Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
«Il y a une dimension plus chamanique qu'onirique dans la poésie telle que la pratique H. Sanguinetti. Et les peuplades que convoquent ses laisses syncopées semblent émerger de quelque tribu primordiale ou de l'imagination d'une fillette rêvant d'un ogre à la veillée - cet «enfant muet que traverse la voix du monde», peut-être, apparaissant à la fin du conte (en prose) qui clôt le sixième chant d'Alparegho.
On reste émerveillé, quoiqu'il en soit, par le charme tangible qui se dégage du poème. Vertu talismanique? Qui sait...
«Une langue qui n'existe/ pas/ attend/ au fond du bol/ que je boive/ j'ai bu», écrit Hélène Sanguinetti. Faisons comme elle.» Yves di Manno, Vient de paraître n°22, sept 2005.
«Cavalier déchu qui tremble sous l'armure, lépreux condamné à l'errance, rejeté de tous parce que d'identité incertaine, Alparegho, Pareil-à-rien, offre le visage des rescapés des outrages du monde.
«Plus qu'un visage». Qui «se dilate à l'infini»*. Alparegho, Pareil-à rien. Pareil-à-tous.» Pietro Citati (La Pensée chatoyante) Angèle Paoli, Terres de femmes, janv. 2008.
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