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Ruben Pellejero

Ruben Pellejero

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Avis sur cet auteur (16)

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    Couverture du livre « Barcelona, âme noire » de Ruben Pellejero et Eduard Torrents et Pardo et Gani Jakupi et Denis Lapiere aux éditions Dupuis

    bulle.noire sur Barcelona, âme noire de Ruben Pellejero - Eduard Torrents - Pardo - Gani Jakupi - Denis Lapiere

    1948, gare de Barcelone.
    Le jeune Carlos Moreno Vargas s'apprête à monter dans le train, direction la France. Il croise Jocelyne qui lui propose du travail à Perpignan. Mais que fuit-il ? La dictature franquiste ? Une enfance douloureuse qui a fait de lui un orphelin ? Côté français, il se...
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    1948, gare de Barcelone.
    Le jeune Carlos Moreno Vargas s'apprête à monter dans le train, direction la France. Il croise Jocelyne qui lui propose du travail à Perpignan. Mais que fuit-il ? La dictature franquiste ? Une enfance douloureuse qui a fait de lui un orphelin ? Côté français, il se lance dans la contrebande de produits interdits...

    Gani Jakupi et Denis Lapière placent leur récit dans le Barcelone de l'ère Franco, où les tensions entre les républicains et les nationalistes sont toujours aussi fortes. On y suit Carlos qui, lourd d 'un passé chargé, va devenir un maître de la pègre barcelonnaise. Ce qui devait être une saga en six tomes se voit ramenée à un roman graphique dense et dynamique.

    Martin Pardo, Rubén Pellejero et Eduard Torrents, trois artistes barcelonais, sont réunis pour illustrer près de 40 ans de la ville catalane au travers de la vie d'un homme. Les ambiances sont réussies, les personnages aussi, on est transporté sans mal dans cette époque et dans ces lieux bien connus des trois dessinateurs.

    J'aurai effectivement bien vu ce récit en plusieurs tomes, j'ai trouvé que ça allait parfois un peu trop vite, mais ce très beau roman graphique, comme toujours chez Aire Libre, n'en reste pas moins un très bon moment de lecture, une excellente façon de démarrer un mois de mars prometteur !

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    Couverture du livre « Corto Maltese Tome 16 : nocturnes berlinois » de Hugo Pratt et Ruben Pellejero et Juan Diaz Canales aux éditions Casterman

    Pascal TOURRES sur Corto Maltese Tome 16 : nocturnes berlinois de Hugo Pratt - Ruben Pellejero - Juan Diaz Canales

    J’avais lu il y a à peine plus d’un an la version colorisée. J’avais aimé déjà l’histoire et ce format.
    J’avais en même temps acheté la version N&B que j’avoue avoir oublié dans une pile des « à lire » pour la laisser se bonifier (comme le bon vin) et ne pas être trop proche de la lecture de la...
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    J’avais lu il y a à peine plus d’un an la version colorisée. J’avais aimé déjà l’histoire et ce format.
    J’avais en même temps acheté la version N&B que j’avoue avoir oublié dans une pile des « à lire » pour la laisser se bonifier (comme le bon vin) et ne pas être trop proche de la lecture de la version couleur.

    Et comme j’ai lu la dernière version de « La reine de Babylone3 qui m’a un peu fâché (comme le précédent) non pas pour la qualité de l’histoire et de la pâte de Bastien Vivès ; mais pour la démarche marketing en vendant du Corto qui n’est pas vraiment du Corto (en tout cas le mien ; celui qui m’a fait grandir dans l’univers de la BD avec notamment Pif Gadget !) avec une atmosphère plus proche de certains films (corrects au demeurant) que de celle que savait concocter dans ses creusés d’alchimiste le maitre Pratt.

    Avec Nocturnes berlinois en N&B on retrouve encore l’esprit de Pratt tant dans l’histoire que dans la forme avec des dessins qui s’inscrivent bien dans une filiation.

    Du bel ouvrage qui se laisse généreusement lire (et relire donc) … tout en donnant envie de relire (encore) les albums de Pratt.

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    Couverture du livre « Corto Maltese Tome 16 : nocturnes berlinois » de Ruben Pellejero et Juan Diaz Canales aux éditions Casterman

    Franck FINET sur Corto Maltese Tome 16 : nocturnes berlinois de Ruben Pellejero - Juan Diaz Canales

    Corto Maltese est plongé dans le Berlin des années 1920-1924 .
    Sur fond de sociétés secrétes et d'intrigues policières, une ambiance " République Weimar".
    Les nationalistes sont à la recherche d'un homme-fort et s'opposent aux Marxistes .
    Un album aux nombreuses références historiques et...
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    Corto Maltese est plongé dans le Berlin des années 1920-1924 .
    Sur fond de sociétés secrétes et d'intrigues policières, une ambiance " République Weimar".
    Les nationalistes sont à la recherche d'un homme-fort et s'opposent aux Marxistes .
    Un album aux nombreuses références historiques et culturelles.
    J'avoue ne pas être un inconditionnel du dessin mais l'album n'est pas dénué d'intérêts.
    Corto Maltese est un personnage complexe.
    Une BD qui se mérite ...

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    Couverture du livre « Corto Maltese Tome 16 : nocturnes berlinois » de Ruben Pellejero et Juan Diaz Canales aux éditions Casterman

    Yv Pol sur Corto Maltese Tome 16 : nocturnes berlinois de Ruben Pellejero - Juan Diaz Canales

    A l'automne 1924, Corto Maltese arrive à Berlin et, en passant près d'un commissariat reconnaît dans une photo d'un mort inconnu, l'un de ses amis, Jeremiah Steiner. Ce dernier a été assassiné, et Corto cherche le tueur dans une Allemagne en proie à un nationalisme souterrain, à un antisémitisme...
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    A l'automne 1924, Corto Maltese arrive à Berlin et, en passant près d'un commissariat reconnaît dans une photo d'un mort inconnu, l'un de ses amis, Jeremiah Steiner. Ce dernier a été assassiné, et Corto cherche le tueur dans une Allemagne en proie à un nationalisme souterrain, à un antisémitisme montant. La jeune République de Weimar est fragile et il suffirait de peu pour qu'elle vacille et chute.

    J'ai toujours eu une bizarre appréhension à ouvrir un album de Corto Maltese, le célèbre marin créé par Hugo Pratt et repris depuis son décès, notamment par les deux auteurs espagnols. Le trait -beaucoup de personnages en ombre- n'est pas mon favori, et pourtant tout cela n'est plus d'actualité au fil des pages et les aventures de Corto génèrent même une certaine fascination pour ne pas dire une fascination certaine. Très ancrées dans des contextes historiques, politiques ou géopolitiques, elles ont quelque chose d'érudit, d'instructif et de divertissant également. Cette dernière à Berlin ne déroge pas à la règle, et c'est en Allemagne, pas encore hitlérienne que Corto vadrouille. Il y est question de sociétés secrètes fascisantes, antisémites -le mot aryen n'est pas prononcé, mais on l'entend entre les lignes-, anti-communistes... Et Corto de trimballer sa grande carcasse, de se trouver pris à parti et au jeu de démanteler tout cela.

    Épatant, comme à chaque aventure, c'est ce que je me dis après chaque album, pour retrouver cette petite appréhension au prochain. Finalement, je crois aimer ça.

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