Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Le questionnement soulevé par la Shoah, infini comme la cruauté qui l'a inspirée, n'arrivera jamais à prendre l'exacte mesure de la déchéance du genre humain qui s'y est manifestée. Mais cette incapacité ne doit pas réprimer la nécessité de comprendre. A la suite de sa rencontre avec Jacques Stroumsa, un survivant d'Auschwitz, Elisabeth Cousin s'est plongée dans une intense réflexion qui trouve son aboutissement dans les pages de L'archet de l'espoir. Les thèmes abordés dans les trois parties de l'ouvrage s'attardent au rapport entre la mémoire et le sens de l'histoire, à la pertinence de la foi en Dieu après Auschwitz, ainsi qu'à la possibilité de garder confiance en la nature humaine malgré le dévoiement du potentiel humain qui caractérisa ce drame de la Shoah. Le regard d'Elisabeth Cousin sur ces questions échappe aux oeillères de l'analyse rationnelle pure et fait appel à des notions de foi et d'humanisme qui ouvrent, au-delà des horreurs, sur un horizon d'espérance.
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