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Aleppo mon amour

Couverture du livre « Aleppo mon amour » de Katharine Cooper et Richard Labeviere aux éditions Arnaud Bizalion
Résumé:

Katharine Cooper est partie à Alep en avril 2017, quatre mois après sa libération de la terreur des diverses factions telles Jabat al-Nosra, Fatah el-Sham et Daech.
Elle est restée six semaines, envoutée par la douceur, la joie de vivre, la richesse et la bonté de cette terre et de ses... Voir plus

Katharine Cooper est partie à Alep en avril 2017, quatre mois après sa libération de la terreur des diverses factions telles Jabat al-Nosra, Fatah el-Sham et Daech.
Elle est restée six semaines, envoutée par la douceur, la joie de vivre, la richesse et la bonté de cette terre et de ses habitants unis et courageux face à tant d'adversité.
Alors qu'elle s'attendait à voir la destruction, les rues désertes, les visages fermés, elle a trouvé des hommes couverts de la poussière de la reconstruction ;
Des fraises, des amandes vertes, et des roses parfumées vendues à chaque coin de rue ;
Un peuple non-­-corrompu, fier, digne, avec une hospitalité princière, des femmes et des hommes qui s'arrêtaient dans la rue pour la saluer, elle, l'étrangère, pour lui dire « bienvenue !».
Les aleppins, dès qu'ils peuvent, plantent des arbres, des vignes, des fleurs, dans cette terre rouge - cela pousse, telle une oasis dans le désert alentour.
Alep, la ville des arbres, des parcs, des oiseaux qui chantent tous les soirs, Alep est une ville avec une indescriptible puissance de vie, une histoire vieille de 5000 ans, qui vous frappe à chaque pas que vous prenez dans ses belles rues, bordées de maisons qui vous font envie de tout quitter afin de vous installer là-­-bas...
Elle a versé des larmes lorsqu'elle a vu pour la première fois la dévastation laissée par cette guerre : Le souk anéanti, vide comme un cimetière ; La mosquée des Omeyyades criblée de trous ; L'église Mar Elias sans toit ; De superbes villas éventrées, ouvertes à des yeux curieux...
Toutes ces photographies ont été prises avec un appareil Hasselblad en argentiques, à Alep, Syrie, entre le 8 avril et le 20 mai 2017.

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