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Nahal Tajadod

Nahal Tajadod
Née en 1960 à Téhéran, Nahal Tajadod est écrivaine et traductrice, sinologue et spécialiste du poète perse Rûmi. Elle vit en France depuis 1977. Avec son personnage d'Ensiyeh, indomptable héroïne de Debout sur la terre, elle rend hommage à sa propre mère, grande érudite qui enseigna les langues i... Voir plus
Née en 1960 à Téhéran, Nahal Tajadod est écrivaine et traductrice, sinologue et spécialiste du poète perse Rûmi. Elle vit en France depuis 1977. Avec son personnage d'Ensiyeh, indomptable héroïne de Debout sur la terre, elle rend hommage à sa propre mère, grande érudite qui enseigna les langues iraniennes préislamiques et dramaturge qui collabora avec Peter Brook. Une femme hors du commun.

Articles en lien avec Nahal Tajadod (1)

Avis sur cet auteur (5)

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    Couverture du livre « Passeport à l'iranienne » de Nahal Tajadod aux éditions Le Livre De Poche

    Eny-Dane sur Passeport à l'iranienne de Nahal Tajadod

    Récit rocambolesque et drôle d'une femme cherchant à faire renouveler son passeport en Iran. L'auteur nous fait parcourir les rues vivantes de Téhéran et nous fait vibrer avec elle. Haletant, plein de recul et d'humour et de personnages attachants. On court partout avec Nahal Tajadod...

    Récit rocambolesque et drôle d'une femme cherchant à faire renouveler son passeport en Iran. L'auteur nous fait parcourir les rues vivantes de Téhéran et nous fait vibrer avec elle. Haletant, plein de recul et d'humour et de personnages attachants. On court partout avec Nahal Tajadod...

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    Couverture du livre « Les simples prétextes du bonheur » de Nahal Tajadod aux éditions Lattes

    Prune Thiry sur Les simples prétextes du bonheur de Nahal Tajadod

    Voici mon avis à la page 100 :

    Un 4ème roman à chroniquer qui m'a tout de suite beaucoup plu par le thème qu'il aborde : le bonheur et sa quête. A-t-on vraiment besoin du faste et du somptueux, ou seulement des petites choses du quotidien ? Ce livre essaye d'y répondre à sa manière et je...
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    Voici mon avis à la page 100 :

    Un 4ème roman à chroniquer qui m'a tout de suite beaucoup plu par le thème qu'il aborde : le bonheur et sa quête. A-t-on vraiment besoin du faste et du somptueux, ou seulement des petites choses du quotidien ? Ce livre essaye d'y répondre à sa manière et je commence, à ce moment du livre, à entrevoir un début de réponse. En outre, il y a pas mal de descriptions, notamment psychologiques, que je trouve très intéressantes. Et l'incorporation du monde oriental est superbe. J'adore. Seul point négatif pour le moment : un début un peu flou et des relations entre les personnages un peu difficiles à assimiler. J'ai tout de même franchement envie de lire la suite pour voir ce que cela va donner !

    Chronique :

    Dans l'ensemble j'ai beaucoup aimé ce livre. A la fois roman et roman philosophique, je suis partie à la recherche du bonheur avec Cécile, le personnage principal. Même si les dernières pages sont un peu longues, le roman se lit assez vite et l'histoire est prenante.
    Me voilà donc plongée dans une quête du bonheur, le sujet principal du livre. Cécile est une jeune femme qui a tout ce que n'importe qui d'autre désirerait. De l'argent, un mari beau à couper le souffle, une belle maison. La célébrité, la richesse, la gloire. Le luxe et le faste en somme. Mais la seule chose qu'elle ne possède pas, c'est le bonheur. C'est par le biais de rencontres, d'un voyage qu'elle essaye de le trouver. Sa première rencontre, avec un médecin urgentiste, est d'ailleurs un peu floue. Existe-t-il vraiment ? A-t-elle rêvé ? C'est un mystère qui dure jusqu'à la dernière phrase !
    Par ailleurs, cette tension entre rêve et réalité se rencontre à d'autres moments de l'histoire. Au fur et à mesure, Cécile se rend compte que le bonheur ne lui parvient qu'à de brefs instants, et seulement grâce aux petites choses du quotidien. L'auteur a ici pris le parti de définir le bonheur ainsi, mais est-ce une obligation ? la philosophie comme la poésie sont au rendez-vous. Cette dernière est d'ailleurs souvent utilisée pour appuyer ou remplacer les différents propos des personnages. Toutes ces références permettent une intertextualité intense et une grande richesse référentielle. C'est aussi un moyen pour l'auteur d'aborder le mélange des deux pays présents dans ce roman : l'Iran et la France.
    Bien que la plupart de l'histoire ne se déroule pas en Orient mais bien en France, une multitude d'informations nous sont déversées sur ce monde qui nous est inconnu. Pour ce faire, j'ai pu constater une multitude de descriptions et notamment de portraits. Les différents personnages importants sont décrits avec une minutie, autant physiquement que psychologiquement. Peu à peu, les personnages iraniens se multiplient et j'ai découvert par le biais de Cécile leur culture. La littérature, l'Histoire, la gastronomie … de nombreux domaines sont abordés. Puis les deux facettes ne sont plus distinctes mais elles s'entremêlent, formant un mélange parfaitement homogène. Nous basculons de la France à l'Iran sans aucune difficulté, retrouvant des aspects des deux pays où que ce soit.
    C'est un roman qui m'a beaucoup plu, autant par l'aspect de ce mélange que par la question du bonheur omniprésente. Les personnages sont attachants, drôles, solidaires. On découvre un petit monde jusqu'alors pas si connu que cela. Et, contrairement à d'habitude, la fin est extraordinaire. Surprenante et joyeuse.

