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Richard Canal

Richard Canal
Né en 1953, docteur en informatique, Richard Canal a débuté sa carrière d'écrivain en 1986. Son oeuvre, saluée pour son style, sa critique et ses récits à la fois visionnaires et ironiques des futures possibles, a été couronnée par des nombreux prix littéraires : Solaris, Grand Prix d... Voir plus
Né en 1953, docteur en informatique, Richard Canal a débuté sa carrière d'écrivain en 1986. Son oeuvre, saluée pour son style, sa critique et ses récits à la fois visionnaires et ironiques des futures possibles, a été couronnée par des nombreux prix littéraires : Solaris, Grand Prix de l'Imaginaire ou encore Rosny aîné. Avec Upside Down, il signe son grand retour à une science-fiction ambitieuse et universelle, formidable révélatrice des préoccupations majeures de notre temps.

Avis sur cet auteur (3)

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    Couverture du livre « Cristalhambra » de Richard Canal aux éditions Mnemos

    kadeline sur Cristalhambra de Richard Canal

    En près de 10 ans sur babelio, c'est la première réception où je rédige un avis sans avoir fini ma lecture et je ne la finirai pas. Il y a eu des choses que je n'aimais pas mais jusqu’à présent j’avais toujours réussi à aller au bout. Celui-là n’était pas pour moi, ça arrive. Je pense avoir...
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    En près de 10 ans sur babelio, c'est la première réception où je rédige un avis sans avoir fini ma lecture et je ne la finirai pas. Il y a eu des choses que je n'aimais pas mais jusqu’à présent j’avais toujours réussi à aller au bout. Celui-là n’était pas pour moi, ça arrive. Je pense avoir assez avancée ma lecture pour essayer d’en parler au mieux.
    Dans un monde post-apo, l’espace est découpé en huit cadrans, chacun avec un chef. Ils correspondent à huit anciennes régions/pays de la Terre. On va suivre le quotidien de trois narrateurs masculins en alternance mais dans quel but, cela je n’en ai aucune idée après un tiers du récit. Zared est l’assistant d’une des rare chef femme. Takanobu est l’outsider pour prendre la succession de son père au détriment de sa soeur. Inti est un enfant de 11 ans survivant d’une planète gelée dont la colonisation est un échec.
    Niveau personnage féminin, j’espère que les nuances existent dans la suite car on va pas se mentir en 2023 écrire un roman où les femmes discrètes à la maison ça passe mais dès qu’elles ont de l’ambition ou un poste prestigieux, ce sont forcément des garces, c’est fatigant. Entre la cheffe de cadran qui prend les colons pour des imbéciles et la fille évincée de la succession car elle aurait trop d’ambition, ce n’est pas très reluisant et je n’ai plus envie de lire ce genre de choses. J’aurai pu faire un effort sur ce point si l’histoire me captivait et/ou son écriture, malheureusement ça n’a pas été le cas.
    Mettre en avant une écriture hyper travaillée, recherchée et onirique, ok mais il faut assumer jusqu’au bout : « sale garce » ce n’est pas très beau, ni recherché, les termes en anglais non plus. L’onirisme n’est pas forcément ma tasse de thé mais il arrive que j’adhère. Malheureusement, à l’instant où j'ai l'impression que l’auteur surjoue pour étaler son savoir, on me perd et c’est le sentiment que j’ai eu ici, c’était trop.
    Dix lignes pour décrire une simple maison sur pilotis sans dire le terme ni décrire l’ambiance, pour moi c’est non. Une liste de caractéristiques techniques sans plus valu je le prends comm une périphrase inutile.
    On ne va pas se mentir l'écriture n'était pas pour moi mais les thématiques n'étaient pas pour moi non plus. Entre l’idée de tout tourner autour des mâles, le gamin de 11 ans qui ne pense déjà que via ses hormones, le père en fin de vie, les oiseaux réels ou non torturés et le flou entre réel et virtuel rien n’était fait pour moi. Ceux qui aiment se perdre dans une réalité complètement mélangé au virtuel, y trouveront surement leur compte tout comme ceux qui aiment une écriture qui se veut élitiste.
    De mon côté j’ai besoin d'avoir un minimum de choses tangibles dans une histoire et je ne les ai pas eues ici. Ce n’est pas tant chaque point individuellement qui m’a fait abandonner ce texte mais le fait de les avoir tous en même temps. Les personnes sensibles aux aspects qui m’ont bloquée devraient passer un bon moment.

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    Couverture du livre « Gandhara » de Richard Canal aux éditions Séma Éditions

    coquinnette1974 sur Gandhara de Richard Canal

    Je remercie Séma Editions pour l'envoi du roman Gandhara de Richard Canal.
    Daniel Kissling, détective privé sans ambition, vit comme il peut de petits contrats. Un jour, une ancienne amie de fac, Maryse, le contacte et le charge de retrouver sa fille Bessie, 22 ans, jeune femme qui a tendance à...
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    Je remercie Séma Editions pour l'envoi du roman Gandhara de Richard Canal.
    Daniel Kissling, détective privé sans ambition, vit comme il peut de petits contrats. Un jour, une ancienne amie de fac, Maryse, le contacte et le charge de retrouver sa fille Bessie, 22 ans, jeune femme qui a tendance à s'égarer.. Il y a arrive si bien qu'ensuite un riche collectionneur lui demande de retrouver une statue extrêmement rare qu'il vient d'acheter et qui n'est jamais arrivée à destination. L'homme met de sacrés moyens à disposition de Daniel, qui part sur les traces de la statue. de Nice à Londres, de Bangkok à Bali, jusqu'aux plus hauts sommets de l'Hindou-Kouch, les pistes se multiplient, plus étranges les unes que les autres....
    Daniel Kissling est un personnage qui m'a beaucoup plu. Il vivote, il n'est pas réellement satisfait de sa vie. Son travail ne lui convient pas tout à fait, c'est compliqué dans sa tête. J'ai trouvé cet homme très intéressant, touchant et il m'a beaucoup plu.
    J'ai également apprécié le personnage de la mystérieuse Fang Yin, qu'il a rencontré chez un antiquaire en Thaïlande.
    Ce roman est très bien conçu, aussi bien au niveau des personnages que de l'écriture, très agréable, et de l'histoire, bien ficelée.
    Gandhara est un bon roman, rythmé et dans lequel on ne s'ennuie pas une minute. J'ai apprécié le voyage :)
    Je mets évidemment cinq étoiles à ce roman, que je vous recommande chaudement car nous avons là un bon thriller, rondement mené.

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    Couverture du livre « Malediction de l'ephemere (la) » de Richard Canal aux éditions J'ai Lu

    Jo Thomas sur Malediction de l'ephemere (la) de Richard Canal

    Premier livre de Richard Canal en 1986. J’ai bien aimé le style, vif et précis. En empathie avec ses personnages, Canal délivre une vraie tension, et une vision forte d’un monde traumatisé par une catastrophe, mais où la débrouille et le désir de s’en sortir permettent aux meilleurs côtés de...
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    Premier livre de Richard Canal en 1986. J’ai bien aimé le style, vif et précis. En empathie avec ses personnages, Canal délivre une vraie tension, et une vision forte d’un monde traumatisé par une catastrophe, mais où la débrouille et le désir de s’en sortir permettent aux meilleurs côtés de l’âme humaine de se dévoiler pour continuer à parier sur un futur possible... Moins aimé le maniérisme des années 80, avec ses stéréotypes et ses codes un peu factices. Je l’ai également trouvé un peu court...