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Atlas de l'empire americain ; états-unis : géostratégie de l'hyperpuissance

Couverture du livre « Atlas de l'empire americain ; états-unis : géostratégie de l'hyperpuissance » de Gerard Dorel Ne Pas aux éditions Autrement
  • Date de parution :
  • Editeur : Autrement
  • EAN : 9782746708594
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

En 80 pages, fort de plus de 80 cartes et infographies passionnantes, l'atlas démonte tous les
ressorts de la puissance américaine et les sentiments d'attraction-répulsion qu'elle suscite à travers
la planète.
La première partie historique montre combien il est avéré que, depuis leur création... Voir plus

En 80 pages, fort de plus de 80 cartes et infographies passionnantes, l'atlas démonte tous les
ressorts de la puissance américaine et les sentiments d'attraction-répulsion qu'elle suscite à travers
la planète.
La première partie historique montre combien il est avéré que, depuis leur création au XVIIe siècle,
les États-Unis s'inscrivent dans un classique mouvement impérialiste. La puissance étatsunienne,
c'est d'abord ce peuple américain qui, sur un territoire immense classiquement construit
autant par l'épée que par la négociation, a su créer une masse de richesses exceptionnelle, capter
celles du reste du monde, imposer son génie inventif en diffusant des innovations qui ont
bouleversé la planète tout entière.
Dans une deuxième partie, l'auteur démontre la formidable capacité économique, séduisante
mais dominatrice, sur laquelle repose aujourd'hui la domination des Etats-Unis, qui ont le rare
privilège géopolitique de pouvoir « s'offrir le beurre et les canons ».
L'atlas aborde ensuite la nouvelle donne géostratégique qui a émergé lorsque, finalement
vainqueurs de la guerre froide, les États-Unis, empire défié, se sont retrouvés comme seule
puissance globale, au point d'apparaître comme un pôle face à un monde divisé où les tendances à
l'éclatement dominent et où se multiplient les lieux de tensions et d'affrontements. Le « gendarme
du monde » se révèle être adulé, mais aussi, et peut-être surtout, haï. Le 11 septembre 2001
a constitué une surprise absolue, synonyme d'humiliation et de désarroi, précipitant la course en
avant face à un terrorisme insaisissable et l'enlisement dans une nouvelle guerre en Irak, mal
comprise sinon dénoncée par quelques grands alliés des États-Unis et la plupart des pays
musulmans, mais aussi bientôt par leur propre opinion publique.

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