    Les plus : La quête du bonheur / Le mélange des cultures / La fin !
    Les moins : Un livre un peu long sur la fin / Un début un peu flou
    Ce qu'il faudrait améliorer : /

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    Couverture du livre « Les simples prétextes du bonheur » de Nahal Tajadod aux éditions Lattes

    Virginie Willemont sur Les simples prétextes du bonheur de Nahal Tajadod

    Cécile est en apparence une femme que la vie a comblé. Elle est belle, riche, fréquente les plus grands de ce monde et est adulée de tous. Actrice, égérie, elle est même parfois un peu agaçante avec son trop plein de réussite.
    Mais sous le voile, se cache la mort de son mari, le départ des...
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    Cécile est en apparence une femme que la vie a comblé. Elle est belle, riche, fréquente les plus grands de ce monde et est adulée de tous. Actrice, égérie, elle est même parfois un peu agaçante avec son trop plein de réussite.
    Mais sous le voile, se cache la mort de son mari, le départ des enfants devenus grands, la disparition du chat, l' épée de Damocles d'Alzheimer et puis cette boule sous le sternum.
    C'est justement ce "nodule" qui lui fait appeler, un soir, S.O.S médecin. Elle reçoit ainsi la visite d'un médecin iranien qui va bousculer le cours de sa vie précieuse. Cet opiomane, tout en l'apaisant, va l'entraîner dans un monde de tapis persans, d'épices, de débrouilles et d'entraide, lui faire découvrir l'âme persane exilée rue des Entrepreneurs.
    La suite nous mène du XVe arrondissement à l'Haye les Roses en passant par Téhéran en compagnie d'une troupe bigarrée, hétéroclite et chaleureuse. Kamal, le Geo Trouvetout, Jaleh la marathonienne et mère d'Amir futur président de la République, Amar, le séducteur bisexuel, amant de Chloé, étudiante des langues ´O. Tous vont accompagner Cécile pour un bout de chemin.
    L'impression laissée par les 100 premiers pages était la bonne. Le trop plein de directions empruntées par l'auteur ne fait que s'accentuer. Il est difficile de suivre le fil conducteur et de voir vers quelle destination souhaite nous emporter Nahal Tajadod. On comprend trop tard, à la toute fin, le pourquoi du comment. Il est déjà trop tard.
    Malgré toutes ses difficultés, Cécile ne recueille pas l'empathie du lecteur. En revanche, la foule de personnages hauts en couleur qui l'entoure, apporte ce qu'il faut pour mener la lecture à son terme.
    Une lecture facile mais décevante.

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    Couverture du livre « Les simples prétextes du bonheur » de Nahal Tajadod aux éditions Lattes

    gilles BORREL sur Les simples prétextes du bonheur de Nahal Tajadod

    Combien de fois un livre doit il nous tomber des mains avant que l'on soit convaincu qu'il nous est impossible de rentrer dans l'univers de l'auteur ? Dans ces 100 premières pages que j'avoue bien volontiers avoir parcouru avec beaucoup de désinvolture, je n'ai ressenti qu'un profond ennui. Le...
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    Combien de fois un livre doit il nous tomber des mains avant que l'on soit convaincu qu'il nous est impossible de rentrer dans l'univers de l'auteur ? Dans ces 100 premières pages que j'avoue bien volontiers avoir parcouru avec beaucoup de désinvolture, je n'ai ressenti qu'un profond ennui. Le style est plat, les propos sont creux, les situations d'une banalité affligeante. Rien dans ce récit ne fait écho en moi. Je suis vraiment désolé d'avoir à dire cela mais pour moi, ce livre que j'ai du mal à qualifier de roman, ne présente absolument aucun intérêt. Il y a à Bayonne un libraire qui met dans sa vitrine les 15 romans qu'il conseille pour l'été et il met celui qu'il faut absolument éviter. Je ne sais pas quels sont les meilleurs mais je crois avoir trouvé le pire.

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