses commanditaires sont observés à la loupe, la précision de la lecture des personnages est bluffante. Tous ces "mauvais gars" ont un côté gentil. Et surtout les actions du tueur sont plein de moral. Les crimes sont finalement jalonnés de belles intentions et beaux sentiments, et ceci sans que ça ne soit ridicule.
    Le deuxième joli personnage est la jeune fille qui l'accompagne et fait un bel apprentissage de la vie.
    Rien n'est surfait dans toutes les caricatures, rien n'est cliché car toujours hyper adapté aux différentes situations. Beaucoup de nos auteurs hyper vendeurs français, feraient bien de prendre exemple et d'analyser la technique King 2022.
    Juste deux bémols : la traduction n'est vraiment pas bonne (beaucoup de vilaines phrases) et quelques longueurs lorsque le tueur repense à son passé de marines.

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  • Billy Summers, ex-sniper de l’US Army et vétéran d’Irak, est désormais un tueur à gage d’un genre particulier : il n’accepte que des contrats sur des « bad guys ». Sur le point de raccrocher, il conclue son dernier gros contrat, tuer un type accusé de meurtre sur les marches du palais de...
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    Billy Summers, ex-sniper de l’US Army et vétéran d’Irak, est désormais un tueur à gage d’un genre particulier : il n’accepte que des contrats sur des « bad guys ». Sur le point de raccrocher, il conclue son dernier gros contrat, tuer un type accusé de meurtre sur les marches du palais de justice d’une petite ville du Sud des Etats-Unis, juste avant le procès. En attendant que la date du procès soit programmée, il vit sous couverture dans la petite ville en question, sous les traits de David Lockridge, un écrivain. Comme le temps lui semble long, il se met réellement à écrire sa vie, et sympathise avec ses voisins. Le jour J arrive, et Billy est en place derrière la lunette de son arme…
    Ce gros roman de Stephen King est en réalité le portrait d’un homme, Billy Summers. C’est son vrai nom car il en utilise plein pendant le roman, à cause de ses activités. Il y a l’intrigue principale, bien-sur, que l’on pourrait découper en trois grande parties. La première partie est assez fascinante, elle expose les longs préparatifs du crime pour lequel il a été engagé : toutes les précautions qui sont prises, tous les subterfuges à anticiper pour couvrir sa fuite le moment venu, sa méfiance instinctive envers tout et tout le monde l’amène à multiplier ses précautions jusque dans les tous petits détails. Pour se fondre dans le décor, il sympathise avec ses voisins, joue avec leurs enfants, plaisante avec des voisins de bureau, il sent lui-même qu’il flirte avec le danger, comme si sa couverture était trop parfaite. Puis, à l’issue d’un gros tiers du roman : le contrat est exécuté et Billy doit se planquer. C’est là que déboule l’élément imprévu, une jeune femme prénommé Alice, je n’en dis pas plus sur elle ni sur les circonstances de son arrivée. Il n’avait pas prévu de devoir gérer ce genre de « problème » mais il fait avec, c’est le sujet de la deuxième grosse partie. La troisième est plus courte, elle lève le voile sur les tenants et les aboutissants du contrat que Billy n’aurait pas du accepter (mais ça on le comprend très vite, tout comme lui) et le tueur à gage, ex-marine, règle ses comptes jusqu’au commanditaire. Et puis, inséré tout au long du roman, il y a l’histoire que Summers couche sur le papier (ou plutôt tape sur son ordinateur), son histoire : son beau-père violent, sa mère alcoolique, la mort tragique de sa sœur, le foyer, puis l’armée et enfin : l’Irak. On ne comprend pas Billy Summers, sa personnalité duale (je tue froidement, mais je ne tue que les gens qui le mérite vraiment) si on n’a pas tous ces éléments. Ils ne sont pas là juste pour ça mais cet aspect là importe beaucoup. Pour la première fois, je crois, King évoque la guerre d’Irak et le piège poisseux que ce fut pour l’armée américaine. Il le fait par petites touches, mais sans manichéisme. D’ailleurs, le roman tout entier est bien ancré dans son époque, nous sommes sous la Présidence Trump (et King n’aime pas Trump, il ne manque jamais une occasion de lui tailler un costard), et l’intrigue met en scène un magna des médias, tendance très à droite (genre Rupert Murdock) et ses problème de « Succession ». D’ailleurs, sur la fin, on pense beaucoup à la série du même nom, pour ceux qui connaissent. J’ai beaucoup aimé ce gros pavé qu’est « Billy Summers », alors que sur le papier la perspective d’une histoire de tueur à gage acceptant un dernier contrat n’était pas très engageante. La fin est double, assez noire mais je ne m’attendais pas à autre chose : comment une histoire de ce type aurait pu finir bien ? Pas la moindre particule de surnaturel dans « Billy Summers »… Enfin si, il y en a une toute petite lorsque le héros se retrouve dans le Colorado non loin des ruines de l’Overlook Hotel (cf « Shining » et « Doctor Sleep »), Stephen King n’a pas résisté à l’envie de s’auto référencer, il le fait désormais beaucoup, ce qui donne à son œuvre totale une cohérence intéressante. Peut-être recroiserons nous un jour la route de Billy Summers dans un autre roman, allez-savoir…

