L'aventure des métiers de l'édition se poursuit avec ce septième volet de notre web-série des Carnets de l'édition consacré cette fois au métier d'éditeur en binôme.
L'aventure des métiers de l'édition se poursuit avec ce nouveau volet de notre web-série des Carnets de l'édition consacré au métier d'éditeurs, mais cette fois en binôme avec Yves Pagès et Jeanne Guyon des...
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L'aventure des métiers de l'édition se poursuit avec ce septième volet de notre web-série des Carnets de l'édition consacré cette fois au métier d'éditeur en binôme.
Il s'agit en effet d'un travail d'écriture certain, d'une puissance dans l'utilisation des mots, des images et même des sons quand on lit un passage à haute voix. Mais, mais, mais ... l'histoire est compliquée et violente. Cela intrigue, attire et fascine. Puis, il y a redondance dans les effets et cela n'amuse plus du tout. Alors, perplexe, on se sent lassé et même trahi par cet exploit littéraire qui a probablement un sens mais qui ne parvient pas à me séduire.
Le dernier roman d’Olivia Rosenthal est forcément un événement. Attendu au tournant de la rentrée littéraire.
Et ça commence comme un «Sur la route». Une errance comptée à rebours. Et ça continue comme une sorte de «Nuit du chasseur».
J’ai apprécié, une nouvelle fois, le style de l’auteur mais, pour une fois, beaucoup moins l’histoire.
«J’ai voulu raconter comment on souffre de n’être pas regardée. Comment on souffre d’être regardée. Comment on s’y prend avec son corps pour que ce regard soit acceptable. J’ai voulu décrire la violence des jeux d’enfant. Mais à mesure que j’avance, la distance entre ce que j’ai voulu et ce que j’écris augmente. Je ne peux réduire l’écart.»
Tout le livre est là. L’écriture de Rosenthal reste ensorcelante.
Mais pour moi cette histoire «gothique» restera une énigme non résolue, un puzzle inachevé.
Une histoire d’ombres sans lumière.
A vous de voir...
p100
Qui sont ces enfants en perruques jaunes en couverture de ce texte d'Olivia Rosenthal ? Qu'est ce que ce titre étrange ? Que vais je lire ?
Le premier chapitre est prénommé « fuite » et nous sommes dans un univers étrange, un personnage féminin tente d'échapper à on ne sait pas trop quoi. Ce texte est entrecoupé d'un texte plus explicatif sur les comas.
Le deuxième chapitre parle d'une enfant qui attends ses parents partis reconnaître sa sœur ou plutôt le corps de sa sœur, découverte morte sur la voie publique. Ce texte est entrecoupé d'un texte sur Jacqueline S en phase comateuse après une chute de cheval.
Je n'ai jamais aimé les romans, séries, films sur la médecine, sur la maladie ou la mort.
Dès les premières pages de ce texte, j'ai eu un sentiment de malaise face aux situations racontées. Mais je reconnais que je suis face à une écriture sensible et on continue la lecture et l'auteure nous entraine dans des univers étranges. Dans le premier chapitre, qui est cette narratrice, où est elle, ces multiples dimensions m'ont décontenancée.
J'ai ressenti un certain sentiment de malaise à la lecture de ses situations, que ce soit cette narratrice qui recherche à échapper à on ne sait pas trop quoi ou cette enfant qui garde la maison en attendant le retour de ses parents et leur funèbre nouvelle.
Malgré ce léger malaise, je continue cette lecture qui m'entraine dans des univers étranges ou paradoxalement familiers.
p100
Qui sont ces enfants en perruques jaunes en couverture de ce texte d'Olivia Rosenthal ? Qu'est ce que ce titre étrange ? Que vais je lire ?
Le premier chapitre est prénommé « fuite » et nous sommes dans un univers étrange, un personnage féminin tente d'échapper à on ne sait pas trop quoi. Ce texte est entrecoupé d'un texte plus explicatif sur les comas.
Le deuxième chapitre parle d'une enfant qui attends ses parents partis reconnaître sa sœur ou plutôt le corps de sa sœur, découverte morte sur la voie publique. Ce texte est entrecoupé d'un texte sur Jacqueline S en phase comateuse après une chute de cheval.
Je n'ai jamais aimé les romans, séries, films sur la médecine, sur la maladie ou la mort.
Dès les premières pages de ce texte, j'ai eu un sentiment de malaise face aux situations racontées. Mais je reconnais que je suis face à une écriture sensible et on continue la lecture et l'auteure nous entraine dans des univers étranges. Dans le premier chapitre, qui est cette narratrice, où est elle, ces multiples dimensions m'ont décontenancée.
J'ai ressenti un certain sentiment de malaise à la lecture de ses situations, que ce soit cette narratrice qui recherche à échapper à on ne sait pas trop quoi ou cette enfant qui garde la maison en attendant le retour de ses parents et leur funèbre nouvelle.
Malgré ce léger malaise, je continue cette lecture qui m'entraine dans des univers étranges ou paradoxalement familiers.
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