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Yveline Gimbert

Yveline Gimbert

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Avis sur cet auteur (3)

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    Couverture du livre « Une singulière prédiction » de Yveline Gimbert aux éditions De Boree

    Florel sur Une singulière prédiction de Yveline Gimbert

    J’aime bien lire parfois quelques auteurs proches du terroir, des auteurs régionaux. Généralement ce sont des bonnes petites découvertes agréables, faciles à lire, un peu plus terre à terre que d’autres romans plus connus, enfin bref, j’ai rarement des mauvaises surprises. Et ben là encore une...
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    J’aime bien lire parfois quelques auteurs proches du terroir, des auteurs régionaux. Généralement ce sont des bonnes petites découvertes agréables, faciles à lire, un peu plus terre à terre que d’autres romans plus connus, enfin bref, j’ai rarement des mauvaises surprises. Et ben là encore une fois, ça été une bonne pioche.

    L’écriture est simple, tout s’enchaîne facilement, - alors qu’étonnamment je trouve que le résumé comme le titre ne correspondent pas à la majorité de l’histoire -, les personnages sont agréables à découvrir et à suivre, le décor est très champêtre. Bref, c’est une France profonde et vieillotte que j'ai suivi avec plaisir. Ce livre respire la simplicité, les joies simples, et le temps où elles étaient encore de mise. Ce qui dépayse beaucoup et fait du bien mine de rien ; même si à côté de ça notre pauvre héros à quand même un karma de merde (pardon pour l’expression). Parce qu'en effet le pauvre il va en vivre des vertes et des pas mûres dans sa vie. Et d’ailleurs c’est malheureux à dire, mais c’est justement ces choses-là qui fait que ce livre se lit aussi très bien, même si comme je l'ai déjà dit l'histoire ne tourne pas que autour de cette prédiction très particulière. Dans ce cas je dirais même qu'elle est en digression permanente par rapport au résumé, mais personnellement ça ne m’a pas gêné le moins du monde.

    Cependant il y a un point qui ne m’a pas beaucoup convaincue dans ce livre, c'est la fin. Plus particulièrement le raisonnement du frère de Rey sur la mort. Alors je suis entièrement d’accord avec lui dans le principe, mais complètement ! Cela dit la conversation qui s’est tenue avant dans le livre n’amène pas pour moi ce genre de réflexion philosophique. Pour tout dire j’ai trouvé que cette sentence tombait là comme un cheveu sur la soupe, je ne l'ai pas trouvé en adéquation avec l'histoire, mais bon ce n'est pas non plus un terrible faux pas car elle n'est pas hors sujet, on se demande juste comment elle arrive là.

    En résumé ça fut une lecture fort agréable pour moi.

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    Couverture du livre « L'oeil de l'auberge » de Yveline Gimbert aux éditions De Boree

    Christelle Garnier sur L'oeil de l'auberge de Yveline Gimbert

    Agréable à lire, mais sans grande surprise

    Agréable à lire, mais sans grande surprise

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    Couverture du livre « L'oeil de l'auberge » de Yveline Gimbert aux éditions De Boree

    (M.) Dominique Léger sur L'oeil de l'auberge de Yveline Gimbert

    Eh bé la volée de bois vert se poursuit. Je plaide la sincérité et le droit à l’erreur (si, par exemple, ce livre avait l’honneur du jury Orange !). Ne voyez, Mme Glaziou, aucune raison perverse à mon jugement et mes attendus ne se veulent pas des sarcasmes. Pour rebondir sur l'habile citation...
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    Eh bé la volée de bois vert se poursuit. Je plaide la sincérité et le droit à l’erreur (si, par exemple, ce livre avait l’honneur du jury Orange !). Ne voyez, Mme Glaziou, aucune raison perverse à mon jugement et mes attendus ne se veulent pas des sarcasmes. Pour rebondir sur l'habile citation de Montaigne, je vous propose celle reprise par Jean d’Ormesson dans son dernier ouvrage Qu’ai-je donc fait ? : « La littérature, du chagrin sous la grammaire » (j’avais déjà lu : « des larmes sous la syntaxe »). Dans l’espace dessiné entre grammaire sèche et chagrin bancal, je cherche l'œuvre idéal ; vous, l’avez trouvé dans le récit d’Yveline Gimbert et lui en rendez grâce. Je l’ai trouvé dans d’autres livres de la liste, à la recherche - comme vous M. Gazagnaire - du choc décisif de l’émotion ; je l’ai notamment trouvé dans Un juif pour l’exemple de Jacques Chessex : des larmes de sang sous une syntaxe de fer !