Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Sebastien De Castell

Sebastien De Castell

La biographie de cet auteur n'est pas encore disponible, connectez-vous pour proposez la vôtre :

/1200

Merci d’utiliser une photo au format portrait en indiquant les copyrights éventuels si elle n’est pas libre de droits.

Nous nous réservons le droit de refuser toute biographie qui contreviendrait aux règles énoncées ci-dessus et à celles du site.

Les textes à caractère commercial ou publicitaire ne sont pas autorisés.

Avis sur cet auteur (24)

  • add_box
    Couverture du livre « L'anti-magicien Tome 6 : hors-la-loi » de Sebastien De Castell aux éditions Gallimard-jeunesse

    Kryan sur L'anti-magicien Tome 6 : hors-la-loi de Sebastien De Castell

    "Tu croyais vraiment me rouler dans la farine avec ce stupide accent de la frontière ? Ricana-t-il.
    -Ça, c'était méchant.
    Je m'étais exercé toute la matinée à l'imiter."

    Une taverne sale et presque déserte
    Une partie de cartes.
    Une partie de hold-up de la frontière.
    Entre un vieux mage...
    Voir plus

    "Tu croyais vraiment me rouler dans la farine avec ce stupide accent de la frontière ? Ricana-t-il.
    -Ça, c'était méchant.
    Je m'étais exercé toute la matinée à l'imiter."

    Une taverne sale et presque déserte
    Une partie de cartes.
    Une partie de hold-up de la frontière.
    Entre un vieux mage seigneur nonchalant et mal habillé et Kelen de la maisonnée de Ke.

    Décor planté. Cartes distribuées.

    Ce dernier ( ?) tome de cette série... Est tout aussi génial, rusé et drôle que les tomes précédents.

  • add_box
    Couverture du livre « L'anti-magicien Tome 5 : les traitres de la cour » de Sebastien De Castell aux éditions Gallimard-jeunesse

    Lunartic sur L'anti-magicien Tome 5 : les traitres de la cour de Sebastien De Castell

    Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique de la suite de saga que j'attendais sans doute le plus impatiemment cette année, j'ai nommé le tome cinq de L'Anti-Magicien, Les Traîtres de la cour, par Sebastien de Castell. Je remercie du fond du cœur les éditions...
    Voir plus

    Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique de la suite de saga que j'attendais sans doute le plus impatiemment cette année, j'ai nommé le tome cinq de L'Anti-Magicien, Les Traîtres de la cour, par Sebastien de Castell. Je remercie du fond du cœur les éditions Gallimard Jeunesse de m'avoir fait parvenir ce cinquième opus en service de presse tout comme ses prédécesseurs. Depuis le tout début, cette série livresque a été une véritable révélation pour moi et je me surprends à chaque parution d'un nouveau tome à aimer ce dernier presque plus que le précédent, Les Traîtres de la cour ne faisant assurément pas exception à la règle.

    Comme toujours avec un tome de L'Anti-Magicien, l'on a droit à une intrigue avec une entrée en matière tout bonnement tonitruante et une conclusion du même acabit. Entre les deux : une série de rebondissements chocs et de vérités éclatant au grand jour qui ont de quoi vous laisser sonnés. Une fois n'est pas coutume, Sebastian de Castell est parvenu à m'emporter dans son univers qui ne ressemble à aucun autre et à me faire vivre comme si j'y étais un récit des plus palpitants et sombres, le tout sans se dépareiller de son humour si caractéristique qui ne manque jamais de faire mouche (avec moi en tout cas).

