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DES FEMMES AUTEUR(E)S AUX UNIVERS TRES FECONDS

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  • Bonjour à tous
    (source wiki)
    Poursuivons cette chronique avec un auteure d'origine arménienne, nièce de Francis VEBER, écrivant pour la jeunesse et très connue des fans pour ses séries, "Tara Duncan", "Clara Chocolat" et "Indiana Teller".
    Sophie AUDOUIN-MAMIKONIAN née en France le 24 août 1961 a grandi au Pays basque où elle a puisé les contes et les légendes qui alimentent son imaginaire. Elle est titulaire d'un DESS de diplomatie et stratégie et est mariée, mère de deux filles, Diane et Marine, qui sont ses correctrices. Elle partage son temps entre sa famille, l'écriture et ses activités avec l’association "Douleurs sans frontières", dirigée par le docteur Alain Série. Sophie Audouin-Mamikonian est surtout connue pour sa décalogie Tara Duncan, un univers dans lequel évolue la jeune héroïne éponyme, une sortcelière dotée d'un pouvoir extraordinaire qu'elle a souvent bien du mal à contrôler. La fréquence de parution est d'un tome par an. Sophie a un grand contact avec ces fans et un grand sens de l'humour , on retrouve tout à fait son style accessible dans ses livres . Elle a pu développer grâce à ces livres de la série Tara Duncan , un dessin animé diffusé en France . Elle est également l'auteur de Clara Chocolat, petite sœur de Tara, une série pour les jeunes enfants, de "La Danse des obèses", un thriller pour adultes et de "Indiana Teller", une tétralogie sur les loups-garous dont le premier tome est paru en mars 2011. Très attendue par ses fans depuis cinq ans, sa série pour adolescents et jeunes adultes, "La Couleur de l'âme des Anges", est parue le 5 janvier 2012 dans la collection R, aux éditions Robert Laffont. Sophie Audouin-Mamikonian a commencé à écrire dès l'âge de 12 ans.
    A bientôt pour découvrir d'autres auteures. Je vous proposerai l'écrivaine québécoise Anne Robillard, auteure des "chevaliers d'émeraude".
    Bien amicalement
    JM
  • Bonjour à tous,
    Poursuivons, en restant fidèle à notre source inépuisable et assez fiable de wikipédia, pour découvrir un auteure extrêment connue notamment pour une saga se déroulant sur le continent d'Enkidiev, un monde magique que les "Chevaliers d'Émeraude" doivent protéger.
    "Anne Robillard, née à Montréal au Québec (57 ans), est une écrivaine québécoise de fantasy. Elle a écrit "Qui est Terra Wilder ?", qui est sorti en 2006, et sa suite, "Capitaine Wilder", les séries A.N.G.E., "Les Héritiers d'Enkidiev" et "Les Ailes d'Alexanne".
    Anne Robillard a grandi dans la magie des arts de la scène, mais aussi dans l'insécurité du métier d'artiste. Tout en continuant d'écrire des histoires sorties tout droit de son imagination, elle a opté pour un style de vie plus stable. Son salaire de secrétaire juridique lui a permis de poursuivre des études de littérature et de traduction à l'université de Montréal et de continuer à composer. Le fantastique et la fantaisie ont toujours fait partie de ses écrits. Adolescente, elle a découvert le monde magique de Tolkien, une âme sœur qui devint en quelque sorte son mentor. Même dans ses textes les plus dramatiques, le surnaturel a toujours trouvé sa place. La guérison miraculeuse, la réincarnation, l'invisible, la magie, les fées et les chevaliers sont rapidement devenus ses thèmes préférés. Le public n'est pas prêt à l'époque à savourer ses récits fantaisistes : il lui a fallu envoyer ses manuscrits à plusieurs reprises (une trentaine de fois) et aucun éditeur ne voulut de ses écrits. Elle n'a pas perdu courage pour autant et a continué de créer des mondes merveilleux emportant ses amis et sa famille loin de leur réalité quotidienne.
    Le premier tome des Chevaliers d'Émeraude est publié par les Éditions de Mortagne en octobre 2002, rapidement suivi de plusieurs aventures de ces soldats magiques. Douze tomes ont été publiés. ASuivent "Qui est Terra Wilder ?", puis en 2007, elle entreprend l'écriture d'une nouvelle série, A.N.G.E., qui compte actuellement neuf tomes sur les dix prévus au total." Finalement encore un auteur très prolixe qui éprouve de grandes difficultés au départ avant de trouver son public. Je pense à J. K. Rowling qui a rencontré les mêmes difficultés et dont je vous parlerai la prochaine fois. Bien amicalement. JM
  • Bonjour à tous,
    Je poursuis cette saga d'auteures féminines pour m'intéresser à Anne rice, de son vrai nom Howard Allen O'Brien, née le 4 octobre 1941 et qui est un écrivain américain, auteur de romans fantastiques, nouvelles érotiques et de livres à thèmes religieux. Actuellement la vente de ses livres est proche de 100 millions d'exemplaires, ce qui fait d'elle un des auteurs les plus lus des temps modernes.
