Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Peut-on ajourd'hui parler de la Guerre d'Algérie d'une façon dépassionnée ? Les blessures restent vives de part et d'autre de la Méditerranée. Les Harkis, les Pieds-Noirs, la commémoration des manifestations d'octobre 61, en témoignent.
De ce que l'on a pudiquement appelé les « événements » à la reconnaissance de ce qui fut une guerre, le chemin fut long et semé d'idées reçues qui perdurent aujourd'hui encore : « Ce n'était pas une guerre, mais une opération de maintien de l'ordre », « La bataille d'Alger est le symbole de la guerre d'Algérie », « De Gaulle a donné l'indépendance à l'Agérie », « Les intellectuels français soutenaient le FLN », « Le FLN a ensuite mis en place un État autoritaire », « L'islamisme puise ses racines dans la guerre d'Algérie », ...
Il semble pourtant que l'on soit prêt maintenant à regarder cette période en face, avec le recul d'un demisiècle et l'accès progressif aux archives.
Des origines du conflit à la période qui suivi la fin de la guerre, cet ouvrage analyse les moments-clés, les séquelles encore vives et leur impact sur les mémoires.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Découvrez les auteurs, autrices et libraires qui accompagneront le président du jury Jean-Christophe Rufin !
Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Sénèque écrit une ultime lettre, alors qu'il a été condamné à mort par celui dont il fut le précepteur, conseiller, et ami : l'empereur Néron