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Salva Rubio

Salva Rubio

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Avis sur cet auteur (19)

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    Couverture du livre « La bibliothécaire d'Auschwitz » de Salva Rubio et Loreto Aroca aux éditions Rue De Sevres

    caro manil sur La bibliothécaire d'Auschwitz de Salva Rubio - Loreto Aroca

    Bande dessinée tirée du roman du même nom d'Antonio G.Iturbe que je n'ai pas lu. J'ai passé un excellent moment de lecture très original ! Une bibliothèque à Auschwitz ... avant de me lancer dans cette histoire, j'ai cru que l'auteur parlait d'une sorte de métaphore ... une bibliothèque...
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    Bande dessinée tirée du roman du même nom d'Antonio G.Iturbe que je n'ai pas lu. J'ai passé un excellent moment de lecture très original ! Une bibliothèque à Auschwitz ... avant de me lancer dans cette histoire, j'ai cru que l'auteur parlait d'une sorte de métaphore ... une bibliothèque virtuelle qui n'existe pas vraiment mais si si il s'agit bien d'une vraie composée de huit livres : Un atlas, un ouvrage de géométrie, un livre de grammaire, l'abrégé de l'histoire du monde, un livre de Freud sur la psychologie et 3 romans. Ces ouvrages vont être confiée à notre héroïne, Dita, pour qu'elle s'en occupe et surtout qu'elle les cache car les livres sont interdits dans ce camp de la mort ! C'était très interessant... dur mais interessant ! j'ignorais qu'à Auschwitz (par exemple) un bloc était consacré pour cacher les atrocités qui s'y passaient ... C'est horrible de dire ça, je m'en excuse vraiment mais je ne sais pas comment dire autrement... Dans son malheur, Dita et ses parents ont eu la chance de se retrouver dans ce bloc. Contrairement à tous les autres blocs, ils ne sont pas tondus, ils peuvent garder leurs propres vêtements et les familles ne sont pas séparées. Un bloc façade pour montrer que la dignité humaine est respectée ... Mais on sait très bien toutes les horreurs abominables qu'il y avaient dans ses murs ! Une Bd que je conseille vivement !

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    Couverture du livre « Les Zazous Tome 3 : Every time we say goodbye » de Salva Rubio et Danide aux éditions Glenat

    bulle.noire sur Les Zazous Tome 3 : Every time we say goodbye de Salva Rubio - Danide

    Février 1943, Frankie est à la prison de la Santé. Il y retrouve le Commissaire Klébert, père de la jeune Willa, résistante. Il charge Frankie de la retrouver. Pour y parvenir,il lui faudra une nouvelle fois s'incruster parmi les zazous, ces jeunes qui ont choisi, au péril de leur vie, de...
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    Février 1943, Frankie est à la prison de la Santé. Il y retrouve le Commissaire Klébert, père de la jeune Willa, résistante. Il charge Frankie de la retrouver. Pour y parvenir,il lui faudra une nouvelle fois s'incruster parmi les zazous, ces jeunes qui ont choisi, au péril de leur vie, de continuer à danser et écouter du jazz sous l'occupation allemande.

    C'est la fin de cette trilogie réussie de bout en bout ! Salvia Rubio y déroule un récit basé sur des faits historiques en y intégrant une bande de personnages attachants. Dans ce tome 3, la libération est proche et les zazous poursuivent leurs missions de résistance. Ce troisième récit est habité par le souffle grandissant des libérateurs, dont la nueve, ces républicains espagnols qui ont libéré Paris.

    J'ai encensé le travail graphique de Danide lors de mes chroniques des deux premiers albums. Je ne changerai pas d'avis aujourd'hui. C'est toujours aussi vivant, dynamique avec des couleurs bien choisies. Les personnages sont bien trouvés et on est emmené sans mal dans un récit emballant.

    Cette trilogie fait partie des pépites découvertes ces dernières années. Sur un fond historique méconnu, ces zazous nous offrent un récit qui évite l'écueil du manichéisme. Je regrette juste l'absence cette fois d'un cahier historique final, apprécié lors des deux premiers tomes. Il y avait pourtant matière !

