« Quand je trace le mot « harmonie », je rentre dans l’harmonie », écrit François Cheng dans son ouvrage de calligraphie chinoise, « Et le souffle devient signe », réédité treize ans après sa première parution. Le « poète-romancier-essayiste », selon la formule qui lui est régulièrement attribuée, reconnaît calligraphier tous les matins pour « plonger en soi, se mettre en quête de vérité et de beauté […] ces créations dessinent en quelque sorte le portrait de mon âme. ».