    On voit tout de suite que cela pose l'auteure à une place très privilégiée malgré une santé fragile qui l'oblige à peu se déplacer tout en restant en contact grâce aux réseaux sociaux. Alors en route avec notre source habituelle wiki pour une découverte d'une personne riche en couleurs et en nuances.
    "Anne Rice a passé la plus grande partie de sa vie à la La Nouvelle-Orléans en Louisiane, où se déroule la majorité de ses histoires. Elle était la seconde fille d'une famille Americano-irlandaise catholique ; la sœur d'Anne Rice, Alice Borchardt, est aussi devenue un auteur célèbre. À propos de son nom inhabituel, Anne Rice a dit « Mon nom est Howard Allen parce qu'apparemment ma mère pensait que c'était une bonne idée de m'appeler du prénom de mon père Howard, elle pensait que c'était une chose intéressante à faire ».
    Anne Rice est devenu "Anne" à son premier jour d'école, quand une religieuse lui a demandé ce qu'était son prénom. Elle lui a répondu « Anne », considérant que c'était un joli prénom. Sa mère, qui était avec elle, l'a laissée parler sans la corriger, sachant que sa fille avait conscience de son véritable prénom. Depuis ce jour, tout le monde l'a appelé « Anne »5,6.
    Anne Rice est diplômée du lycée Richardson, en 1959, et enchaîne à l'université du Texas pour femme à Denton et plus tard au North Texas State College. Après un an à San Francisco, alors qu'elle travaillait comme examinatrice d'assurance, Anne retourne à Denton au Texas et se marie avec Stan Rice, son amour d'enfance. Stan devient professeur à San Francisco peu après avoir reçu son M.A. là-bas, et Anne vit et travaille à San Francisco Bay Area de 1962 à 1988. Tous les deux sont diplômés de San Francisco State University.
    Contrairement à ce que l'on pourrait croire, Anne Rice n'est pas un auteur typique de littérature fantastique, même si elle a baigné, durant toute son enfance, dans la culture de La Nouvelle-Orléans — faite de vaudou et d'autres éléments magiques — propice à l'élaboration de récits extraordinaires. En fait, elle s'inspire tout simplement de ce qu'elle a toujours connu, et à travers ses romans se dessine un hommage constant à la ville qu'elle chérit plus que tout.
    Anne et Stan ont eu une petite fille, Michèle, née en 1966, décédée le 5 août 1972 à la suite d'une leucémie. La mort de sa fille a plongé Anne Rice dans un profond désespoir et c'est pour s'en sortir qu'elle a écrit son premier succès : Entretien avec un vampire.
    En 1978, elle a eu un fils, Christopher. Stan, Anne et Christopher Rice sont revenus s'installer à La Nouvelle-Orléans alors que Christopher était encore un jeune garçon. Forte de son succès, Anne Rice a pu emménager dans la maison dont elle rêvait depuis toujours dans le Garden District, un quartier de La Nouvelle-Orléans. Cette maison est celle que la romancière décrit, trait pour trait, dans le premier tome des chroniques de sorcières, la maison des Mayfair.
    Elle est retournée à l'Église Catholique en 1998, après plusieurs années en se décrivant comme étant athée. Elle annonce qu'elle voudrait maintenant utiliser sa vie et son talent pour écrire afin de glorifier sa croyance en Dieu, mais elle n'a pas renoncé à écrire les mêmes livres qu'avant. En 2010, elle annonce qu'elle se convertit à une foi chrétienne "indépendante". En effet, elle déclare être en quelques sortes dégoutée du christianisme, qu'elle décrit comme un groupe querelleur, belliqueux et hostile. La raison de cette conversion est, entre autres, le rejet de l'homosexualité par le christianisme (elle combat ardemment au nom des homosexuels et son fils, Christopher Rice, est ouvertement gay).
    Le 30 janvier 2004, elle a mis la plus grande de ses trois maisons en vente. Anne Rice annonce ses plans de quitter La Nouvelle-Orléans où elle dit vivre seule depuis la mort de son mari le 9 décembre 2002. "Je simplifie ma vie, ne pas trop posséder, c'est le but principal", a-t-elle dit. "Je ne serai pas plus longtemps un citoyen de La Nouvelle-Orléans dans le bon sens". Anne Rice a donc décidé de quitter La Nouvelle-Orléans afin d'aller s'installer en Californie, dans le désert, où elle vit encore aujourd'hui." Je crois que sa vie est une véritable histoire où se côtoie tant de réussites, de difficultés et d'adversités. A plus de 70 ans, elle tend à s'exclure de la société comme une forme de rejet. Quel étonnant destin !!! A bientôt JM
  • Bonjour à tous,

