La revue de presse livres vous dit tout ce qu’il faut savoir — et emporter — avant l’été !
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Luc, écrivain et Edith, agent dans les forces spéciales, décident de se quitter pour incompatibilité "professionnelle". Luc reste dans sa maison et fait connaissance avec son nouveau voisin Marc qui sort lui aussi d'une liaison compliquée. Suite à une intervention qui a mal tourné, Edith trouve refuge chez Luc le temps de se faire oublier, leurs bonnes intentions ne vont pas être facile à suivre...
Même si c'est bien écrit, dynamique avec des rebondissements auxquels on ne s'attend pas, entre romance et polar, avec des personnages bien trempés, j'ai eu du mal à entrer dans cette histoire qui m'a semblé brouillonne avec une histoire dans l'histoire.
On sent bien l'incompatibilité dans la façon d'appréhender la vie, entre Luc et Edith alors que l'amour semble être bien présent, mais j'ai trouvé que la personnalité de l'un et de l'autre manquait de profondeur.
J'ai par contre bien aimé les passages où l'auteur à travers les paroles de Luc, encense la place des femmes dans la société !!
Est-ce qu’un roman de Philippe Djian se raconte ? Et, pourtant, il faut bien donner envie de s’y plonger, de s’y noyer même, pour s’imprégner de l’atmosphère de ce cinquante-septième roman, Sans compter.
Nathan se dévoile sans en dire plus qu’il n’en faut. Il rencontre une randonneuse, Nicole, qui vient de passer quinze jours dans une forêt, complètement perdue ! Lui qui ressemble à Joachim Phénix évolue entre sa femme, Sylvia, et sa belle-mère, Gaby, soixante ans, immense poétesse à ses yeux.
Pigiste au chômage du journal que sa belle-mère possède depuis la mort de son mari, il tente de trouver sa place entre les deux femmes rarement d’accord. D’ailleurs, le couple a investi sa maison depuis peu. Mais, le sénateur du coin, Richard Bruunevigne, veut construire un parc d’attractions sur les terrains de Gaby qui ne souhaite pas les lui vendre malgré les pressions énormes subies.
Mais, un autre angle pourrait autant en dire. Un coton de Tulear est offert à Nathan par sa femme, Sylvie, peu de temps après avoir perdu son travail de pigiste à L’Eveil, journal du coin possédé par sa belle-mère, Gaby, poétesse qu’il admire énormément et dont il partage sa maison avec sa femme depuis peu.
Ce chien vient de la maison du sénateur du coin qui souhaite acheter les terrains possédés par Gaby pour en faire un parc d’attractions. Pas question pour elle de vendre ! Du coup, elle subit de fortes pressions dont elle sait qu’elle ne pourra peut-être pas résister longtemps.
“Sans compter” commence comme un récit sur les intimidations économiques et finit comme un roman policier à tendance psychiatrique.
La suite ici
https://vagabondageautourdesoi.com/2023/03/27/philippe-djian/
Déception.
Quand j'ai découvert ce livre par sa couverture et son résumé, je me suis dit que ce roman allait être passionnant et passionné. Malheureusement, plus j'avançais dans ce long monologue intérieur, plus je ressentais un sentiment d'ennui profond. L'écriture est bonne et facile. le style est indirect.
L'histoire de Denis le jour qui devient Denise la nuit n'a pas éveillé en moi des sentiments ou un attachement particulier pour cet homme. de même pour son épouse et tous les autres personnages qui gravitent autour de lui.
Je ne suis ni une spécialiste, ni une inconditionnelle des romans de Philippe Djian. Si j'en ai apprécié quelques uns, ce ne fut pas le cas de ce dernier.
Dans DOUBLE NELSON, les deux protagonistes sont ceux d'un couple formé de ce que j'appellerais « une femelle dominant et un mâle dominé »
Elle, c'est Edith, membre des Forces spéciales, sorte de Ninja féminin que rien n'arrête, une flingueuse qui tire plus vite que son ombre, disposant d'« un mental d'acier, une résistance à toute épreuve et « spécialisée dans les affaires de commando, d'espionnage, d'exfiltration »
Lui, c'est Luc, romancier en panne, qui ne cesse de procrastiner - il se trouve toujours de bonnes raisons- et dont le roman est « en berne »
Leurs relations sont souvent celles d'une sorte de catch amoureux ( d'où le titre DOUBLE NELSON qui désigne une prise de catch :celle de la soumission.
Ils ont rompu, - violemment car Edith a des manières expéditives - puis un jour elle revient chez Luc, blessée et lui demande de la cacher. Ils vont devoir cohabiter, mais vont -ils remettre le couvert ?
Face à la maison de Luc, celle de Marc, séparé de son épouse. Il vit désormais avec Michele, jeune femme atteinte d'érotomanie aigüe, irrésistiblement attirée par Luc. Comment échapper à son harcèlement ?
A cela va s'ajouter une nouvelle mission spéciale pour Edith et dans laquelle elle entraîne Luc.
J'ai retrouvé dans ce roman des caractéristiques des précédents : la présence d'un personnage écrivain, certains prénoms, des dialogues que rien ne distingue de la narration, des phrases courtes sèches et juxtaposées, et aussi......... des ellipses dont est coutumier Djian.
Chez lui, l énoncé des résultats des actes précède souvent l'énoncé de leurs causes et si j'ai d'abord souri aux déboires amoureux des personnages, je me suis rapidement sentie désorientée par les sombres affaires de mission secrète où se trouvent embarqués nos héros .
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