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« Natif de Venise, Giorgio n’avait jamais appris à conduire »…..
Car il avait la phobie des feux de circulation. Il en faisait des cauchemars. Des monstres avec trois yeux rouge vert orange! Il avait même commencé une psychanalyse..
Natif de Venise Giorgio n’avait jamais appris à conduire car, est-ce utile d’avoir une voiture dans cette ville de canaux, de ponts perpétuellement encombrés par les marchands et les touristes et sillonnée de ruelles étroites ?
Mieux valait circuler en patins à roulettes pour zigzaguer artistiquement entre étals et badauds ! Cependant il fallait parfois se risquer sur le continent, pour cela il s’acheta une bicyclette (il pouvait facilement la ramener chez lui le soir). Puis il pensa à une voiture : elle serait rouge évidemment. Mais qu’en faire lorsqu’on passe sa vie à Venise ? Il devait choisir : soit vivre à Venise sans voiture ou sur le continent avec voiture.
Giorgio, vénitien de pères en fils s’acheta un bateau à moteur, rouge, cela va sans dire. De surcroît la tradition familiale était respectée et qui refuserait de passer sa vie dans cette ville unique au monde pour une belle voiture rouge Ferrari ?
Je vous propose cette phrase en accroche :« Natif de Venise, Giorgio n’avait jamais appris à conduire »…..
REPONSE A St FORT. NATIF DE VENISE, GIORGIO N’AVAIT JAMAIS APPRIS A CONDUIRE que des gondoles ! Quand Venise s’enlisa, le peu d’habitants qui s’étaient entêtés à rester sur l’ile jusqu’au bout, durent bien se rendre à l’évidence, il fallait partir ! Giorgio fut la dernière bourrique à se décider à quitter les lieux. Mais problème, il n’y avait plus de gondole de disponible ! Ne sachant pas nager, Giorgio se saisit de la première planche de bois flotté qui passait près de lui et instinctivement se coucha dessus. La traversée de la lagune ne fut pas facile. Quand il arriva enfin sur la terre ferme, il fut accueilli avec des applaudissements par un public inattendu. Une foule en liesse et des journalistes caméras aux poings, l’avaient filmé dans son aventure, mais n’avaient pas levé le petit doigt pour lui venir en aide. Ils l’avaient tous pris pour Marcelo Capitani, le champion italien de surf !
REPONSE A St FORT. NATIF DE VENISE, GIORGIO N’AVAIT JAMAIS APPRIS A CONDUIRE que des gondoles ! Quand Venise s’enlisa, le peu d’habitants qui s’étaient entêtés à rester sur l’ile jusqu’au bout, durent bien se rendre à l’évidence, il fallait partir ! Giorgio fut la dernière bourrique à se décider à quitter les lieux. Mais problème, il n’y avait plus de gondole de disponible ! Ne sachant pas nager, Giorgio se saisit de la première planche de bois flotté qui passait près de lui et instinctivement se coucha dessus. La traversée de la lagune ne fut pas facile. Quand il arriva enfin sur la terre ferme, il fut accueilli avec des applaudissements par un public inattendu. Une foule en liesse et des journalistes caméras aux poings, l’avaient filmé dans son aventure, mais n’avaient pas levé le petit doigt pour lui venir en aide. Ils l’avaient tous pris pour Marcelo Capitani, le champion italien de surf !
Car il avait la phobie des feux de circulation. Il en faisait des cauchemars. Des monstres avec trois yeux rouge vert orange! Il avait même commencé une psychanalyse..
Pauvre Giorgio ! Espérons qu’il a trouvé un bon psy …
Car il avait la phobie des feux de circulation. Il en faisait des cauchemars. Des monstres avec trois yeux rouge vert orange! Il avait même commencé une psychanalyse..
Quelques précisions sur « mon » Giorgio
Bonjour Kryan
Je crois que nous ne parlons pas du même Giorgio car celui que je connais est tout à fait équilibré.Il faut dire que Giorgio est un prénom fréquent en Italie et la mère de mon Giorgio se vit contrainte d’appeler ainsi son fils aîné par respect de la tradition familiale. On notera que la cadette de Giorgio échappa au prénom Giorgia et s’appelle Rafaela.
Dès son enfance mon Giorgio se fit remarquer par son désir de connaître son pays, tout son pays : Calabre et Sicile comprises ( évidemment ces choix-là étaient discutables) mais peut-on en vouloir à quelqu’un de s’éloigner de ce monde clos qu’est la Sérénissime pour apprendre ce que cela représente que d’être italien ?