    En clair, j'ai retrouvé avec ce volume cinq tant espéré tous les ingrédients qui font de cette saga littéraire un authentique petit bijou à mes yeux. Pour autant, la partie n'était pas forcément gagnée d'avance : en effet, pendant un bon tiers, pour ne pas dire la moitié du récit, un sentiment désagréable me troublait sans que j'en puisse expliquer la raison. Puis j'ai réalisé "ce qui n'allait pas" (je mets cela entre guillemets car ce n'est pas un tort en réalité) : l'intrigue avait considérablement gagné en noirceur, en cynique avec ce cinquième opus ; cela se ressentait même jusque dans l'écriture et surtout dans les dialogues, beaucoup plus "clash". Le monde de l'Anti-Magicien n'était déjà pas un royaume de Bisounours à la base mais jusqu'à présent, il s'en dégageait toujours une certaine légèreté qui permettait de relâcher la pression ambiante. Là, malgré l'humour toujours omniprésent, la tension continuait à monter crescendo, sans nous accorder véritablement de répit, jusqu'à l'explosion finale qui m'a purement et simplement soufflée. Jusqu'alors, je parvenais toujours à m'émerveiller des aventures et exploits de Kelen, aussi dangereux soit-il, à trouver une certaine part de magie et de pureté dans cet univers essentiellement corrompu et au bord de l'implosion. Dans Les Traîtres de la cour, l'on sent que la fin d'une grande épopée est proche, que l'heure des révélations va bientôt sonner et que celles-ci ne vont probablement pas nous plaire. S'ajoute à cela que la Darome, contrée inspectée à la loupe dans ce récit, est sans conteste le royaume le plus hypocrite et froid de tout cet univers à mes yeux, et vous comprendrez aisément le sentiment de malaise et de suffocation que j'ai éprouvé pendant une bonne partie du récit. Sebastien de Castell nous prouve avec cet avant-dernier tome qui a déjà un déchirant goût d'adieu qu'il n'est pas là pour plaisanter et nous en mettre plein les mirettes mais au contraire pour aller jusqu'au bout de son histoire ayant pour cœur battant à 100/h une certaine ombre au noir dont la soi-disant propension à la cruauté et au mal n'a certainement rien à envier à la nature démoniaque et effarante de bien des actions perpétrées par les protagonistes principaux comme secondaires de cette remarquable fresque de fantasy.

    Enfin, je ne pouvais pas conclure cette chronique sans vous parler du plus grand bouleversement que m'a procuré ce cinquième tome, à savoir l'évolution que connaît mon petit chouchou Kelen, au passage plus si petit que ça. Le tout jeune Jan'Tep de 15 ans avide d'amour et de reconnaissance de la part de sa famille comme de son peuple que je rencontrais dans le premier tome a effectivement laissé sa place à un jeune adulte de 18 ans beaucoup moins naïf et innocent, qui possède désormais un état d'âme d'homme, une maturité d'homme et qui nourrit aussi des désirs d'homme mûr (suivez mon regard, humhum). Cette constatation a été dure à encaisser car je voyais auparavant Kelen comme un petit frère, un petit garçon qu'il était de mon devoir de protéger de toutes mes forces. Il m'est maintenant impossible de porter un regard aussi candide, quasi maternel et attendri sur ce bout d'homme qui s'est sacrément endurci sans pour autant perdre ce qui fait qu'il est lui, cet anti-magicien à l'intelligence folle et au sarcasme ravageur dont je suis tombée éperdument amoureuse dans ce cinquième tome. Au fond, j'avais toujours considéré Kelen comme un fictional crush potentiel malgré le fait que je ressentais à chaque fois le besoin irrépressible de le serrer dans mes bras comme je l'aurais fait d'un de mes petits-cousins ou d'un enfant apeuré et en cruel manque d'affection et de soutien dès qu'il se retrouvait déçu/en danger de mort/enragé/désespéré, autrement dit à presque chaque page qui se tournait. Aujourd'hui, je peux affirmer haut et fort que Kelen fait partie de ce box tout ce qu'il y a de plus V.I.P. de mon petit cœur et je l'assume pleinement, même si je sens que je vais regretter cette décision avec le tome six qui s'annonce des plus mouvementés et déchirants...

    Pour conclure, je ne peux que vous conseiller de vous lancer dans la lecture de L'Anti-Magicien si ce n'est pas déjà fait. Au programme : de l'action, des combats à couper le souffle, un suspens insoutenable, des personnages complexes et captivants à suivre, une relation désarmante d'amour/haine à la magie, un humour aux petits oignons et des morceaux indénombrables de votre cœur qui s'éparpilleront le long du chemin jusqu'à ce qu'il n'en reste rien, foi de Nanette. Alors, vous vous sentez d'attaque ?