    Barbara Wood, un auteure de roman féminin.

    Née en Grande-Bretagne, Barbara Wood fait ses études en Californie où elle est devenue infirmière. Elle exerce plusieurs métiers avant de se consacrer à l'écriture à plein temps.
    A l'âge de seize ans, elle écrit son premier roman, et, voyageuse infatigable, elle sillonne l'Alaska, l’Égypte, l'Afrique orientale et l'Union soviétique.
    Traduits en plus de trente langues différentes, ses romans publiés aux Presses de la Cité : "Australian Lady", "African Lady", "Les fleurs de l'Orient", "Séléné", "Les vierges du paradis" et "L'étoile de Babylone" .

    (extraits de "lesromantiques.com")
    "Ses livres ont été traduits dans plus de 30 langues et sont pour la plupart des best-sellers internationaux.
    Le lecteur est transporté dans des pays exotiques au sujet desquels Barbara Wood fait des recherches méticuleuses afin que ses fans puissent avoir un véritable aperçu de leur culture et de leur histoire.
    Elle a visité tous les pays au sujet desquels elle a écrit et ne se sentirait pas très à l’aise si elle écrivait sans jamais y avoir mis les pieds. Parfois, c’est le voyage lui-même qui lui inspire le livre. Barbara s’immerge totalement dans son sujet, en lisant des livres, des journaux, des magasines, en faisant des recherches sur internet, en réalisant des interviews et en contactant des experts dans les divers domaines qui concernent le projet en cours.
    Le personnage central de chacun de ses romans est une femme forte et indépendante. Ses personnages sont fictifs, mais certains sont inspirés par des gens qu’elle connaît, des personnalités ou des personnages historiques".