Si l’on parla dans le voisinage de psychanalyste à son sujet c’est qu’ils sont bien rares les Vénitiens qui ne se satisfont pas de vivre dans une des plus belles villes du monde.
Ainsi, chère Kryan nos deux Giorgio ne sont pas un seul et même personnage, CQFD.!!!
Messages : 291
Le 17/11/2021 à 19h05
Merci Kryan
Messages : 291
Le 19/11/2021 à 19h18
« Natif de Venise, Giorgio n’avait jamais appris à conduire »…..
Messages : 1882
Le 19/11/2021 à 19h43
« Natif de Venise, Giorgio n’avait jamais appris à conduire »…..
Car il avait la phobie des feux de circulation. Il en faisait des cauchemars. Des monstres avec trois yeux rouge vert orange! Il avait même commencé une psychanalyse..
Messages : 291
Le 19/11/2021 à 20h24
Mieux valait circuler en patins à roulettes pour zigzaguer artistiquement entre étals et badauds ! Cependant il fallait parfois se risquer sur le continent, pour cela il s’acheta une bicyclette (il pouvait facilement la ramener chez lui le soir). Puis il pensa à une voiture : elle serait rouge évidemment. Mais qu’en faire lorsqu’on passe sa vie à Venise ? Il devait choisir : soit vivre à Venise sans voiture ou sur le continent avec voiture.
Giorgio, vénitien de pères en fils s’acheta un bateau à moteur, rouge, cela va sans dire. De surcroît la tradition familiale était respectée et qui refuserait de passer sa vie dans cette ville unique au monde pour une belle voiture rouge Ferrari ?
Messages : 583
Le 20/11/2021 à 06h40
REPONSE A St FORT. NATIF DE VENISE, GIORGIO N’AVAIT JAMAIS APPRIS A CONDUIRE que des gondoles ! Quand Venise s’enlisa, le peu d’habitants qui s’étaient entêtés à rester sur l’ile jusqu’au bout, durent bien se rendre à l’évidence, il fallait partir ! Giorgio fut la dernière bourrique à se décider à quitter les lieux. Mais problème, il n’y avait plus de gondole de disponible ! Ne sachant pas nager, Giorgio se saisit de la première planche de bois flotté qui passait près de lui et instinctivement se coucha dessus. La traversée de la lagune ne fut pas facile. Quand il arriva enfin sur la terre ferme, il fut accueilli avec des applaudissements par un public inattendu. Une foule en liesse et des journalistes caméras aux poings, l’avaient filmé dans son aventure, mais n’avaient pas levé le petit doigt pour lui venir en aide. Ils l’avaient tous pris pour Marcelo Capitani, le champion italien de surf !
Messages : 1882
Le 20/11/2021 à 09h21
Messages : 291
Le 21/11/2021 à 19h02
Bravo ! Et presque d’actualité, hélas !
Messages : 291
Le 21/11/2021 à 19h04
Pauvre Giorgio ! Espérons qu’il a trouvé un bon psy …
Messages : 1882
Le 21/11/2021 à 19h44
Messages : 291
Le 22/11/2021 à 17h57
Quelques précisions sur « mon » Giorgio
Bonjour Kryan
Je crois que nous ne parlons pas du même Giorgio car celui que je connais est tout à fait équilibré.Il faut dire que Giorgio est un prénom fréquent en Italie et la mère de mon Giorgio se vit contrainte d’appeler ainsi son fils aîné par respect de la tradition familiale. On notera que la cadette de Giorgio échappa au prénom Giorgia et s’appelle Rafaela.
Dès son enfance mon Giorgio se fit remarquer par son désir de connaître son pays, tout son pays : Calabre et Sicile comprises ( évidemment ces choix-là étaient discutables) mais peut-on en vouloir à quelqu’un de s’éloigner de ce monde clos qu’est la Sérénissime pour apprendre ce que cela représente que d’être italien ?
Si l’on parla dans le voisinage de psychanalyste à son sujet c’est qu’ils sont bien rares les Vénitiens qui ne se satisfont pas de vivre dans une des plus belles villes du monde.
Ainsi, chère Kryan nos deux Giorgio ne sont pas un seul et même personnage, CQFD.!!!
À bientôt