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  • Billy Summers est un tueur à gages professionel. Ancien Marines, décoré de la Purple Heart, tireur d'élite aguerri, il a déjà supprimé une quinzaine de "méchants" . Car - en effet - il n'accepte que "d'éliminer " les méchants.
    Alors qu'il pense fortement à se retirer, une mission financièrement...
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    Billy Summers est un tueur à gages professionel. Ancien Marines, décoré de la Purple Heart, tireur d'élite aguerri, il a déjà supprimé une quinzaine de "méchants" . Car - en effet - il n'accepte que "d'éliminer " les méchants.
    Alors qu'il pense fortement à se retirer, une mission financièrement très intérressante lui est proposée.
    Avec quelque peu de réticence, il finit par l'accepter mais ce sera sa dernière.
    Son "employeur" à tout prévu : un nom d'emprunt, une maison dans un quartier populaire et un bureau avec vue sur le palais de justice d'ou il pourra " abattre" la cible.
    Aux yeux de son entourage, il sera un apprenti écrivain finalisant son premier roman.
    Mais Billy a quelques doutes et échafaude un plan B (autre identité, autre lieu de résidence, autre apparence) sans en informer son employeur.
    Le temps passe alors, des liens se créent avec son entourage, le roman prend forme...
    La solitude et la nécessité de ne pas lier de contacts trop étroits avec les autres s'émoussent .
    Le jour J , Billy "fait le travail " et comme il le craignait, c'est son plan B qui va lui permettre de rester en vie.
    S'ensuit une longue cavale, un désir de revanche, de punir les traitres....

    J'ai pris beaucoup de plaisir à la lecture de ce polar. Stephen King n'y inclut aucun artifice de surnaturel, ni d'horreur. Nous sommes dans un polar assez classique mais c'est du ... King !
    Les personnages sont très attachants ( Billy, Alice et Bucky). Leurs histoires presonnelles particulièrement traumatisantes .
    Il est question de rédemption, d'amitié, d'Amour, d'Honneur.
    Stephen King rend un hommage appuyé à la littérature et son pouvoir :

    " Saviez-vous qu'il était possible de s'asseoir devant une feuille de papier et de changer le monde ? "

    Un ouvrage riche ( il y a un roman dans le roman... ) , sensible, avec quelques références à d'autres romans de l'auteur ( Shining, .... )
    Un très bon moment de lecture !

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  • Alors qu’à quarante-quatre ans il est bien décidé à raccrocher, Billy Summers, ancien tireur d’élite des Marines qui a servi en Irak avant de devenir tueur à gages dans la vie civile, accepte un dernier contrat, celui que son expérience et son instinct lui font pourtant pressentir comme « le...
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    Alors qu’à quarante-quatre ans il est bien décidé à raccrocher, Billy Summers, ancien tireur d’élite des Marines qui a servi en Irak avant de devenir tueur à gages dans la vie civile, accepte un dernier contrat, celui que son expérience et son instinct lui font pourtant pressentir comme « le coup de trop ». C’est qu’il y a deux millions de dollars à la clef, et puis la cible est l’un de ces méchants, nuisibles à la société, auxquels, conformément à son code d’éthique personnel, il restreint strictement son champ d’action. Il s’installe donc docilement dans la nouvelle identité prévue pour lui : un écrivain débutant, venu chercher le calme entre un modeste pavillon de banlieue et un bureau en centre-ville surplombant le palais de justice dont les marches serviront, le moment venu, de théâtre des opérations. On s’en doute, les imprévus vont s’en mêler, et les grains de sable initiaux se transformer en gros cailloux...

