En attendant le verdict du 14 juin, découvrez ces nouveaux talents du 9e art !
Et voilà, déjà le dernier tome de Master Keaton (sans compter le remaster - 20 ans plus tard que je n'ai pas encore lu). Pour l'occasion, l'auteur déroge à ses principes. Les chapitres sont toujours normés sur 25 pages, ce qui permet des récits rythmés, mais s'enchaînent ici les uns derrière les autres pour former une histoire beaucoup plus riche et fournie.
À la lecture de cet album, j'ai retrouvé les ambiances glaçantes de Monster...
Une belle série, intéressante, que les fans d'Urasawa ne négligeront pas, je pense.
Série plutot homogène.
J'ai hâte d'attaquer le tome 12 et dernier tome pour découvrir la raison de conclure ces aventures, qui dans l'absolu peuvent continuer ad libitum. C'est bien parfois de savoir conclure !
Rythmé et renouvelé.
Très agréable à lire.
Essayez ?!
Toujours un grand plaisir de lire ces Master Keaton.
Une ambiance tendue pour un détective au calme Olympien.
Finalement, l'exercice imposé de cadrer chaque recit en 25 pages impose un rythme intéressant.
Ce tome 8 nous permet d'apprendre ce qui a amené Keaton, archéologue passionné (et passionnant) à travailler pour une société d'assurance. Les compétences requises d'observation et de déduction, finalement présentées comme communes (et c'est vrai sur cette tranche de vie) ne semblaient pourtant pas évidentes.
Du bon Urasawa (plutôt un pléonasme...).
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
En attendant le verdict du 14 juin, découvrez ces nouveaux talents du 9e art !
Rendez-vous le jeudi 1er juin à 18h en direct sur "Un endroit où aller" et notre page Facebook
Juillet 1893, Aigues-Mortes : un massacre longtemps passé sous silence
Une superbe BD qui questionne les thèmes de l'identité et de la transmission d'une culture