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    Couverture du livre « Les bâtisseurs Tome 2 : Bartholdi, la statue de la liberté » de Salva Rubio et Eduardo Ocana aux éditions Delcourt

    Jean-Paul Degache sur Les bâtisseurs Tome 2 : Bartholdi, la statue de la liberté de Salva Rubio - Eduardo Ocana

    Que ces BD sont belles et utiles !
    En lisant Bartholdi, la statue de la Liberté, second tome, après Viollet-le-Duc, l’homme qui ressuscita Notre-Dame, de la série Les Bâtisseurs, chez Delcourt, j’ai appris toute l’histoire de cette œuvre d’art, symbole impressionnant érigé sur l’île de Bedloe,...
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    Que ces BD sont belles et utiles !
    En lisant Bartholdi, la statue de la Liberté, second tome, après Viollet-le-Duc, l’homme qui ressuscita Notre-Dame, de la série Les Bâtisseurs, chez Delcourt, j’ai appris toute l’histoire de cette œuvre d’art, symbole impressionnant érigé sur l’île de Bedloe, devenue, depuis, Liberty Island, et qui accueille tous ceux qui arrivent à New York par la mer.
    On ne le rappelle jamais assez mais c’est un Français, Frédéric Auguste Bartholdi (1834-1904), né à Colmar, qui, conseillé par Édouard Laboulaye (juriste et homme politique) a imaginé et réalisé ce projet fou malgré quantité d’obstacles techniques, psychologiques et surtout financiers.
    Tout cela, Salva Rubio le raconte très bien, se permet quelques écarts pour la cohésion de la narration, comme il l’explique précisément dans les pages documentaires à la fin de la BD.
    L’ensemble est superbement dessiné par Eduardo Ocaña, des dessins impressionnants avec des perspectives osées qui me mettent au cœur d’une réalisation gigantesque. Cela est rappelé plusieurs fois : depuis le Colosse de Rhodes, deux mille ans auparavant, aucune autre statue de cette taille n’avait été réalisée.
    Si le dessin est précis, les couleurs de Maz ! sont justes et belles. Les teints des visages sont toujours parfaitement adaptés à ce qui se passe dans la tête du personnage.
    Dans son parcours extraordinaire, Bartholdi rencontre Ferdinand de Lesseps en Égypte où son désir de gigantisme prend forme. D’ailleurs, de Lesseps, très imbu de sa personne avec son canal de Suez, n’aide pas beaucoup Bartholdi. Par contre, Eugène Viollet-le-Duc est précieux, comme Gustave Eiffel. Tous les deux, ils font profiter Bartholdi de leur expérience.
    Importante aussi est l’aide de Joseph Pulitzer qui, de simple journaliste quand il rencontre Bartholdi, est devenu directeur du New York World. C’est lui qui lance la souscription auprès des gens du peuple. Les plus pauvres n’hésitent pas à donner, ce qui pousse le Congrès à enfin débloquer les fonds permettant de boucler le budget.
    Quand des images magnifiques, éloquentes, relaient le texte, c’est efficace et cela emballe ma lecture alors que Bartholdi déprime, veut tout abandonner. Heureusement, Pulitzer…
    Bartholdi, la statue de la Liberté, est une BD captivante, instructive, importante pour connaître l’œuvre de celui qui a réalisé aussi, entre autres, le Lion de Belfort.
    Un grand merci à Vincent pour cette BD qui me rappelle aussi qu’à Paris, sur la Seine, à hauteur du Pont de Grenelle, sur l’île aux Cygnes, près de la Maison de la Radio et de la Musique, on peut admirer un copie de la fameuse statue mais aussi à Roybon (Isère), sur la place centrale du village, et dans bien d’autres endroits encore. Auguste Bartholdi aurait aimé voir ça…
    Chronique illustrée à retrouver ici : https://notre-jardin-des-livres.over-blog.com/2023/11/rubio-ocana-maz-bartholdi-la-statue-de-la-liberte.html

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    Couverture du livre « Les bâtisseurs t.1 : Viollet-le-Duc, l'homme qui ressuscita Notre-Dame » de Salva Rubio et Eduardo Ocana aux éditions Delcourt

    Jean-Paul Degache sur Les bâtisseurs t.1 : Viollet-le-Duc, l'homme qui ressuscita Notre-Dame de Salva Rubio - Eduardo Ocana

