Pour varier les plaisirs de lecture, un roman léger, très léger où le personnage principal est le bonheur.
La Bretagne, une sexagénaire en pleine rédaction d’un roman semi autobiographique dans lequel elle exprime ses rêves se trouve à l’hopital. Pendant sa convalescence, ses filles , ses amies, vont tout faire pour que ses rêves deviennent réalité.
Le sous titre est L’indispensable légèreté de l’être.
C’est un roman qui se lit très vite, qui joue parfaitement son rôle récréatif et qui redonne envie de faire des rêves et d’y croire.
Mais derrière tout ça, c’est un texte qui soulève également les sujets de secrets de famille, d’homosexualité, de transgenre, de classes sociales, de familles monoparentales ; bref, un roman qui s’inscrit complètement dans le paysage contemporain.
Un conte moderne pour vous réconcilier avec les tracas du quotidien.
Soizik, professeur d'histoire-géographie, au seuil de la retraite, se retrouve en convalence à l'hôpital. Pour passer le temps, elle décide de mettre sur papier sous la forme d'un roman ses rêves dont celui d'utiliser la cave de sa maison pour en faire une discothèque disco. Mais, elle ne se doute pas que ses filles et toutes les personnes nommées dans son roman vont la prendre au mot..
Une partie de la Bretagne va vivre les transformations avec émoi et dynamisme, mais comment transformer un vieux hangar et une vieille cave en discothèque ? Est-ce que John Travolta serait d'accord pour venir élire la meilleure disco Queen ?
Stéphanie Janicot livre un merveilleux roman qui explore la nécessité de la joie et de la légèreté face aux duretés et aux désillusions de la vie. Deux récits dans un, maitrisés avec grandeur : la vie réelle se superpose à celle imaginé par Soizik en toute simplicité.
Un roman aux multiples facettes, car à la fois émouvant et drôle, pétillant et grave. Les thèmes de la différence, de la vieillesse, des non-choix comme des non dits sont distillés à travers les différents chapitres. Des chapitres quoi ont chacun un titre de chanson, comme une playlist, qui donne envie de danser mais surtout de croire en nos rêves les plus grands.
Une bande filles telle des vraies disco Queen dont on n'a qu'une envie, c'est de partager des week-end avec elle, en se déhanchant sur du disco ! Le disco a comme une saveur particulière dans ce roman car c'est une époque différente, une époque de liberté, une époque de grande légèreté.
Un beau roman qui pourrait paraître léger comme l'air mais qui pose énormément de question sur nos choix de vie, sur nos aspirations, sur nos chemins choisis.. "Disco Queen" fait du bien, grâce à la plume de Stéphanie Janicot mais surtout à l'humour de ses personnages, dans une actualité maussade. A découvrir si vous voulez avoir le sourire !
Soirée disco, festivité, souvenir, drôle et émouvant.
Soizik, jeune retraité de soixante ans décide de se remettre en question à l’occasion du combat de sa maladie. Pourquoi ne pas utiliser la cave de la maison pour ouvrir une boîte de nuit ?
Soizik rêve d’ouvrir une boîte de nuit le «Dancing Queen » dans un village de campagne. Elle veut rattraper le temps perdu.
Disco Queen est le projet d’une vie.
Durant sa thérapie, Soizik écrit son rêve sur papier dans un roman qu’elle fait lire à ses filles qui vont réaliser son rêve le plus fou, mais quand Soizik veut contacter John Travolta, le récit va prendre une autre tournure. Deux histoires en parallèle, la vie de Soizik et celle du roman, néanmoins quand le rêve devient réalité…
Aidée par son amie d’enfance et ses filles son bonheur pourrait devenir réalité et contagieux ?
Stéphanie Janicot nous propose un roman léger tout en musique avec beaucoup d’humour. Les personnages sont attachants drôles et bien décrits.
Quant à la plume de l’auteure, elle est fine, fluide avec un ton léger et parsemée d’humour.
En lisant ce roman ça nous donne envie de croire en ses rêves. Les thématiques sont fortes et pertinentes comme la maladie, la solitude, l’entraide…
Cette lecture est drôle, délicate et émouvante.
En revanche, je vous préviens que cette lecture va vous faire chanter et danser puisque chaque chapitre porte et est rythmé par une chanson célèbre et endiablée.
C’est une ode à la légèreté et à la résilience.
Tu n'es pas seul à être seul(e) à être seul(e) – Stéphanie Janicot
La solitude est partout. Et l’ou voudrait nous faire croire que ces instruments (téléphone portable, télévision, Internet…) destinés à nous relier au monde peuvent y changer quelque chose.
Seize nouvelles ont été écrites pour adulte dans une forme limpide.
Personnellement déçu, je m’attendais justement à une forme plus complexe ; une introspection des personnages : une relation avec soi-même sur le monde qui nous entoure. On y retrouve davantage des dialogues, une interaction avec les autres, des faux-semblants, des dialogues de sourds qui marquent la solitude dans la communion avec les autres.
Sauver Newland
Disco queen
L'île du docteur Faust
Le réveil des sorcières
Chroniques burlesques d'une journaliste
Fallen angel
La mémoire du monde ; intégrale
Newland
Dieu est avec vous... (sous certaines conditions)
Toute la mémoire du monde
La mémoire du monde t.3
Que tous nous veuille absoudre
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
Tentez vite votre chance pour gagner l'une des 15 bandes dessinées sélectionnées par le jury
Une interview des auteurs, un défi écriture et des livres à gagner !
Propriétaire d'une maison à Brooklyn héritée de son arrière grand-père, esclave enfui à New York, Eve Melville découvre la maison peinte en noir...
Une galerie de personnages, sans liens apparents entre eux, dont les destins vont s'entrecroiser...