    Peut-on rendre sympathique un homme qui gagne sa vie en assassinant des gens ? C’est ce que réussit Stephen King avec son personnage si bien campé dans ses complexités qu’il finit par transfigurer une intrique ouverte sous les auspices les plus classiques. Usant de la tactique du roman dans le roman grâce à la couverture d’écrivain qui, assez facétieusement mais pas sans danger pour lui, mène en réalité Billy à se montrer sous son jour le plus authentique – fin lettré, lecteur de Thérèse Raquin dont la référence accompagne d’un bout à l’autre le récit pour mieux souligner le poids de la mauvaise conscience qui fait du crime un calvaire, le sniper s’astreint ordinairement à une apparence d’homme de main un peu limité, destinée à endormir la paranoïa de ses commanditaires –, King déroule le suspense de son action principale tout en laissant son héros dévoiler lui-même son histoire et ses failles au rythme de l’écriture de ses douloureuses réminiscences.

    Et si l’on n’y croise aucune horreur fantastique relevant de l’univers habituel du maître de la terreur surnaturelle, c’est quand même toujours l’angoisse et l’effroi les plus intenses que, dans un ample et lent crescendo pleins de surprises mais aussi d'émotions, l’écrivain distille au rythme de ses phrases sèches et crépitantes. Simplement, elles se nourrissent de monstruosités ordinaires qui, en toute impunité, prolifèrent dans une Amérique que les mentions à Trump et au Covid-19 ancrent bien dans notre actualité : mafia, crime, viol, pédophilie…

    Gentil qu’à son corps défendant de vrais méchants ont conduit à endosser un rôle dont sa conscience n’arrive pas à se convaincre qu’il n’est que faussement semblable au leur, Billy tente de conjurer ses fantômes en défendant, quand l’occasion s’en présente, ces innocents dont il ne peut plus goûter la vie paisible que le temps d’une identité d’emprunt dans un quartier modeste de l’Amérique moyenne. Mais, dans sa poche, Thérèse Raquin est là pour nous le rappeler : jamais crime commis ne s’efface… Coup de coeur.

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  • Attention, le maître de l'étrange, du fantastique voire de l'horreur, "Stephen King", nous livre une version d'un thriller noir : "Billy Summers", un homme bien qui s'arroge le droit de tuer les méchants. Certes il a ses raisons qui remontent à l'enfance, puis à son expérience dans les marines...
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    Attention, le maître de l'étrange, du fantastique voire de l'horreur, "Stephen King", nous livre une version d'un thriller noir : "Billy Summers", un homme bien qui s'arroge le droit de tuer les méchants. Certes il a ses raisons qui remontent à l'enfance, puis à son expérience dans les marines en tant qu'ex-tireur d'élite.

    Bien sûr, ce ne sont pas des raisons pour se faire justice soi-même, car celle-ci nous l'interdit, mais étant l'un des phénix de sa profession de tueur, avec le temps il décide de tirer sa révérence et de faire un dernier coup bien rémunéré, mais fréquemment, il s'agit toujours du dernier coup de trop.

    Une première partie, que certains ont trouvé rébarbative; mais qui pose "Billy Summers", et surtout qui montre le coté rural des USA, dans lequel les violences n'ont rien à envier au monde urbain. Une tragédie familiale va donc, le jeter dans les griffes de l'armée. Et lui faire subir une expérience traumatisante, qui laissera des traces indélébiles, la participation à la guerre en Irak, notamment à Falloujah. Le récit de ces combats s'entrecroiseront tout au long de ce thriller.

    Puis intervient, la divine apparition : Alice, jeune femme perdue, livrée à elle-même et dont Billy Summers va se sentir tenu de lui redonner confiance afin qu'elle puisse envisager l'avenir autrement. C'est pendant cette période de suspens, de répit, qu'il se décide à écrire son autobiographie, un moyen de rédemption qu'il va utiliser pour tenter d'échapper aux SPT ; en gardant sous le coude – son gri-gri – le livre "Thérèse Raquin" de Émile Zola.

    Enfin sans vouloir dévoiler le roman, l'épilogue s'animera vertigineusement pour offrir une sortie dichotomique.

    Il existe malgré tout, un petit clin d'œil, du maître de l'énigme, car dans une maison d'été où il écrit par moment, les tableaux semblent avoir le don de bouger ! Quitter le surnaturel il revient au galop. Aussi par exemple la référence au livre de " Faulkner " : Le bruit et la fureur, sur la page de couverture.

    Un roman de grande classe, qui sait se montrer observateur, mais également doté d'une touche d'humanisme ; oui, malgré un sujet pour le moins cynique et violent. À chacun de savoir lire entre les lignes.

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