    Quelle bonne idée ont eu les éditions Delcourt de lancer cette série consacrée aux Bâtisseurs ! Surtout, en commençant par Viollet-Le-Duc, l’homme qui voulait ressusciter Notre-Dame, Salvio Rubio, Eduardo Ocaña et Maz ! sortent d’un quasi oubli, un homme qui sauva une quantité impressionnante...
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    Quelle bonne idée ont eu les éditions Delcourt de lancer cette série consacrée aux Bâtisseurs ! Surtout, en commençant par Viollet-Le-Duc, l’homme qui voulait ressusciter Notre-Dame, Salvio Rubio, Eduardo Ocaña et Maz ! sortent d’un quasi oubli, un homme qui sauva une quantité impressionnante d’églises, de cathédrales, de châteaux.
    Tout cela n’est pas si loin puisque nous sommes au XIXe siècle et tous ces monuments menacent ruine. Pour avoir admiré et visité la Cité de Carcassonne, le château de Pierrefonds et, bien sûr, Notre-Dame de Paris, j’ai toujours eu beaucoup de mal à comprendre les critiques envers cet architecte hors normes.
    Il est vrai, comme Salvio Rubio l’explique très bien dans les pages documentaires qui clôturent cette magnifique BD (Merci Vincent !) que Viollet-Le-Duc a eu tendance à en faire un peu trop… Pour moi et pour la plupart des gens, ce n’est pas grave. Seuls comptent le régal des yeux et la sauvegarde de monuments qui font notre fierté nationale.
    Justement, cette BD commence avec le terrible incendie du 15 avril 2019 : Notre-Dame en flammes ! La flèche s’effondre. Heureusement, les statues qui l’ornaient étaient à Périgueux pour y être restaurées…
    Après avoir subi les caprices des rois, la colère des révolutionnaires, les séquelles du temps et être devenue même un simple entrepôt, Notre-Dame revenait sur le devant de l’actualité en 1832, grâce à Victor Hugo et son fameux « Notre-Dame de Paris ». Notre grand écrivain, furieux, voyant dans quel état est la cathédrale, dit toute sa colère à Prosper Mérimée qui est Inspecteur des Monuments historiques.
    Rien n’est simple à ce moment-là car l’hostilité de l’Académie des Beaux-Arts est manifeste : on déteste le style gothique. On lui préfère le classicisme grec ou romain.
    C’est un simple dessinateur qui a femme et enfant, Eugène Viollet-Le-Duc, que Mérimée veut voir car il est connu pour son attrait envers le style gothique.
    L’histoire est lancée. Le scénario concocté par Rubio me fait partager doutes et inspirations, combats et réussites d’un homme qui doit délaisser sa famille pour mener à bien son plus grand projet : rendre à Notre-Dame toute sa grandeur.
    Il faut beaucoup d’argent, des maçons, des charpentiers, des spécialistes du plomb, des ferronniers, des menuisiers et surtout un maître d’œuvre efficace et présent sur le chantier quand l’architecte est en province.
    Cet homme oublié, Rubio, Ocaña et Maz ! lui rendent justice. Il se nomme Jean-Baptiste-Antoine Lassus. Il a 7 ans de plus que Viollet-Le-Duc et a déjà restauré la Sainte-Chapelle, tout près de Notre-Dame.
    Même s’il est impossible d’être exhaustif dans une BD, les auteurs m’ont bien fait comprendre toute l’évolution d’un chantier immense, mené à bien avec les moyens de l’époque. Louis-Napoléon Bonaparte qui devient Napoléon III, personnage contesté, aura un rôle positif pour la réussite du projet de Viollet-Le-Duc.
    Chaque dessin de Eduardo Ocaña montre bien le travail énorme réalisé. Les images bien tristes des obsèques de Lassus offrent des visages impressionnants. Enfin, quatre pleines pages me régalent avec la flèche terminée et Notre-Dame dans toute sa splendeur. La vue aérienne finale est un bonus très apprécié.

    Puisqu’il faut sauver Notre-Dame à nouveau et que le chantier semble bien avancé, l’idée était excellente de rappeler l’œuvre de Viollet-Le-Duc pour redonner toute sa splendeur à un monument débuté en 1163, pour lequel les travaux avaient duré deux cents ans mais qu’il fallait impérativement sauver… comme aujourd’hui.
    Rendez-vous est donné le 8 décembre 2024 pour la réouverture de la cathédrale !

    Chronique illustrée à retrouver ici : https://notre-jardin-des-livres.over-blog.com/2023/11/rubio-ocana-maz-viollet-le-duc-l-homme-qui-ressuscite-notre-dame.html

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