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Olivier Martinelli

Olivier Martinelli
Olivier Martinelli est né en 1967. Il vit à Sète, dans le sud de la France. Il s'est débrouillé comme il a pu avec la littérature jusqu'au jour où il est tombé sur un bouquin de John Fante. Le hasard a bien fait les choses. C'était Rêves de Bunker Hill. Il a réalisé ce jour-là qu'un écrivain pouv... Voir plus
Olivier Martinelli est né en 1967. Il vit à Sète, dans le sud de la France. Il s'est débrouillé comme il a pu avec la littérature jusqu'au jour où il est tombé sur un bouquin de John Fante. Le hasard a bien fait les choses. C'était Rêves de Bunker Hill. Il a réalisé ce jour-là qu'un écrivain pouvait lui parler, toucher son coeur avant sa tête. C'était il y a longtemps. Depuis, Martinelli éparpille ses textes dans des revues et des recueils collectifs. Il a publié chez Poussière Éditions un roman, Fanzine (2006) ainsi qu'un recueil de nouvelles En face de Préguise (2007) et, aux Éditions Singulières, le roman D'or est leur silence (2009). Il déteste les chanteurs engagés autant que les écrivains à message et a acquis une méfiance primitive envers les gens brillants. Travailleur acharné, il n'aime pas les dilettantes. S'il écrit, c'est dit-il « parce que j'ai pas le choix ». Mais il est bien possible qu'il ne dise pas toute la vérité. Il est bien possible qu'il écrive pour devenir riche et célèbre et, si ça arrive un jour, il pense qu'il l'aura bien mérité.

Avis sur cet auteur (8)

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    Couverture du livre « Le livre des purs t.1 : le roi des Krols » de Olivier Martinelli aux éditions Leha

    Onagar sur Le livre des purs t.1 : le roi des Krols de Olivier Martinelli

    Je me suis plongé dans ce roman, oui, mais je n’ai pas vibré. Malheureusement.
    Difficile de décrire ce qui n’a pas fonctionné, mais mon ressenti à la fin de cette lecture est un mélange de déception et de manque.
    Sentiment de déception par rapport à la façon dont le roman est rédigé. Des...
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    Je me suis plongé dans ce roman, oui, mais je n’ai pas vibré. Malheureusement.
    Difficile de décrire ce qui n’a pas fonctionné, mais mon ressenti à la fin de cette lecture est un mélange de déception et de manque.
    Sentiment de déception par rapport à la façon dont le roman est rédigé. Des phrases courtes, très courtes, ce qui donne du rythme à certaines scènes de combat par exemple. Mais une surabondance de phrases courtes donne un faux rythme qui n’a plus rien de palpitant. Et ces phrases courtes, à mon sens, nuisent au côté descriptif des scènes et des personnages.
    Et le sentiment de manque est venu du fait que j’attendais des explications, j’attendais des éléments de contexte plus poussés pour prendre la mesure de la bataille qui se livre pendant tout le roman.

    Mais ce qui m’a sans doute dérangé le plus, c’est cette impression de facilité et de détachement que l’on ressent en lisant les aventures des protagonistes. Le jeune héros de ce roman est fort, très fort, trop fort peut être. Et son frère et sa sœur le sont autant que lui. Tout est facile et on ne voit pas comment ils pourraient se trouver réellement en difficulté. Et cela finit par nuire à l’attrait qu’on pouvait avoir pour ce roman avant de le lire.

    Je ne veux pas manquer de respect à l’auteur. Surtout pas. D’autant que j’ai lu de nombreuses critiques très positives sur ce roman. Je ne suis qu’un lecteur qui donne son avis sur sa lecture, et aujourd’hui cet avis, par rapport à cette lecture, n’a rien de très positif.
    Alors je conclurai simplement en disant que je n’ai pas adhéré à la façon dont cette histoire a été racontée. Pour me plaire et me donner envie de lire la suite, il aurait fallu plus de contexte, plus de profondeur dans les personnages, moins de facilités pour ces mêmes personnages dont le plus âgé a 17 ans.

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    Couverture du livre « Mes nuits apaches » de Olivier Martinelli et Marc Topolino aux éditions Robert Laffont

    Ju-s-tine sur Mes nuits apaches de Olivier Martinelli - Marc Topolino

    Une belle découverte !
    Un roman sur l'adolescence, la recherche de soi, de sa place dans la société, mais également une ode au rock, qui va aider notre protagoniste à se construire, à se trouver.

    Une belle découverte !
    Un roman sur l'adolescence, la recherche de soi, de sa place dans la société, mais également une ode au rock, qui va aider notre protagoniste à se construire, à se trouver.