    Voici son site personnel http://www.barbarawood.com.
    A bientôt
    JM
  • Bonjour à tous, (version corrigée)

    En vérifiant, je bien acquis deux titres : "meurtres pour rédemption et les morsures de l'ombre" dont il me semble que Christelle avais plébiscité l'un ou l'autre. J'en profite donc pour faire un focus sur cette auteure déjà plusieurs fois distingués et semble-t-il abonnée au roman noir, au polar.
    En voici une rapide bio.
    Très bonne journée
    JM

    "Karine Giébel est née en 1971 dans le Var, où elle vit toujours. Depuis qu'elle sait tenir un stylo, elle écrit...
    Après une scolarité sans histoire où il lui arrive de s'ennuyer, elle poursuit des études de droit tout en s'essayant à divers boulots, pas toujours gratifiants mais souvent formateurs.
    Parallèlement, elle se lance dans l'écriture d'un polar et parvient à y mettre un point final. Son premier roman, "Terminus Elicius" (Editions la Vie du rail, 2004) reçoit le Prix Marseillais du Polar en 2005.
    Suivront "Meurtres pour rédemption" (Editions la Vie du rail, 2006, et réédité au Fleuve Noir en 2010) qui a été sélectionné pour le Prix Polar Cognac,
    "Les Morsures de l'ombre" (Editions Fleuve Noir, 2007) tour à tour lauréat du prix Intramuros, du prix SNCF 2009 et du prix Entre les murs,
    "Chiens de sang" (Editions Fleuve Noir, 2008) et "Jusqu'à ce que la mort nous unisse" (Fleuve Noir, 2009), Lauréat du Prix des Lecteurs au Festival Polar de Cognac.
    "Juste une ombre" est son dernier roman à paraître au Fleuve Noir.

    Tu manipules ? Tu deviendras une proie.
    Tu domines ? Tu deviendras une esclave...
    Le temps que tu comprennes, il sera peut-être trop tard...
    Tu commandes ? Apprends l'obéissance.
    Tu méprises ? Apprends le respect.
    Tu veux vivre ? Meurs en silence...

    source du site officiel - www.karinegiebel.fr "
  • Bonjour Jean Michel, oui j'ai eu un réel coup de cœur pour "Meurtre pour rédemption" qui est le premier livre que j'ai lu de cette auteur. Aujourd'hui j'en ai lu 4 : "Meurtre pour rédemption", "Terminus Elicius", "Les morsures de l'ombre" et "Juste une ombre". "Meurtre pour rédemption" reste incontestablement mon préféré et "Terminus Elicius" celui que j'ai trouvé le moins abouti (mais bon c'est son premier ce ci explique peut être cela). Mais j'aime vraiment beaucoup cette auteur et son univers. Bises. Christelle
  • Anne McCaffrey

    Un peu de "science fantasy" avec le cycle de la "ballade de Pern", voici une grande dame qui nous a quitté en 2011 après un long parcours de vie repris ci-après.
    Anne McCaffrey est née le 1er avril 1926 à Cambridge dans le Massachusetts. Elle fait jusqu'en 1947 des études de langues slaves et de littérature (écrivant sa première nouvelle au lycée) puis commence une carrière sur les planches : comédie, chant, mise en scène… En 1950, elle se marie, a trois enfants (de 1950 à 1959) et divorce en 1970.

    Pendant que ses enfants sont à l'école, elle se remet à écrire : sa première nouvelle publiée paraît en 1967. Elle est à l'époque une des très rares femmes écrivains de science-fiction : elle est d'ailleurs la première femme à obtenir un prix Hugo en fiction. En 1968, elle crée la saga de Pern, puis en 1973, celle des Doués.

    Lors de la cérémonie de remise des prix Nebula 2005, Anne McCaffrey est élue 22e Grand Maître. En 2006, elle est inscrite au Science Fiction Hall of Fame du musée de la science-fiction à Seattle.