  • add_box
    Couverture du livre « L'anti-magicien Tome 5 : les traitres de la cour » de Sebastien De Castell aux éditions Gallimard-jeunesse

    Kryan sur L'anti-magicien Tome 5 : les traitres de la cour de Sebastien De Castell

    «Dans cette vie, on joue avec les cartes qu'on a en main. »

    Merrell de Betrian le crétin, Arc'aeon un puissant mage guerrier, deux gardes royaux, un aigle majestueux, un chacureuil plus qu'irascible et son partenaire Kelen l'anti magicien en exil... Se retrouvent sur un sinistre et froid...
    Voir plus

    «Dans cette vie, on joue avec les cartes qu'on a en main. »

    Merrell de Betrian le crétin, Arc'aeon un puissant mage guerrier, deux gardes royaux, un aigle majestueux, un chacureuil plus qu'irascible et son partenaire Kelen l'anti magicien en exil... Se retrouvent sur un sinistre et froid plateau montagneux.
    En gros tout le monde veut tuer quelqu'un ou a essayé ou ira en prison ou s'envoie des vannes... Bref, une super ambiance à la Sébastien de Castell !

    J'adore décidément vraiment cet anti magicien et son créateur !!!

  • add_box
    Couverture du livre « L'anti-magicien Tome 4 : l'abbaye d'ébène » de Sebastien De Castell aux éditions Gallimard-jeunesse

    Clara Pailhon sur L'anti-magicien Tome 4 : l'abbaye d'ébène de Sebastien De Castell

    Bon, bon, bon, si vous n'avez toujours pas lu cette série fantasy. Je vous conseille d'y remédier. Pourquoi ? Parce que Sébastien de Castell nous offre un univers extraordinaire, fantastique, dinguissime... Bref, je vais m'arrêter là avec les adjectifs parce que sinon on a pas finit. Depuis le...
    Voir plus

    Bon, bon, bon, si vous n'avez toujours pas lu cette série fantasy. Je vous conseille d'y remédier. Pourquoi ? Parce que Sébastien de Castell nous offre un univers extraordinaire, fantastique, dinguissime... Bref, je vais m'arrêter là avec les adjectifs parce que sinon on a pas finit. Depuis le premier tome j'adore. Plus les tomes avancent, plus j'adore.

    Ce tome-ci est plus sombre que les précédents. Notre héros Kelen n'a pas, plus le choix, il va devoir grandir ! De tome en tome il évolue, mais dans celui-ci, l'évolution du personnage est plus flagrante. On voit dessiner les prémices de l'homme qu'il va devenir. Il est en train de quitter petit à petit l'enfant, l'adolescent pour laisser place à l'adulte, même s'il garde toujours sa naïveté attachante et sa capacité à se foutre dans les emmerdes. C'est à croire que son don, sa magie est de se mettre dans des situations impensables. Mais j'aime ça ! Ça me fait rire. Et avec une bonne grosse dose de chance, il arrive à s'en sortir. Cette chance il se l'a crée. Il devient plus fort mentalement : il est plus posé et surtout l'empreinte de Furia n'est pas très loin. Elle guide ses pas. Rakis et Furia m'ont beaucoup manqué dans ce tome. Certes, c'est un mal pour un bien pour Kelen, car celui-ci n'a plus le choix que de se réveiller mais j'aime tellement ces personnages que j'étais impatiente de les retrouver. J'aime vraiment les protagonistes de cette saga. Nephenia et Ishak aussi. Toujours en tête Rakis. C'est mon chouchou. Je veux le même (ou pas... Tout dépend s'il compte me bouffer les yeux!).

    Ce tome-ci a fait vivre des soubresauts à mon petit cœur. Plus noir, plus sombre donc plus dangereux. L'Abbaye d'Ebene fait assez froid dans le dos, à cause de son dirigeant, de certains habitants. Je ne savais pas trop où me positionner par rapport à ses nouvelles rencontres. Je retiendrai surtout Azir et Butélios. J'ai eu plusieurs fois un coup de cœur durant ce tome. J'ai eu peur, j'ai frémi, j'ai été triste et aussi en colère. Je me suis plus encore attachée à Kelen. Une atmosphère glaciale imprègne le roman. Encore une fois, on n'a pas le temps de s'ennuyer. L'univers de l'auteur s'enrichit, et l'action et les rebondissements sont présents. ​

    L'anti-magicien est une bouffée d'air frais et d'originalité. L'histoire se démarque par son univers, son intrigue, ses personnages et son humour. Car dans cette série on rit, on est triste, on a le cœur qui bat, on a peur et on est submergé par plein d'émotions. L'Abbaye d'Ebene est un tome sombre, froid qui nous laisse pas de répit. Dès les premières pages l'action est là. Pas le temps de s'ennuyer, les pages défilent à toute vitesse et notre cœur a le temps de faire des râtés. Kelen prend de la maturité, évolue pour devenir un héros. J'ai hâte de lire le prochain tome, même si on avance petit à petit vers la fin...