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Maurice G. Dantec

Maurice G. Dantec
Maurice G. Dantec est né en 1959 à Grenoble et vit depuis quinze ans au Canada. Il a marqué son époque et la littérature de genre (polar, SF) avec des ½uvres aussi fortes que Les Racines du Mal, Babylon Babies, Villa Vortex (Gallimard, 1997-2003) ou Grande Jonction (Albin Michel, 2006). Perturb... Voir plus
Maurice G. Dantec est né en 1959 à Grenoble et vit depuis quinze ans au Canada. Il a marqué son époque et la littérature de genre (polar, SF) avec des ½uvres aussi fortes que Les Racines du Mal, Babylon Babies, Villa Vortex (Gallimard, 1997-2003) ou Grande Jonction (Albin Michel, 2006). Perturbateur du champ littéraire, Maurice G. Dantec poursuit son exploration d'une écriture romanesque mêlant science-fiction, polar technologique et métaphysique. Très inspiré par K. Dick et J.G. Ballard, Dantec est très admiré des amateurs de SF qui voient en lui le futur possible de la littérature française d'anticipation.

Avis sur cet auteur (10)

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    Couverture du livre « Les racines du mal » de Maurice G. Dantec aux éditions Gallimard

    JPCZX sur Les racines du mal de Maurice G. Dantec

    Un polar exceptionnel, le Dantec de référence

    Un polar exceptionnel, le Dantec de référence

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    Couverture du livre « Les racines du mal » de Maurice G. Dantec aux éditions Gallimard

    Corinne Lgrs sur Les racines du mal de Maurice G. Dantec

    Mon avis sur ce roman est plutôt mitigé.
    Tout commence plutôt bien. Andréas Schaltzmann est un tueur d’une rare violence qui nous raconte son histoire. Il est schizophrène et vie dans un monde fait d’ovnis, d’extraterrestres. Il tue sans trop savoir pourquoi, parce qu’il réagit à des voix....
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    Mon avis sur ce roman est plutôt mitigé.
    Tout commence plutôt bien. Andréas Schaltzmann est un tueur d’une rare violence qui nous raconte son histoire. Il est schizophrène et vie dans un monde fait d’ovnis, d’extraterrestres. Il tue sans trop savoir pourquoi, parce qu’il réagit à des voix. Trois scientifiques spécialistes des tueurs en série enquêtent sur lui. Un début bien prometteur, un rythme haletant, une vraie bonne énigme. Et puis, nos trois enquêteurs vont comprendre que Schaltzmann ne peut pas avoir commis seul tous ces meurtres. L’enquête va prendre un autre tournant. On sait que notre trio a ruiné sa carrière sur cette enquête en affirmant envers et contre tous qu’il y a plusieurs tueurs. Mais dès que l’occasion se présente, ils vont replonger tête baissée dans l’enquête (qu’ils n’ont probablement jamais complètement abandonnée). Ils travaillent en se basant sur les réflexions d’une machine, la neuromatrice. La neuromatrice a été conçu pour concevoir des hypothèses, trouver des solutions, résoudre des énigmes à partir d’information qu’on lui donne. Elle devient humaine et fait ses propres choix. Après cette première partie plutôt intéressante, l’enquête s’oriente vers une organisation très sophistiquée de tueurs en série qui filme tous ses actes, plus sordides les uns que les autres. Cela pourrait être vraiment bien, mais l’auteur nous noie dans des montagnes de descriptions, pas toujours utiles, pas toujours intéressants. Les discussions et pistes entre nos 3 enquêteurs durent des pages et des pages. On y trouve aussi beaucoup de description sur des détails scientifiques, techniques, qui m’ont un peu perdue.

    C’est un roman qui entre dans plusieurs cases : thriller mais aussi science-fiction. Certains passages sont un peu gores, il faut s’accrocher. Alors en résumé : une très bonne intrigue mais un mode de narration qui ne m’a pas convaincu.

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    Couverture du livre « La sirène rouge » de Maurice G. Dantec aux éditions Folio

    Anita Millot sur La sirène rouge de Maurice G. Dantec

    Le 10 avril 1993, la jeune Alice Barcelona Kristensen âgée de douze ans et demi se présente au commissariat central d’Amsterdam : elle veut parler à l’inspecteur Anita Van Dyke en personne. Elle a de terrible révélations à lui faire au sujet de sa mère (Eva Kristensen) et de son beau-père...
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    Le 10 avril 1993, la jeune Alice Barcelona Kristensen âgée de douze ans et demi se présente au commissariat central d’Amsterdam : elle veut parler à l’inspecteur Anita Van Dyke en personne. Elle a de terrible révélations à lui faire au sujet de sa mère (Eva Kristensen) et de son beau-père (Wilheim Brunner) qui sont des meurtriers (cassette vidéo à l’appui). L’inspecteur inspecteur Anita Van Dyke semble la croire, ce qui n’est pas vraiment le cas du juge qui va entrer en contact avec les représentants légaux de l’adolescente. Dès lors cette dernière n’a d’autre choix que la fuite et la tentative de rejoindre son père biologique, un anglais installé au Portugal. Elle va se réfugier (comme par hasard !) dans la voiture d’Hugo, un succédané de tueur-barbouze, on ne sait pas trop … qui va la prendre en charge et l’aider à rejoindre son père. Avec les hommes de main de sa mère (comment ont-ils réussi à retrouver sa trace dans la voiture d’Hugo, on se le demande franchement …) et l’inspecteur Anita Van Dyke qui ne veut pas non plus lâcher l’affaire …

    Bref un thriller brouillon, truffé d’invraisemblances ! Et dont la qualité littéraire est tout à fait discutable … J’avoue que je n’ai pas du tout adhéré à cette intrigue tirée par les cheveux, aussi dois-je établir ma chronique rapidement, de peur d’en oublier le contenu avant d’avoir eu le temps de le faire !

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    Couverture du livre « Villa Vortex » de Maurice G. Dantec aux éditions Folio

    Géland Charline sur Villa Vortex de Maurice G. Dantec

    J'ai beaucoup aimé les 100 premières pages et décroché pour les 700 dernières. Je ne suis pas entrée dans l'histoire.

    J'ai beaucoup aimé les 100 premières pages et décroché pour les 700 dernières. Je ne suis pas entrée dans l'histoire.