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Takumi Nagayasu

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    Couverture du livre « Le cheminot ; la lettre d'amour » de Takumi Nagayasu et Jiro Asada aux éditions Panini

    Ophelie GAUDIN sur Le cheminot ; la lettre d'amour de Takumi Nagayasu - Jiro Asada

    Les deux histoires sont courtes et racontent une tranche de vie emblématique de la vie du personnage avec finesse et une certaine émotion. "Le Cheminot" est tiré du roman best seller au Japon de Jiro ASADA et les dessins sont de Takumi NAGAYASU.

    Oto est le chef de gare d’un petit village...
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    Les deux histoires sont courtes et racontent une tranche de vie emblématique de la vie du personnage avec finesse et une certaine émotion. "Le Cheminot" est tiré du roman best seller au Japon de Jiro ASADA et les dessins sont de Takumi NAGAYASU.

    Oto est le chef de gare d’un petit village terminus au fin fond des montagnes japonaises. Sa fille de deux mois meurt faute de soins puis sa femme, malgré les traitements, s’éteint avant qu’Oto, pris par son travail, n’ait eu le temps de la rejoindre à l’hôpital en ville. Lui, continue invariablement à être à son poste pour faire arriver et repartir les trains, d’abord nombreux lorsque la ville extrayait le charbon puis avec juste une rame le matin et le soir quand les mines de charbon ont fermé. A trois mois de la retraite, il apprend qu’il ne sera pas remplacé : la « SNCF » japonaise ferme la ligne. Oto est dévoré de culpabilité tout en ne voyant pas d’issue : il a fait son travail avec conscience jusqu’au bout et au prix de sa famille. C’est au Jour de l’an que tout prend un autre sens : il a permis à de nombreuses personnes du village d’aller étudier et travailler à la ville (la même problématique toujours actuelle en France avec la fracture des territoires rural/urbain). Et l’âme de sa fille – et un peu celle de sa femme – revient doucement lui apporter l’apaisement. C’est aussi une belle ode à l’amitié des cheminots de l’ancienne école.

    Dans Lettre d’amour, le contexte est glauque : la prostitution des chinoises au Japon et tout le sordide qui entoure cette pratique par des organisations très structurées et le silence des institutions. Cette lettre (en fait, il y en a deux), c’est les remerciements d’une jeune femme chinoise prostituée par la mafia qui meurt d’une MST et qui pourtant remercie son « mari » (mariage blanc) car le rêve lui a permis de tenir. Quant à lui, Goro de son prénom, il prend conscience que d’autres vies étaient possibles mais plus celle d’avoir une vie de famille.

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