Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Le Cheval pâle (1961) : Dans un bistrot de Chelsea, deux jeunes filles se crêpent le chignon. Témoin de la scène, l'écrivain Mark Easterbrook apprend peu après le décès de l'une d'elles, Thomasina Tuckerton. Son nom figure également sur une liste découverte dans la chaussure d'un prêtre, assassiné après avoir recueilli la confession d'une vieille dame. Toutes les pistes mènent Easterbrook à l'auberge du Cheval Pâle...Le Cheval à bascule (1973) : En rangeant des livres d'enfants dans le grenier de leur nouvelle maison, Tommy et Tuppence Beresford tombent sur une édition de La Flèche noire, de Stevenson. Des lettres soulignées forment une phrase mystérieuse : « Mary Jordan n'est pas morte de mort naturelle, c'est l'un de nous qui l'a tuée. »Pas de temps mort ni de balade au trot avec la « duchesse de la mort ». Même un cheval de bois peut cacher un crime. Il est plus prudent d'enfourcher sa monture et de partir au galop...
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