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Création d'un atelier d'écriture en ligne. Accroche du jour:

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  • Voici mon texte et merci à Cymone pour sa proposition :

    Je ne voulais plus aller travailler et être enfermée dans un bureau sans âme
    J’en avais assez du ciel gris et de la pluie, moi je voulais porter un Paname
    Je ne résistais plus à l’appel de la liberté, à la vie au grand air
    Je fermais les yeux un instant rêvant à des paysages solaires
    Et je tombais de ma chaise rattrapée par ma réalité
  • MON TEXTE :
    Je ne voulais plus être la gentille fille, la gentille voisine.
    J’en avais assez des voisins et des voisines qui profité de ma bonne éducation.
    Je ne résistais plus mais alors plus du tout à un démon qui me disait de tout plaquer, de me casser de cet immeuble, et de dire leurs quatre vérités aux voisins et aux voisines.
    Je fermais les yeux en me disant calme-toi calme-toi, à un lexomil, reste zen.
    Et je tombais sur un mot de mon voisin du 4e qui me disait pour la énième fois de la semaine si je pouvais récupérer un colis. Et là j'ai pété un câble. J'ai pris la poubelle de la cuisine. Je suis sortie de chez moi. J'ai mis la poubelle sur son paillasson. J'ai ventre et la poubelle. J'avais la rage. Puis je suis redescendue chez moi. J'ai bu une bière. Ça m'a fait du bien. J'ai pris un lexomil.
  • Cymone a dit :
    Extrait, tiré du livre « POUR CLARA » et de la nouvelle « AMNESIQUE ».
    « Je ne voulais plus
    J’en avais assez
    Je ne résistais plus
    Je fermais les yeux
    Et je tombais… »
    Complétez cet extrait avec vos pensées à vous. Sortez du contexte de l’amnésie.




    Et je tombais,
    Impossible de me relever
    Car une nouvelle vague déferlait vers moi
    Et ce sable grossier qui se dérobait à mes pieds !
    Ce n’était pas mes plages de l’Atlantique,
    Leur sable fin et leurs grandes vagues avec lesquelles je jouais
    Mes vagues complices au goût iodé
    Non ! Bousculée, aveuglée
    Je refusai d’être le jouet de cette eau traîtresse
    J’en sortis dignement à quatre pattes et jurais qu’on ne m’y prendrait plus !
  • Regine Zephirine a dit :
    Bonjour à toutes et tous

    Je vous propose d’écrire un texte dans lequel vous devrez insérer 4 titres de prix littéraires 2020 décernés par des lecteurs
    « Rien n’est noir » Grand prix des lectrice de Elle
    « Avant que j’oublie » Prix du livre Inter
    « Chavirer » Prix Landerneau des lecteurs
    « Et toujours les forêts » Prix RTL Lire

    A vos plumes !
  • Regine Zephirine a dit :
    Bonjour à toutes et tous

    Je vous propose d’écrire un texte dans lequel vous devrez insérer 4 titres de prix littéraires 2020 décernés par des lecteurs
    « Rien n’est noir » Grand prix des lectrice de Elle
    « Avant que j’oublie » Prix du livre Inter
    « Chavirer » Prix Landerneau des lecteurs
    « Et toujours les forêts » Prix RTL Lire
    « Avant que j’oublie , voici pour toi ce bouquet de fleurs. Celles que tu aimes tant , des crocosmia. Tu as fait chavirer mon cœur. ...Et voilà arriver... »
    -«  Et bla-bla-bla! Et bla-bla-bla!Tu ne comprends pas que je n’ai même plus le chômage , que je ne sais même pas comment je vais payer mon loyer et tu me sors la tirade de l’amoureux transi! Tu n’es pas en train de me faire le coup de la cueillette des champignons pour m’apaiser ... Parce que encore et toujours les forêts , la cueillette et les poèmes sans rime, là! Oui , là! J’en peux plus!!!! »



    A vos plumes !
  • BERNARD DOMINIQUE a dit :
    Bonjour à tous . Si nous continuions sur le principe de Riton nos petites histoires
    Un lieu : un désert de pierres
    Des personnages: une fée et un homme riche
    Un objet : une poêle à frire
    J’attends avec impatience vos belles histoires dans le style que vous voulez comme nous l’avait si gentiment proposé Riton: science fiction, romance , historique , etc ...
    Belle journée . Prenez soin de vous
  • BERNARD DOMINIQUE a dit :

    Rien n'est noir pour moi, tout est rose.
    Avant que j'oublie je voudrais dire que j'aime ma vie.
    Chavirer ma vie va l'être avec cette mauvaise nouvelle. Je n'en écris pas plus, je préfère garder cette mauvaise nouvelle pour moi. Et toujours les forets je garderai dans mon cœur car c'est là que j'y ai rencontré mon amoureux.
  • BERNARD DOMINIQUE a dit :

    Rien n'est noir pour moi, tout est rose.
    Avant que j'oublie je voudrais dire que j'aime ma vie.
    Chavirer ma vie va l'être avec cette mauvaise nouvelle. Je n'en écris pas plus, je préfère garder cette mauvaise nouvelle pour moi. Et toujours les forets je garderai dans mon cœur car c'est là que j'y ai rencontré mon amoureux.
  • BERNARD DOMINIQUE a dit :

    Un homme riche du nom de Pierre Le Terrible venait d’acheter un DESERT DE PIERRES Il voulait y créer un parc d’attractions ou zombies et vampires auraient paradé dans les allées des châteaux hantés , des similis forêts sombres et terrifiantes . Enfin un grand projet dans l’état actuel du désert . Il fit donc venir une armada d’ouvriers . Mais au bout de deux mois les travaux semblaient ne pas avancer .... Il remarqua que ses employés faisaient la queue toute la journée devant la cantine . En s’avançant , il vit une petite bonne femme rondelette armée d’une POÊLE A FRIRE Il passa devant tout le monde voulant savoir ce qu’il en était . Il goûta une crêpe à la saveur incomparable, aussitôt il en voulut une autre puis une autre et il se glissa dans la file l’air hagard et fatigué comme les ouvriers . Ce qu’ils ne savaient c’était que cette petite dame souriante et espiègle n’était autre que la terrible FÉE des déserts et elle leur avait jeté un sort . Les crêpes les maintiendraient dans cet état quasi cataleptique tant qu’ils ne se décideraient pas à partir , ils étaient là envoûtés ....La saveur des crêpes les rendaient fous de gourmandise . Mais qui sait peut-être auraient-ils la chance que tout cela cesse quand la FÉE Tralala aurait décidé de les renvoyer chez eux d’un nouveau coup de baguette magique
  • Cymone a dit :
    Extrait, tiré du livre « POUR CLARA » et de la nouvelle « AMNESIQUE ».
    « Je ne voulais plus
    J’en avais assez
    Je ne résistais plus
    Je fermais les yeux
    Et je tombais… »
    Complétez cet extrait avec vos pensées à vous. Sortez du contexte de l’amnésie.

    Je ne voulais plus faire semblant d’être triste
    J’en avais de ne même pas sourire
    Je ne résistais plus à l’envie de rire qui m’envahissait depuis quelques jours
    Et je tombais écroulée de rire , entraînant un fou rire général !
    Le concours de « tu me tiens par la barbichette » se terminait dans la bonne humeur.

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