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Nathan Devers

Nathan Devers

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Avis sur cet auteur (11)

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    Couverture du livre « Penser contre soi-même » de Nathan Devers aux éditions Albin Michel

    Babeth_ladreyt sur Penser contre soi-même de Nathan Devers

    Entre l’essai philosophique et le récit d’autobiographie, ce texte est une belle leçon de vie.
    J’avais découvert Nathan Devers avec son roman Les liens artificiels (un de mes grands coups de cœur littéraires) ; je me suis plongée, l’esprit ouvert dans cet essai sur la philosophie et ce qu’elle...
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    Entre l’essai philosophique et le récit d’autobiographie, ce texte est une belle leçon de vie.
    J’avais découvert Nathan Devers avec son roman Les liens artificiels (un de mes grands coups de cœur littéraires) ; je me suis plongée, l’esprit ouvert dans cet essai sur la philosophie et ce qu’elle lui a apporté au quotidien jusqu’à en faire son métier.
    Avant d’être Nathan Devers, ce jeune homme s’appelait Nathan Naccache et se destinait à une carrière de rabbin.
    Il revient ici sur son adolescence, sur son choix de pratiquer, contrairement à ses parents, à sa famille, à son entourage, une religion jusqu’à en respecter chaque dogme. Il nous raconte sa prise de conscience, quelques années plus tard, de l’importance, de la nécessité de la philosophie dans sa vie, jusqu’à renoncer, renier la religion qu’il embrassait avec tant de fougue précédemment.
    Je suis toujours autant subjuguée par l’intelligence, la maturité et l’éloquence de ce jeune écrivain de 27 ans. Il le prouve une fois de plus avec ce texte très personnel intense et brillant.
    J’ai éprouvé un grand plaisir à faire plus ample connaissance avec son passé, ses convictions.
    Cet essai m’aura permis de varier mes lectures, de trouver une certaine envolée littéraire ailleurs que dans les romans, de me pousser à la réflexion et de penser contre moi-même, de prendre de la hauteur. Et ça fait un bien fou !

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    Couverture du livre « Les liens artificiels » de Nathan Devers aux éditions Albin Michel

    Breizhandbooks sur Les liens artificiels de Nathan Devers

    07/11/22 : en direct sur les réseaux, Julien Liberat se suicide. Avec calme et détermination. Choc.

    Retour en arrière. Julien Liberat fait le bilan de sa morne existence : musicien raté, vivant dans un appart-clapier à Rungis, donnant des cours de piano pour survivre, looser au cœur brisé....
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    07/11/22 : en direct sur les réseaux, Julien Liberat se suicide. Avec calme et détermination. Choc.

    Retour en arrière. Julien Liberat fait le bilan de sa morne existence : musicien raté, vivant dans un appart-clapier à Rungis, donnant des cours de piano pour survivre, looser au cœur brisé. Pas brillant.
    Dans ses errances, il découvre l’Antimonde, qui va lui donner une inattendue seconde chance.

    Le créateur de de « jeu », Adrian Sterner, croisement de Musk et Zuckerberg, crée une machinerie puissante, un monde prodigieux de beauté et d’authenticité, sorte de matrice déshumanisante et aliénante rendant addicts les humains perdus qui s’y ruent sans hésitation.

    Juien crée son Anti-moi, Vangel, découvre la crypto-monnaie, boursicote pour de faux et s’invente une vie sans limites, faite de gain, pouvoir et gloire. Très vite, sa vie réelle s’efface au profit du métavers, dans une spirale vertigineuse sans retour possible.

    Happée dès les premières lignes, j’ai bouloté ce roman comme du petit lait. Quelle idée géniale !

    Ce récit aux accents dystopiques nous plonge dans un abîme de perplexité : réel ou virtuel ? Libre-arbitre ou mouton 2.0 ? Finalement, la question n’est pas là tant l’un prend le pas sur l’autre et permet à chacun de s’interroger son rapport aux réseaux sociaux. Englué.e.s dans nos posts/likes/selfies/followers, ne sommes-nous pas déjà victimes de nos errances, nous aussi ?

    Cynique, caricatural mais fascinant, le texte propose quelques scènes savoureuses, comme cette fictive interview entre Beigbeder et Finkelkraut à la Grande Librairie, et pose des questions essentielles pour notre avenir. Le tout avec la légèreté d’un jeu vidéo.
    Il fallait le faire, parler de tels sujets avec une légèreté bienvenue.

    Car on s’amuse en lisant ce roman. Beaucoup.
    Et on en redemande.

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    Couverture du livre « Les liens artificiels » de Nathan Devers aux éditions Albin Michel

    Veronique-b sur Les liens artificiels de Nathan Devers

    L'antimonde de Nathan Devers est une plongée dans le web 3.0. Un roman justement mené avec ses quelques lenteurs et clins d'œil historiques, à ne pas confondre avec un essai ambitieux. Lire les liens artificiels vous perd (parfois on sait plus si on est dans le réel ou le virtuel, une limite...
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    L'antimonde de Nathan Devers est une plongée dans le web 3.0. Un roman justement mené avec ses quelques lenteurs et clins d'œil historiques, à ne pas confondre avec un essai ambitieux. Lire les liens artificiels vous perd (parfois on sait plus si on est dans le réel ou le virtuel, une limite parfois ténue). Vous rirez également, car Nathan Devers a su y parsemer quelques gouttes cocasses. Sélectionné pour le goncourt des lycéens 2022...Ce livre a frôlé la victoire.

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    Couverture du livre « Les liens artificiels » de Nathan Devers aux éditions Albin Michel

    Passemoilelivre sur Les liens artificiels de Nathan Devers

    Julien Libérat, la trentaine désabusée vit de petits boulots dont celui d’animateur pianistique chichement rémunéré d’une petite boite de nuit et de quelques cours particuliers qui satisfont plus les parents que les élèves. En dérivatif à sa déprime, il découvre un monde parallèle, « Heaven »,...
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    Julien Libérat, la trentaine désabusée vit de petits boulots dont celui d’animateur pianistique chichement rémunéré d’une petite boite de nuit et de quelques cours particuliers qui satisfont plus les parents que les élèves. En dérivatif à sa déprime, il découvre un monde parallèle, « Heaven », un métavers imaginé par Adrien Sterner dans lequel il s’engouffre et agit en tant que Vangel, avatar qui va lui permettre de vivre des aventures extraordinaires. L’imagination délirante de l’auteur est bourrée d’humour et pose des questions débattues entre autres par Beigbeider et Finkielkraut à la grande librairie de Bunel. Monde virtuel, antimonde, planète B dans laquelle on peut s’épanouir mais aussi se perdre. Très bon roman débouchant sur des question existentielles contemporaines parfaitement envisagées par l’auteur.