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    Couverture du livre « Mes nuits apaches » de Olivier Martinelli et Marc Topolino aux éditions Robert Laffont

    Henri-Charles Dahlem sur Mes nuits apaches de Olivier Martinelli - Marc Topolino

    Un peu perdu dans son village de l’Ariège, Jonas apprend à se défouler en tapant fort sur la batterie offerte par son frère. Dès lors, il sait que la musique, que le rock, vont l’accompagner durant toute sa vie et n’hésite pas à partir pour Paris, quitte à laisser derrière lui son ami Henri et...
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    Un peu perdu dans son village de l’Ariège, Jonas apprend à se défouler en tapant fort sur la batterie offerte par son frère. Dès lors, il sait que la musique, que le rock, vont l’accompagner durant toute sa vie et n’hésite pas à partir pour Paris, quitte à laisser derrière lui son ami Henri et la belle Barbara.
    Mais commençons par dire deux mots de l’objet. Ce livre fait partie de la collection «Les Passe-Murailles» dirigée par Emmanuelle Dugain-Delacomptée qui entend «revisiter les mondes immuables des classiques littéraires, entrer dans des tableaux qui s’animeraient soudain, débattre avec des philosophes disparus, s’égarer dans des films ou séries que rien ne destinait à se rencontrer, ou bien simplement évoquer l’influence de ces œuvres sur nos vies». À la fois par le sujet proposé, la découverte et l’influence de la musique rock et les illustrations de Marc Topolino qui parsèment le récit, l’objectif est atteint.
    On prend beaucoup de plaisir à suivre le parcours de Jonas, même si son enfance et son adolescence n’ont pas été des plus joyeuses. Après avoir perdu son père – celui qui emmenait la famille Espagne sur l’air de Machucambos – et sa grand-mère, il voit son grand-frère quitter le domicile familial pour ses études et se retrouve seul avec sa mère. «Elle me trouvait malheureux alors que je n’étais que le reflet de son propre malheur.»
    Dans cette ambiance lourde ce n’est pas le psy roumain auquel il va rendre visite qui lui sera d’un quelconque secours, mais Henri et Barbara. Encore, c’est le copain d’enfance, celui avec lequel il joue au foot. «Nos solitudes s’étaient prises en affection». Barbara, c’était autre chose. C’était le visage de l’amour, le fantasme absolu.
    En attendant un hypothétique premier baiser, la vie de Jonas va changer lorsque son frère, de retour pour Noël, va lui offrir une batterie sur laquelle il va pouvoir lâcher toute sa colère. «À présent, j’étais armé. Il ne pouvait plus rien m’arriver. Le rock avait déboulé dans ma vie.»
    Un vent de liberté souffle alors, qui le transforme du tout au tout. Ses fringues, sa dégaine et même ses rêves changent à mesure qu’il découvre cet univers musical. Il n’hésite pas à monter dans la camionnette des trois filles qui vont donner un concert à quelques kilomètres de là et s’improvise batteur de la blonde, la rousse et la brune.
    À 17 ans, il lâche tout pour s’installer à Paris et pour, peut-être, oublier Barbara.
    Il écume les concerts, sort avec Betty, oublie ses études en chemin. Il n’aura pas Lisa, mais décrochera finalement son bac au rattrapage. Il n’envisage son avenir que dans la musique, mais s’inscrit en fac d’anglais pour rassurer sa mère. Avant de devancer l’appel pour se débarrasser au plus vite du service militaire et oublier son ancienne vie. «Je prenais l’armée pour une sorte de machine à laver».
    Mais c’est à La Réunion, sur «des effluves d’épices, de gingembre, de curcuma, de curry» qu’il va trouver sa voie. En entendant Kenyan et sa voix qui «venait vous attraper par le col et ne vous lâchait plus». La suite – et la fin – du livre va se jouer un registre d’intenses émotions, avec quelques surprises et, en complément d’une riche playlist, une bibliographie tout aussi intéressante.
    Car désormais, c’est dans les livres et l’écriture que Jonas cherche son paradis.
    https://urlz.fr/9fsq

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    Couverture du livre « Mes nuits apaches » de Olivier Martinelli et Marc Topolino aux éditions Robert Laffont

    Marlène G sur Mes nuits apaches de Olivier Martinelli - Marc Topolino

    Jonas, un jeune adolescent qui vit des déceptions, des frustrations et le décès de son père, découvre le Rock, sa vie change grâce à cette découverte. Il entre dans la vie, découvre les filles, change de look, découvre aussi la vie la nuit. Jonas vit pleinement, et nous vivons avec lui cette...
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    Jonas, un jeune adolescent qui vit des déceptions, des frustrations et le décès de son père, découvre le Rock, sa vie change grâce à cette découverte. Il entre dans la vie, découvre les filles, change de look, découvre aussi la vie la nuit. Jonas vit pleinement, et nous vivons avec lui cette tranche de vie. Un récit où l’humour et l’émotion sont au rendez-vous .Un belle rencontre.