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J'ai eu du mal à accrocher avec le roman. Il y a énormément de personnages, ce qui fait qu'ils se confondaient dans mon esprit au bout d'un moment (en mode : mais c'est qui déjà lui ?). Je l'ai trouvé assez long à la lecture, et par moments j'ai carrément décroché.
Cela dit, le roman est loin d'être mauvais, il y a des passages assez drôles, notamment tout sur les relations entre les enfants. On voit notamment une enfant évoluer de petite peste insupportable à enfant avec des sentiments et c'est appréciable.
La fin par ailleurs vaut vraiment le coup car (sans spoiler) il s'agit en réalité d'une fable sociale qui tourne autour des sept péchés capitaux. Je n'avais pas compris ça au départ, ils le mettent dans la post-face mais je pense que j'aurais davantage apprécié le livre si j'avais eu cette information avant.
Énormément vu, la beauté de la couverture (regret de l’avoir lu en numérique), bref … j’ai passé un bon moment avec ces pensionnaires des Cornouailles.
Durant une semaine le lecteur fait connaissance avec chacun des pensionnaires pour ne savoir que dans les dernières pages qui meurt et qui vit.
J’ai passé un bon moment malgré quelques fois des longueurs, j’ai mis en pause et repris et finis avec plaisir.
Mrs Siddal est la propriétaire de l’hôtel Pendizack (Cornouailles) qu’elle tient sans l’aide de son « bon à rien » de mari (Dick) mais avec le soutien (occasionnel) de ses trois fils : le « mal aimé » Gerry, Robin et Duff (son chouchou …) Avec l’appui – également – de ses employés, le courageux Fred et la brave Nancibel. Avec (hélas) l’incompétence notoire de (la paresseuse) Mrs Ellis …
Mrs Siddal méprise son époux, n’est guère attaché à son ainé mais adule le plus beau de ses trois enfants. Alors qu’elle se débat avec ses gros problèmes d’intendance, l’été 1947 s’installe, ainsi qu’une ribambelle de clients, accompagnés ou non de leurs progénitures. Eirene Gifford et son conjoint, le juge Henry Gifford, ainsi que leurs quatre jeunes enfants : Hebe, Caroline, Luke et Michael. Mrs et Mr Paley, ravagés par un drame familial. Mrs Cove (une veuve de guerre) et ses trois fillettes : Blanche, Beatrix et Maud. La fragile Evangeline et son détestable père, le chanoine Wraxton. Bruce, le (séduisant) « secrétaire-chauffeur » (voire plus …) de la grosse Mrs Anna Lechene, écrivaine célèbre. Le père Bott, enfin, prêtre de la paroisse et accessoirement narrateur de l’histoire … Le drame est proche, la falaise où se situe l’hôtel Pendizack est sur le point de s’écrouler …
Margaret Kennedy (1896-1967) nous livre ici une oeuvre superbe, éditée en 1950. Une sorte de huis clos sur ce lieu de villégiature anglais, qui nous dévoilera au fils de pages (et des jours) la véritable nature de chacun des protagonistes présents. Un récit construit en sept parties (du samedi au vendredi) par petites touches successives, jusqu’à cette tragédie finale, qui engloutira à jamais l’établissement et les sept personnes qui n’ont pas voulu participer au pique-nique (le fameux « festin » …)
Gros coup de coeur pour cette attachante intrigue ! Une comédie humaine « So British », au flegme littéraire un brin désopilant !
Un bon écrivain je viens de finir de lire festin ,pas mal du tout une très bonne lecture maintenant à découvrir d autres titres de cet auteur avec plaisir
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