    Anne McCaffrey meurt à 85 ans, le 21 novembre 2011 en Irlande. Elle y vivait depuis de nombreuses années, dans une maison nommée Dragonhold Underhill (Le Fort des Dragons sous la Colline), dans le comté de Wicklow, entourée de chevaux (une de ses passions), en continuant à écrire. (Merci Wikipédia)

    Réaction chez Pocket
    "Anne McCaffrey, la grande dame des dragons, s’est éteinte. Ce sont des millions de fans qui ont lu et lisent encore son immense saga des chevaliers-dragons de Pern.
    Signature incontournable du catalogue Pocket depuis 30 ans, elle a su donner à la fantasy et à la SF une vraie fraîcheur et beaucoup d’humanité à ses personnages. C
    ’est un immense auteur qui nous quitte mais ses livres resteront des classiques des littératures de l’imaginaire. La Ballade de Pern, que nous rééditons actuellement, continuera à nous faire rêver pendant très longtemps !"

    AMitiés
    JM
  • Bonjour Jean-Michel !
    En ce jour de "la journée de la femme" cette discussion est d'une grande actualité. C'est pour cela que je viens y rajouter un petit commentaire.
    Loin des grandes dames écrivains dont nous parlons souvent (Gavalda, Pancol, Vargas...), je vous propose deux romancières que j'aime particulièrement et qui sont peut être un peu moins connues du grand public :
    - Connie Willis : elle écrit des romans de SF avec pour thème de prédilection les voyages dans le temps et les conflits temporels. Il faut de préférence commencer par le premier de ses romans "Sans parler du chien" car on retrouve les personnages dans ses autres romans. C'est donc plus facile si on les lit dans l'ordre.
    - Kate Atkinson : c'est une reine pour raconter, un chapitre après l'autre, plusieurs histoires à la fois qui finissent par raconter une histoire commune. Personnellement, j'adore ce style d'écriture. Mes préférées de cette auteure sont "La souris bleue" et sa suite "Les choses s'arrangent mais ça ne va pas mieux"
    A très bientôt ! Amicalement, Séverine
  • «Je suis née au Caire, en Égypte. J'habite Paris par choix, parce que j'aime cette ville depuis l'enfance. J'écris depuis l'âge de dix-huit ans, en plusieurs genres : poésie, roman, théâtre.
    J'écris pour essayer de dire des choses vivantes qui bouillonnent au fond de chacun ; j'espère ainsi communiquer. Les sujets que je choisis sont en général marqués par la tragédie et par l'espérance. Je veux garder les yeux ouverts sur les souffrances, le malheur, la cruauté du monde ; mais aussi sur la lumière, sur la beauté, sur tout ce qui nous aide à nous dépasser, à mieux vivre, à parier sur l'avenir.» A. C.

    J'aime beaucoup cette auteure d'origine libanaise. Mère de Louis Chédid et grand-mère de Matthieu Chédid, elle nous a quittés le 6 février 2011 à l'âge de 90 ans, "Le corps s'en va, le cœur séjourne". Andrée Chedid a ses racines ancestrales en Egypte et au Liban mais elle était installée en France depuis 1946. Romancière, nouvelliste, dramaturge et surtout poète, elle a obtenu de nombreux prix littéraires pour ses ouvrages en prose et en vers. Son œuvre est un questionnement sur la condition humaine axé surtout sur les liens qui se tissent entre l'Homme et le Monde. Son style littéraire est travaillé mais néanmoins fluide, son écriture a la poésie et la sensualité de l'orient où se déroulent ses intrigues.

    Quelques ouvrages que j'ai lus :

    Le sommeil délivré
    Le survivant
    L'autre que j'ai déjà cité et dont je recommande la lecture
    Le sixième jour adapté magistralement en 1986 par Youssef Chahine avec Dalida dans le rôle principal
    Le message
    La femme de Job
    Les saisons de passage.

    A bientôt pour une autre auteure...

    Amitiés renouvelées, Nina
  • Bises à Nina et Séverine et merci à toutes les deux de vos contributions.

    Lancer des cailloux dans et voir les ondes aller, revenir puis se croiser, c'est pour moi un grand bonheur.

    Je crois me souvenir de la détresse de Matthieu à la disparition de sa grand-mère pour laquelle il avait un grand attachement. Reste que la transmission de cette culture et de cette origine se retrouvent dans la musique des notes et des mots de Louis et M pour le plus grand plaisir des fans.

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