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47, allée du lac

Couverture du livre « 47, allée du lac » de Peter James aux éditions Fleuve Editions
Résumé:

À Cold Hill, les morts ne sont jamais loin Avec la construction d'un lotissement d'habitations modernes et connectées, un vent de renouveau souffle sur Cold Hill.
Jason et Emily Danes tombent immédiatement sous le charme de la villa qui surplombe le domaine, construite à la place du grand... Voir plus

À Cold Hill, les morts ne sont jamais loin Avec la construction d'un lotissement d'habitations modernes et connectées, un vent de renouveau souffle sur Cold Hill.
Jason et Emily Danes tombent immédiatement sous le charme de la villa qui surplombe le domaine, construite à la place du grand manoir laissé à l'abandon depuis des années, rasé par les promoteurs immobiliers. Même si le gros des travaux du quartier n'est pas terminé et que la plupart des pavillons sont encore vides, l'endroit semble parfait et les Danes décident d'emménager quelques jours avant Noël, sous le regard suspicieux de leurs seuls voisins. Mais, dès le premier soir, le rêve se transforme en cauchemar.
Les brochures de l'agence ont omis une information capitale, à propos du 47, allée du Lac : aucun des précédents propriétaires n'en est jamais vraiment parti...


Traduit de l'anglais (Royaume-Uni) par Maït Foulkes

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Avis (2)

  • Sur l’emplacement d’une maison détruite par le feu, dans le roman précédent, un complexe résidentiel est en cours d’édification près du lac, le Parc de Cold Hill. Les premiers habitants sont installés, encore bien seuls mais déjà enclins à se comparer à leurs rares voisins.

    Un bruit parcourt...
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    Sur l’emplacement d’une maison détruite par le feu, dans le roman précédent, un complexe résidentiel est en cours d’édification près du lac, le Parc de Cold Hill. Les premiers habitants sont installés, encore bien seuls mais déjà enclins à se comparer à leurs rares voisins.

    Un bruit parcourt la commune : personne sur le domaine de Cold Hill n’a vécu après ses 40 ans. L’un des propriétaires, écrivain, est proche de son anniversaire. D’étranges choses vont se passer dans la plus belle maison, le couple va avoir l’impression de vivre des choses que les autres vont ignorer et nous, nous savons tout mais qu’est-ce qui est vrai ?

    Un roman qui se lit aisément, qui m’a permis de sortir d’une lecture très prenante, avec suffisamment de d’étrangeté pour susciter des frissons. La peinture des relations de voisinage est réaliste et structure le côté fantastique tout en embrouillant le lecteur, ou la lectrice, parce que j’aime bien cette sensation de ne pas maitriser une histoire dans ce contexte.

    #47alléedulac #NetGalleyFrance #rentreelitteraire2022

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  • Et voici l’avis qui fâche… Difficile de donner son opinion lorsque celle-ci est négative. J’ai lu deux livres de Peter James dont La maison des oubliés, un roman fantastique à l’ambiance angoissante que j’ai beaucoup apprécié. Connaissant l’engouement de l’auteur pour les histoires de maisons...
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    Et voici l’avis qui fâche… Difficile de donner son opinion lorsque celle-ci est négative. J’ai lu deux livres de Peter James dont La maison des oubliés, un roman fantastique à l’ambiance angoissante que j’ai beaucoup apprécié. Connaissant l’engouement de l’auteur pour les histoires de maisons hantées, je m’attendais avec 47, allée du Lac à un récit de la même verve, je me disais « voilà un livre qui m’a me faire frissonner au coeur de l’été ». Râté.

    Le Parc de Cold Hill est un lotissement de maisons modernes dont certaines sont encore en construction. Jason Danes, un artiste-peintre à la renommée grandissante et son épouse sont les heureux propriétaires du plus majestueux pavillon de la résidence. Leur villa, construite à l’emplacement d’un ancien manoir complétement détruit par un incendie, en impose par son standing et sa vue imprenable sur le lac. Peu de temps après leur emménagement, ils font la connaissance de leurs voisins, Maurice et Claudette Penze-Weedell, des retraités qui s’avérent plutôt du genre envahissants. Dès les premiers jours, les deux couples sont les témoins d’étranges phénoménes. Le bruit coure dans le village que le drame qui s’est joué à Cold Hill en 1940 aurait toujours des conséquences aujourd’hui…

    Il ne faut pas faire de mon avis une généralité, ce roman pourra plaire à d’autres lecteurs qui le percevront peut-être différemment. Toutefois, je m’attendais à bien mieux et ma déception est grande. Je n’ai pas un seul instant frémi durant ce récit, bien au contraire je m’y suis profondément ennuyée. En cause je pense le manque de suspense ou un suspense auquel je n’ai pas été réceptive. Si l’auteur aime évoquer les distorsions temporelles et parvient à caser l’idée que l’espace-temps n’est pas une réalité linéaire, j’ai trouvé son récit au contraire bien trop linaire à mon goût. L’endroit est hanté, on l’apprend sans surprise dès le début du roman, viennent ensuite quelques brèves apparitions d’ombres, de visages deci-delà, quelques échos de drames qui ont jalonné le passé du lieu, et l’on apprend très rapidement qu’une étrange malédiction pèse sur les habitants de la nouvelle résidence. Jason Danes entreprend mollement une visite aux archives, une autre au cimetière local pour en apprendre plus sur les précédents habitants de Cold Hill. Tout cela est ennuyeux, survolé comme la trame d’une série B. J’ai également trouvé les personnages ultra-stéréotypés, je ne me suis pas du tout attachée à eux: le jeune couple est aussi détestable que leurs voisins et les dialogues sont insipides. L’auteur a t-il cherché à alourdir l’atmosphère en réunissant les protagonistes autour d’un bol de cacahuètes, discutant champagne ou prosecco, le temps semblant s’étirer au fil des pages sans grand intérêt ? Je me demande si l’auteur n’a pas souhaité écrire une parodie de roman fantastique, certaines situations prêtant à sourire plutôt qu’à frémir. Dans ce cas peut-être est-ce tout de même réussi ? Mais ce n’est pas du tout ce que j’espérais. Dommage. J’ai poursuivi ma lecture jusqu’au bout en me disant que j’allais être surprise à un moment donné, emmenée là où je ne m’y attendais pas et finir par me dire, mea culpa, quel sacré bon roman. Non, j’ai vainement attendu et rien n’est venu.

    Je remercie toutefois chaleureuement Net Galley et les Edtions Fleuve Noir pour cette lecture.

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