Ursula a fait une fugue sans jamais en parler à Chloé, sa copine de chambrée à l'internat, très inquiète, va tout faire pour comprendre pourquoi elle est partie dans un premier temps puis partir sa recherche en puisant des indices dans le carnet noir d'Ursula qu'elle a trouvé au fond du tiroir de sa table de chevet.
Nous suivons toute cette histoire vécue par Chloé, l'incompréhension de cette fugue, la déception de ne pas avoir été mise dans la confidence puis peu à peu, la découverte du pourquoi grâce au carnet.
J'ai globalement trouvé cette histoire confuse, à plusieurs reprises j'ai du relire certaines phrases qui ne me semblaient pas correctes et ont donc cassé ma lecture. Le thème abordé : l'impact des actes répréhensibles d'un des membres de la famille sur le reste du clan n'est à mon sens pas assez fouillé car raconté par Chloé et non par Ursula.
Elisa est handicapée, condamnée à vivre en fauteuil roulant. Elle est fille d'inspecteur et aime mener l'enquête en parallèle de son père, façon Sherlock Holmes. Aidée de son ami Charles, elle va résoudre les mystères de ces meurtres qui laissent des cadavres à la chevelure totalement blanchie.
Elisa et Charles forment un duo sympathique, à la Sherlock Holmes et Dr Watson. Ils bravent les interdits des parents pour arriver à leur fin et mener à bien la résolution de cette enquête. Elisa a des facultés d'observation impressionnantes, elle est donc le cerveau de la bande alors que Charles est beaucoup plus peureux mais magne le fauteuil roulant comme personne.
L'enquête est assez simple mais elle est idéale pour faire découvrir aux plus jeunes l'univers de Sherlock Holmes. Une agréable lecture qui met en avant le handicap. Elisa même si elle déteste être dépendante va au bout de ces objectifs et a une vie remplie d'aventures et de rebondissements.
C'est l'histoire d'un loup qui est centré sur son apparence : il doit toujours être tiré à 4 épingles afin de terroriser tous les autres animaux. Mais un jour, le grand Malheur s'abat sur lui : il perd de sa superbe....Comment va-t-il faire ?
J'ai adoré cet album dynamique, agréable. A travers lui, les concepts du culte de l'apparence, de la différence, de l'importance que l'on accorde au regard de l'autre sont clairement expliqués et de façon simple pour nos enfants. Il montre aussi que ce ne sont pas forcément toujours les plus forts qui gagnent à tous les coups et que l'entraide est utile !
Les illustrations sont également magnifiques, les couleurs sont parfaitement dosées et en harmonie avec le texte. Le Loup a une tête trop marrante, les autres animaux sont tout en rondeur et j'ai eu un coup de coeur pour les poules... Un conte au second degré pour évoquer des sujets importants...
La kleptomanie est rarement traitée en littérature, sans doute encore moins en littérature jeunesse, c'est ce que nous propose ce livre en présentant ce père malade qui vit dans le secret et peut être aussi dans la honte de ce vice plus fort que lui. Avec cette découverte c'est toute la vie de la famille qui bascule, l'incompréhension des enfants, la honte de la mère, la difficulté pour se soigner et la lente descente vers l'enfer.
Même si l'auteur va un peu trop loin à mon gout dans cette déchéance, cette histoire est bien mené et on sent tout 'amour qui porte cette famille malgré toutes les difficultés qu'elle traverse.
Comment Grand Ours est devenu un doudou
Trouver sa place
SOS doudou
Les petits jaloux
Dans le carnet noir d'Ursula
L'affaire des cadavres aux cheveux blancs
Affaire des cadavres aux cheveux blancs (l')
La princesse et le loup qui ne savait pas lire
Un mensonge gros comme un éléphant
La cache
Benjamin fait des bêtises
Onnuzel
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Découvrez les auteurs, autrices et libraires qui accompagneront le président du jury Jean-Christophe Rufin !
Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Sénèque écrit une ultime lettre, alors qu'il a été condamné à mort par celui dont il fut le précepteur, conseiller, et ami : l'empereur Néron
