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Aujourd'hui, maman est morte

Couverture du livre « Aujourd'hui, maman est morte » de Charles Berling aux éditions Flammarion
  • Date de parution :
  • Editeur : Flammarion
  • EAN : 9782081255180
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

« Aujourd'hui, maman est morte. » La première phrase de L'Étranger, Charles Berling l'emprunte à Albert Camus. Sans sa mère, demain sera autre : il faudra habiter la vie sans elle, combler l'absence. Deux ans après sa mère, le père de Charles meurt aussi. La mémoire peut lui revenir maintenant... Voir plus

« Aujourd'hui, maman est morte. » La première phrase de L'Étranger, Charles Berling l'emprunte à Albert Camus. Sans sa mère, demain sera autre : il faudra habiter la vie sans elle, combler l'absence. Deux ans après sa mère, le père de Charles meurt aussi. La mémoire peut lui revenir maintenant qu'il est orphelin de père et de mère, maintenant qu'il ne peut plus l'être de son histoire.
Ne pas hériter d'un secret qui rampe et qui ronge, mais au contraire, s'emparer des lignes laissées par Nadia, sa mère.
Suivre toutes les traces, même les silences.
Et révéler le négatif, reconstituer l'image, la vraie, même si elle trahit la violence de cette histoire. L'histoire de sa mère imbriquée dans l'histoire coloniale.
Nadia, la petite française du Maroc qui, comme sa propre mère, voulait s'émanciper. Nadia brillante, mais capable de tous les excès. Nadia déracinée, déchirée par son histoire et dont la faille survit. Albert Camus, encore une fois, pourrait prêter à Charles une phrase des Carnets : « Je n'ai jamais vu très clair en moi pour finir. » Jusqu'à aujourd'hui.

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Avis (1)

  • « Aujourd’hui, maman est morte »
    Une phrase qui ne nous est pas inconnue.
    Charles Berling l’emprunte à Camus pour nous parler de sa mère ?
    Sa mère qui vient de mourir et le laisse en proie à ses souvenirs, aux souvenirs de sa mère, à sa vie, à la vie de sa mère.
    Le Maroc appartient à la vie...
    Voir plus

    « Aujourd’hui, maman est morte »
    Une phrase qui ne nous est pas inconnue.
    Charles Berling l’emprunte à Camus pour nous parler de sa mère ?
    Sa mère qui vient de mourir et le laisse en proie à ses souvenirs, aux souvenirs de sa mère, à sa vie, à la vie de sa mère.
    Le Maroc appartient à la vie de sa mère.
    Elle y a passé son enfance, et là-bas est caché un lourd secret de famille.
    Je comprends le besoin qu’il ait eu d’écrire ce livre.
    Malheureusement, j’ai trouvé tout un peu trop décousu et l’émotion n’était pas au rendez-vous pour moi.
    Pourtant, ce n’est pas mal écrit, mais il m’a manqué un petit quelque chose pour être vraiment en empathie.
    Ou alors, ce n’est pas assez complet.

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