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Michel Barlow

Michel Barlow
Michel Barlow est essayiste, romancier et théologien. Il collabore régulièrement à Golias Hebdo et au mensuel du protestantisme libéral, Evangile et liberté. Il a publié aux éditions Golias un essai, De parole et de feu, christianisme et sexualité (2010) et un « roman biblique » : Quand l'Évangil... Voir plus
Michel Barlow est essayiste, romancier et théologien. Il collabore régulièrement à Golias Hebdo et au mensuel du protestantisme libéral, Evangile et liberté. Il a publié aux éditions Golias un essai, De parole et de feu, christianisme et sexualité (2010) et un « roman biblique » : Quand l'Évangile est un enfant (2011).

Avis sur cet auteur (1)

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    Couverture du livre « Le malade imaginaire » de Moliere et Michel Barlow et Georges Decote et Helene Potelet aux éditions Hatier

    Didinebooks sur Le malade imaginaire de Moliere - Michel Barlow - Georges Decote - Helene Potelet

    Connaissant la renommée et l’avis souvent très positif de cette pièce, je m’attendais à quelque chose d’assez exceptionnel, et j’ai donc commencé ce texte avec enthousiasme. Et paf, le soufflet et tombé, car je n’ai pas été si emballait que j’ai pu voir certaines personnes.

    On y retrouve...
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    Connaissant la renommée et l’avis souvent très positif de cette pièce, je m’attendais à quelque chose d’assez exceptionnel, et j’ai donc commencé ce texte avec enthousiasme. Et paf, le soufflet et tombé, car je n’ai pas été si emballait que j’ai pu voir certaines personnes.

    On y retrouve encore une fois, encore la même trame j’ai l’impression dans toute les pièces de Molière qui devient ennuyante au final. Oui, j’avoue j’ai sourit à quelques moments, mais pas comme j’ai pu rire en lisant les fourberies de Scapin par exemple. Autre point, moi je n’ai pas trouvé Argan si drôle que cela au final; mais, il commencé même à me taper sur les nerfs à jouer au mourant en permanence.

    Le seul point positif pour moi dans cette pièce, c’est le fait que Molière se moque ouvertement des médecins et qu’il le dit clairement dans la pièce, c’est donc écrit noir sur blanc, et cela est plaisant.

    En bref, malgré la renommé de cette pièce, surtout je pense dû au fait que Molière soit mort en jouant cette dernière pièce; de ce fait, elle a intéressé beaucoup de monde et en a fait une des pièces les plus connues de Molière. Cependant, pour moi, ce n’est pas la mieux que j’ai pu lire. Je pensais pas, peut-être suis-je passé à côté tout simplement.