Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
La poétesse argentine Alejandra Pizarnik, partie à Paris en 1960 écrit à son psychanalyste et ami Léon Ostrov resté à Buenos Aires. Angoissée, à la recherche d'un inatteignable bonheur, d'une sérénité fuyante, elle lui raconte ses rencontres avec les intellectuels parisiens - Sartre, Beauvoir, Duras- et son désarroi devant les choses de sa vie.
De chambre en chambre, toujours en quête d'une vérité qui réconcilierait son moi pulvérisé, Alejandra n'en perd pas pour autant son humour noir et son regard implacable. En marge de ses angoisses, de ses interrogations, elle bâtit son oeuvre, poèmes publiés dans les meilleures maisons et un journal.
Le psychanalyste Edmundo Gomez Mango qui préface cette correspondance nous guide dans le labyrinthe des pensées d'Alejandra.
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