Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Un petit Jules s'en va à la crèche. Il a quelques mois. C'est sa première grande séparation, une grande aventure pour ce bébé, ses parents mais aussi ceux qui vont l'accueillir. Beaucoup de Jules et de Juliette vont ainsi, un temps plus ou moins long de leur vie, être accueillis en crèche, en halte-garderie mais aussi parfois en institutions ou à l'hôpital. Comment aider les enfants à vivre ces séparations et ces accueils par d'autres que leurs parents ? Comment aider les parents à penser leur enfant accueilli et comment contenir enfin tous les mouvements affectifs des professionnels confrontés à ces bébés ?
Myriam David (1917-2004) était pédopsychiatre. Ses recherches ont particulièrement porté sur les interactions mère-bébé, leurs perturbations dans les familles carencées ou en cas de maladie mentale de la mère, le travail de prévention, les facteurs de carence institutionnelle. Elle a fondé deux institutions au fonctionnement original : en 1966, le Centre familial d'action thérapeutique de Soisy sur Seine (accueil familial à visée thérapeutique) ; en 1976, l'Unité de soins spécialisés à domicile pour jeunes enfants de la Fondation de Rothschild (Centre Myriam David depuis 2006). Elle a publié plusieurs ouvrages dont Le placement familial (Dunod), L'enfant de 0 à 2 ans (Privat, 1960, rééd. Dunod), L'enfant de 2 à 6 ans (Privat, 1960, rééd Dunod), Lóczy ou le maternage insolite (avec G. Appell, Le Scarabée, 1973, rééd. érès, 2008) et de nombreux articles sur ses expériences cliniques et sur les études qu'elle a menées dans ces deux institutions.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Découvrez les auteurs, autrices et libraires qui accompagneront le président du jury Jean-Christophe Rufin !
Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Sénèque écrit une ultime lettre, alors qu'il a été condamné à mort par celui dont il fut le précepteur, conseiller, et ami : l'empereur Néron