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Thomas Louis

Thomas Louis
Thomas Louis, né en 1992, est journaliste indépendant. Avec son premier roman, Les Chiens de faïence, il s'impose comme l'une des nouvelles voix de la littérature française contemporaine, entre l'humour désenchanté de Jean-Paul Dubois et la poésie absurde de Samuel Beckett.

Avis sur cet auteur (7)

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    Couverture du livre « Les chiens de faïence » de Thomas Louis aux éditions La Martiniere

    Anne-Marie Lemoigne sur Les chiens de faïence de Thomas Louis

    La famille Dugast semble victime d'une malédiction: celle du suicide.
    Du jour au lendemain, sans qu'on puisse en comprendre la raison, les uns après les autres, ils se donnent la mort. Au village, plus personne ne s'en étonne.
    Les Dugast se contentent d'une vie étriquée, « une vie dénuée de...
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    La famille Dugast semble victime d'une malédiction: celle du suicide.
    Du jour au lendemain, sans qu'on puisse en comprendre la raison, les uns après les autres, ils se donnent la mort. Au village, plus personne ne s'en étonne.
    Les Dugast se contentent d'une vie étriquée, « une vie dénuée de forces vives », sans relief, repliés dans leurs maisons rassemblées dans une même cour.
    Christophe, adolescent « grand taiseux, pièce très rare de solitaire abusif », prend conscience après avoir vu son père attenter à ses jours, que c'est bientôt à son tour de prendre le relais....
    Pour échapper au destin et « stopper le massacre », il lui faut couper le cordon, partir loin . Difficile pour lui qui na jamais quitté son trou. Il a une adresse à Paris, peut-être y trouvera-t-il une main secoureuse ?
    En secret, il prend le train pour la capitale. Et là il découvre un autre univers, celui des plaisirs, des rencontres, des soirées arrosées . La belle vie, quoi !
    Mais pourra- t-il à Paris échapper à son destin ?

    Un roman en deux volets opposés, à la manière d'un roman d'apprentissage classique : le héros quittant sa province pour venir mener une vie plus épanouissante à Paris, grâce à la rencontre avec des personnages aux rôles d'initiateurs.

    Un agréable premier roman, dans la tonalité de ceux de Jean-Paul Dubois

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    Couverture du livre « Les chiens de faïence » de Thomas Louis aux éditions La Martiniere

    Sylvie Poncin Fouliard sur Les chiens de faïence de Thomas Louis

    C'est la référence à Jean-Paul Dubois sur la couverture qui m'a donné envie de découvrir ce livre sorti en août dernier chez 'La Martinière'. Je ne me suis pas laissée impressionnée par la quatrième de couverture qui nous présente une famille où tous les membres se suicident les uns après les...
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    C'est la référence à Jean-Paul Dubois sur la couverture qui m'a donné envie de découvrir ce livre sorti en août dernier chez 'La Martinière'. Je ne me suis pas laissée impressionnée par la quatrième de couverture qui nous présente une famille où tous les membres se suicident les uns après les autres. J'ai choisi de mettre mes pas dans ceux de la famille Dugast pour le meilleur et pour le pire. Le héros (si je puis dire) s'appelle Christophe. Il a dix huit ans et autour de lui, c'est l'hécatombe. Son grand-père se suicide et dans la foulée ses trois autres grand-parents. Quand son père se donne la mort quelques semaines plus tard, Christophe décide de fuir de la maison pour (espère-t-il) échapper à son destin. Y parviendra-t-il ?

    Ce roman se lit tout seul. L'écriture est fluide et un certains suspens nous tient en haleine jusqu'au bout. On se demande vraiment ce qui va arriver (ou pas) à ce brave Christophe. La première partie se déroule au fin fond de la France profonde. Puis, changement d'ambiance. Nous sommes à Paris chez une connaissance de la mère de Christophe (un peu originale) qui l'a recueilli en acceptant de ne pas en informer sa famille (enfin, ce qu'il en reste). Le jeune homme souffle un peu et commence à imaginer qu'il va peut-être s'en sortir. Je ne vous dirai pas dans quel lieu se situe la dernière partie du roman et encore moins ce qui s'y passe pour ménager le suspens.

    Je me demandais comment allait se terminer le roman, je n'ai pas été déçue. Je ne sais pas si l'auteur souhaitait que nous tirions une leçon de la destinée de Christophe (cela ne m'a pas sauté aux yeux) où si son seul projet était de nous distraire avec un roman déjanté. Quoi qu'il en soit, j'ai passé un bon moment avec cette lecture et c'est déjà bien.

    Un roman plaisant à lire (mais il se pourrait que je l'oublie assez vite).

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    Couverture du livre « Les chiens de faïence » de Thomas Louis aux éditions La Martiniere

    Mathias sur Les chiens de faïence de Thomas Louis

    Les chiens de faïence est un conte à la fois humoristique et immoral, drôle et tragique, ravageur et saisissant. A travers la vie de la famille Dugast, Thomas Louis, primo-romancier, met en scène une malédiction frappant des grands-parents aux parents de Christophe. Tous se suicident les uns...
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    Les chiens de faïence est un conte à la fois humoristique et immoral, drôle et tragique, ravageur et saisissant. A travers la vie de la famille Dugast, Thomas Louis, primo-romancier, met en scène une malédiction frappant des grands-parents aux parents de Christophe. Tous se suicident les uns après les autres sous l’emprise d’une filiation incontournable et incompréhensible. Christophe, sentant la menace – que tous semblent accepter et attendre – se rapprocher, fuit le restant de sa famille, le monde qu’il connait et le déterminisme d’une fin inévitable.
    Débarquant à la capitale, il se confronte à une vie qui lui est inconnue jusque-là. S’ensuit un roman initiatique dans une ville où réussir semble possible. Christophe va peu à peu découvrir qu’une vie est possible, en dehors du giron familial devenu hostile… Mais un retour va être inévitable remettant en question la possibilité de fuir sa destinée.
    A condition d’être immoral ?
    Ce premier roman est d’une réussite totale, décapant, tout en étant léger et novateur.

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    Couverture du livre « Les chiens de faïence » de Thomas Louis aux éditions La Martiniere

    danielle Cubertafon sur Les chiens de faïence de Thomas Louis

    Le thème me plaît beaucoup j aimerais le lire ,il me tente depuis longtemps j espere pouvoir le decouvrir bientôt

    Le thème me plaît beaucoup j aimerais le lire ,il me tente depuis longtemps j espere pouvoir le decouvrir bientôt